A la memoire des 1 500 000 victimes armeniennes



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DOSSIERS PERMANENTS


  • Observatoire du Négationnisme du Collectif VAN

  • Récapitulatif des principaux faits et articles négationnistes relevés depuis 2006.

  • http://www.collectifvan.org/article.php?id=21105



    Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie)

    Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie)

    La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

    "Dossier Zarakolu" mis à jour sur le site du Collectif VAN



    1. Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Retrouvez sur le site du Collectif VAN toutes les informations sur le Dossier Ragip Zarakolu, éditeur, journaliste, militant des droits de l'homme en Turquie, arrêté à Istanbul le vendredi 28 octobre 2011 avec la sociologue Busra Ersanli, inculpé comme elle le mardi 1er novembre 2011 d'«appartenance à un groupe terroriste armé» et actuellement incarcéré dans la prison de haute sécurité de Metris. La Turquie détient le record du nombre de journalistes emprisonnés : près de 60. «Aucun pour leurs écrits, tous pour des dossiers de terrorisme», se justifie Egemen Bagis, le ministre des affaires européennes ! Le Collectif VAN vous invite expressément à signer les pétitions internationales de soutien aux intellectuels turcs et kurdes détenus arbitrairement en Turquie.

      Trouvez le Dossier Ragip Zarakolu en cliquant ici

    2. http://www.collectifvan.org/article.php?r=9&id=58378



    Le génocide arménien et la loi : que disent les candidats ?

    Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - En cette période d'élections présidentielles, il paraît intéressant de pouvoir relire les déclarations - récentes ou moins récentes - des principaux candidats, de leur parti, et des personnalités politiques - qu'elles soient ou non candidates, concernant le génocide arménien et la pénalisation de sa négation, la Turquie, la loi Gayssot, la loi sur les Harkis, etc. Un dossier préparé par le Collectif VAN et qui sera actualisé régulièrement, même au-delà des échéances d'avril et mai 2012.

    http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=63189

    Revue de Presse des dépêches AFP

    Le Collectif VAN répertorie sur cette page toutes les dépêches AFP en lien avec le génocide arménien et la Turquie.

    http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=60725
      1. SITES INTERESSANTS



    Visitez nos liens : http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7

      1. AGENDA


    Agenda - Exposition des artistes arméniens chez Noah’s Ark




    Agenda - Exposition des artistes arméniens chez Noah’s Ark - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - La galerie Noah’s Ark, rue du Port, expose les deux « V » des peintres arméniens (Vahram Davtian et Vahran Roumelian) ainsi que des pierres semi-précieuses sculptées par des artistes d’Erevan, Arthur Aramian et Roberto Manouguian.

    * Noah’s Ark, second point d’exposition, rue du Port, centre-ville.



    L’exposition se prolongera jusqu’au 15 juillet.


    Lire aussi:

    Vahram, Vahran et des pierres semi-précieuses chez Noah’s Ark

    http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=65305

    http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=65307

    Agenda - France Culture/10 juillet: Le journal de la philosophie par F. Noudelmann




    Agenda - France Culture/10 juillet: Le journal de la philosophie par François Noudelmann - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org

    France Culture

    Le journal de la philosophie par François Noudelmann

    Le Journal de la philosophie - Idées - France Culture diffusera le mardi 10 juillet de 10h50 à 11 h un entretien sur "De la cure à l’écriture - L’élaboration d’un héritage traumatique" de Janine Altounian.



    Télécharger le pdf ci-dessous: "De la cure à l’écriture - L’élaboration d’un héritage traumatique" de Janine Altounian

    TÉLÉCHARGER :
     "De la cure à l’écriture" de Janine Altounian

    http://collectifvan.org/pdf/04-14-53-6-07-12.pdf

    http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=65396

    Exposition du 26 juin au 27 octobre: Hommage aux enfants de la Shoah

    Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous invite à lire cette annonce publiée sur le site officiel de la Mairie de Paris le 13 juin 2012.

    Paris.fr

    [13/06/2012]

    Hommage aux enfants de la Shoah

    Juillet 1942, près de 14 000 Parisiens sont arrêtés par la police française et rassemblés au Vélodrome d’hiver. Parmi eux de nombreux enfants. Au travers de l'exposition "C'étaient des enfants" la Mairie de Paris honore leur souvenir et celui des milliers de leurs camarades qui ont survécu à la Shoah en présentant aux visiteurs lettres, photographies, dessins et documents officiels. Salon d'accueil de l'Hôtel de Ville. Du 26 juin au 27 octobre - Gratuit.

    Dans l’ensemble de l’Europe, 1 500 000 enfants juifs ont été tués. Parmi eux, 11 400, dont 2 000 qui n’avaient pas six ans ont été déportés depuis la France ou ont trouvé la mort dans l’un des camps d’internement installés sur le territoire. La majorité de ces jeunes victimes étaient de petits Parisiens. Deux-cents seulement sont revenus vivants.

    « Survivants », « enfants cachés » ou encore « rescapés », les termes pour désigner ces enfants qui ont échappé aux déportations sont nombreux, et invitent à s’interroger : survivre et après ?

    L'exposition "C'étaient des enfants" apporte un éclairage sur cette période de notre histoire, en présentant de nombreux documents inédits, issus de collections particulières, comme ce journal tenu en juillet 1942 par une adolescente juive parisienne, membre des Éclaireurs israélites, qui parcourt Paris le jour de la rafle du Vel’d’Hiv’ afin de porter secours à des enfants laissés seuls.

    Voir aussi le reportage sur "La médaille des Justes" qui distingue ceux qui ont secouru des Juifs pendant la seconde guerre mondiale. Cet article est extrait d' "à Paris+" le supplément numérique du magazine "à Paris", trimestriel de la Ville de Paris.


    Infos pratiques

    Du 26 juin au 27 octobre


    Salon d'accueil de la Mairie de Paris
    29, rue de Rivoli. 75004 Paris

    Ouvert tous les jours sauf dimanche et jours fériés de 10h à 19h.


    Gratuit

    Métro

    ligne(s) 1,11 - Hôtel de Ville


    ligne(s) 1,4,7,11,14 - Châtelet
    ligne 4 - Cité
    ligne 4 - Saint-Michel - Notre-Dame

    Catalogue - Sarah Gensburger
    C’étaient des enfants. Déportation et sauvetage des enfants juifs à Paris.
    24,90 € - 128 pages

    ***************************************************************



    Pour ne jamais oublier

    La population Juive à Paris en 1940

    A cette époque, la population juive de France est estimée à 320 000 membres. Trés diverse, un tiers de ses membres sont nés en France, l'autre partie sont des immigrés. Ces hommes et ces femmes ont quitté leurs pays pour fuir les persécutions antisémites mais aussi afin d'améliorer leurs conditions de vie. On trouve quelques familles aisées, professions libérales ou cadres, mais surtout une majorité de ménages très modestes qui travaillent dans l’artisanat ou le commerce.

    À l’arrivée des soldats allemands en juin 1940, près de 200 000 Juifs vivent dans la capitale française : de Belleville à l’ouest parisien, en passant par la rue de la Roquette. Cette population juive parisienne est jeune, sur les 140 000 Juifs qui résident encore dans le département de la Seine, un quart ont moins de 15 ans.



    Identification et exclusion

    L’armistice du 22 juin 1940 divise la France en deux et dès septembre les autorités occupantes et le gouvernement de Vichy y organisent la stigmatisation des Juifs. La plupart de ces mesures concernent également les enfants.

    L'ordonnance allemande du 27 septembre 1940 ordonne aux juifs de zone occupée de se déclarer. Les chefs de famille ont jusqu’au 20 octobre pour faire état de leur identité. C'est sur la base de ce recensement que la préfecture de police de Paris crée finalement un fichier des enfants juifs. Le tampon « Juif » est porté sur leurs papiers d’identité, les enfants âgés de plus de 6 ans doivent porter l’étoile jaune. C'est à partir de la loi française du 3 octobre « portant statut des juifs », que leurs parents sont exclus de nombreuses professions.

    L’ordonnance allemande du 8 juillet 1942 interdit aux juifs l’accès aux lieux publics. L'image des petits juifs parisiens est alors utilisée par la propagande antisémite pour dénoncer le « péril » que représentent les juifs, et ce, dès leur plus jeune âge.



    L’École républicaine : entre continuité et rupture

    La Révolution nationale promue par le gouvernement de Vichy entend s’attaquer à l’école. Il s’agit de protéger la jeunesse française de « l’influence juive ». Les élèves juifs restent cependant admis dans les écoles élémentaires et les lycées où ils sont soumis au port de l’étoile jaune. Lorsque la police française arrête en juillet 1942 des enfants juifs, elle arrête d’abord des écoliers.

    Au total, plus de 6 100 enfants ont été arrêtés à Paris durant la Shoah , la plupart d’entre eux ont été déportés au camp d’Auschwitz en Pologne où ils furent exterminés à leur arrivée.

    En 1941 ont lieu les premières rafles parisiennes, elles conduisent à l’arrestation de près de 8 200 personnes, exclusivement des hommes et presque tous étrangers. L’internement de ces pères de famille plonge leur femme et enfants dans des difficultés matérielles et psychologiques supplémentaires. Il signifie parfois que les enfants sont brutalement laissés seuls.



    Le Vel’ d’Hiv’ : un « camp d’enfants »

    La grande rafle parisienne des 16 et 17 juillet 1942 est la première à concerner les enfants de plus de deux ans. Une triple épidémie de diphtérie, de scarlatine et de rougeole touche 300 enfants dont plusieurs mourront dans les jours qui suivent.

    En juillet 1942, le camp de Beaune-la-Rolande compte 300 petits Parisiens de 2 à 5 ans, près de 500 de 6 à 10 ans et 600 de 10 à 15 ans. Pour remplir au plus vite les convois de déportation, il est décidé de séparer les familles. À partir du 15 août 1942, les enfants du Vél’ d’Hiv’ encore vivants sont progressivement transférés à Drancy pour y être déportés en compagnie d’adultes et maintenir ainsi l’illusion que ces déportations visent à organiser des peuplements juifs à l’est de l’Europe.

    Aucun statut particulier n’est prévu pour ces jeunes internés et c'est entre le 14 et le 31 août 1942, que plus de 3 000 enfants sont ainsi déportés pour Auschwitz, la plupart y sont exterminés à leur arrivée. Seulement 200 des quelques 11 000 enfants juifs déportés de France sont revenus des camps d’extermination.



    Les Parisiens se mobilisent

    C’est à Paris que s’est joué le sort de la majorité des enfants juifs déportés. Les Parisiens qui constatent la disparition d’hommes, de femmes et surtout d’enfants décident de les sauver. Les réactions à la rafle du Vél’ d’Hiv’ sont en effet nombreuses. Ce sont des voisins, des amis ou encore des camarades de classe qui portent secours aux enfants juifs parisiens.

    Dès sa création en 1941, l’Union générale des Israélites de France (UGIF), assure la gestion de plusieurs centres d’accueil pour enfants à Paris. Plus de 3 000 enfants séjournent dans l’une de ces maisons entre juillet 1942 et août 1944. Plusieurs rafles y sont conduites jusqu’à la dernière où, durant la nuit du 20 juillet 1944, 125 petits pensionnaires sont arrêtés à Paris puis déportés à Auschwitz par le dernier convoi à quitter Drancy. Dès 1942, des réseaux interconfessionnels ou laïcs, redoutent cette issue et débutent l’évacuation clandestine et progressive des maisons de l’UGIF. Ils sauvent ainsi plusieurs centaines d’enfants.

    Survivre et grandir

    À Paris comme dans l’ensemble de la France, environ 80 % des enfants juifs ont survécu à la guerre. Du fait de leurs prises en charge par des réseaux juifs de sauvetage, épaulés par des non-juifs. Il est toutefois difficile d’établir un chiffre définitif, comme il est encore plus délicat de faire une estimation des gestes de solidarité de tel ou tel voisin, ami ou camarade. En tous les cas, la considération exclusive du sauvetage physique des enfants méconnaît les conditions de leur survie. Etre « caché » suppose souvent d’accepter d’être séparé de sa famille, de changer d’identité, parfois être baptisé dans la religion catholique, de quitter Paris enfin de se faire accepter par un nouvel entourage, entre quasi-adoption et maltraitance.

    Afin d'atténuer la séparation et lorsue cela est possible,les enfants écrivent à leurs parents. Lorsque ceux-çi sont « introuvables », ils leur font des dessins, préparent des cadeaux dans l’attente de les revoir, attente qui s’avèrera souvent vaine.

    En 1945, on dénombre en effet 10 000 orphelins juifs en France. D’autres retrouvent des parents affaiblis, sans ressources et souvent sans logement. Les oeuvres juives ouvrent alors des maisons pour accueillir temporairement et parfois élever une large part des enfants qu’elles ont contribué à sauver. La vie en collectivité dans ces maisons marque une nouvelle épreuve pour les enfants. Elle signifie qu’ils ne reverront jamais leurs parents.



    L’après-guerre

    Dans l’immédiat après-guerre, le vécu de ces enfants n’a pas sa place : ils ont eu la « chance » de survivre. À la fin des années 70, c’est d’abord comme orphelins que certains prennent publiquement la parole. Il faut attendre encore dix ans pour que ces mêmes personnes parlent d’elles. Les années 90 voient alors la multiplication des associations « d’ enfants cachés » et « d'anciens ». Ces enfants devenus grands-parents prennent souvent conscience de la dette qu’ils ont envers tel résistant juif comme envers ces non juifs qu’ils décident, parfois, de faire reconnaître comme « Juste parmi les nations » par l’État d’Israël.



    Autour de l'exposition

    - Exposition temporaire - Mémorial de la Shoah


    "Au coeur du génocide - Les enfants dans la shoah 1933-1945"
    Du 19 juin au 30 décembre

    - « Je pars demain… » Été 42 : les dernières lettres - CERCIL d'Orléans


    Exposition du 16 mai au 30 septembre

    En juin-juillet 1942, des milliers de Juifs étrangers sont déportés à partir des camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande où ils ont été internés pendant plus d’un an. Avant le départ, ils vont écrire une lettre à leurs proches « nous partons pour une destination inconnue ». Écrites le dernier jour dans le camp, parfois même dans le train, elles seront les « dernières lettres »…

    - Exposition "Sauver les enfants, 1938-1945"- Archives nationales
    Du 2 octobre au 27 novembre

    - Exposition-atelier "Sur les traces d’une photo. Dix histoires d’enfants sauvés"-


    Bibliothèque Marguerite Audoux
    Du 28 juin au 31 juillet

    - « Nous qui sommes encore vivants » – Résister dans les camps nazis.


    Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne
    Jusqu’au 31 août

    http://www.paris.fr/accueil/culture/c-etaient-des-enfants-une-expo-sur-les-enfants-de-la-shoah-a-l-hotel-de-ville/rub_9652_actu_115847_port_24330

    http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=64882

    Agenda - La revue Europe & Orient n°14 : La Guerre des Mémoires

    Agenda - La revue Europe & Orient n°14 : La Guerre des Mémoires - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Vient de paraître la revue géopolitique de l'Institut Tchobanian "La guerre des mémoires" (revue Europe&Orient-n°14). Le dossier spécial est consacré à "l'Industrie de la négation" avec des articles dénonçant le lobbying pro-turc aux USA et en France. Vous pouvez la commander dès le 25 juin 2012.

    Editions Sigest

    Revue géopolitique de
    l'Institut Tchobanian

    La Guerre des Mémoires
    Europe&Orient n°14

    Français-Anglais

    ISBN : 978-2-9173-2938-2


    ISSN : 1773-9802

    136 pages


    Format 16x24cm Prix : 10 €

    parution 26 Juin 2012

    Abonnement à E&O.

    ******************



    ANALYSES GEOPOLITIQUE ET ECONOMIQUE SUR
    EUROPE - ASIE MINEURE - SUD CAUCASE - MOYEN-ORIENT

    Le dossier spécial de la revue Europe & Orient n°14 est consacré à "L'Industrie de la Négation"*.

    Comme d'habitude une vingtaine de spécialistes apportent leurs points de vues sur les sujets géopolitiques ou sociologiques sur l'UE, l'Asie Mineure, le Caucase et le Moyen-Orient.

    Sommaire

    Les raisons d’un revers, Varoujan Sirapian

    Chypre victime de la spéculation financière, Christophe Chiclet

    Le Génocide arménien : la chronologie du processus pour sa reconnaissance et pour réprimer sa contestation

    Proposition de Loi

    Les protagonistes, Varoujan Sirapian

    Arguments pour et contre la loi sur la pénalisation de la «contestation du génocide arménien»

    Génocide arménien : la pitié dangereuse, Robert Badinter

    Génocide arménien : l’offense envers les dieux ?, Varoujan Sirapian

    Réprimer les négateurs du génocide arménien n’est en rien liberticide, Vincent Coussirat-Coustère

    De la faiblesse de célèbres critiques, Sévane Garibian

    Loi sur les génocides : une bataille perdue, Pierre Nora

    Lois mémorielles : l’indignation sélective de Pierre Nora, Bruno Chaouat

    Sur le génocide arménien : réponse à une poignée d’historiens, Bernard-Henri Lévy

    Négationnisme : la loi contre la mauvaise foi, Ara Toranian

    Génocide arménien : le dérapage de Pierre Nora, Séta Papazian

    L’autopsie d’un lobbying : l’influence turque en Europe et en France, Jean Dorian

    Le Conseil Constitutionnel

    La galaxie des opposants à la loi Boyer

    Des lobbies américains au service de l’État turc, Varoujan Sirapian

    Élus et fonctionnaires américains payés par, et au service de, l’État turc, Varoujan Sirapian

    Faut-il abolir la loi Fabius-Gayssot ?, Jean Dorian

    Le principe de Pareto appliqué au Parlement, Varoujan Sirapian

    La Chute d’une groupie de la Turquie négationniste, Appo Jabarian

    Göran Lindblad : Membre d’un lobby financé par l’Azerbaïdjan

    La négation du génocide est une industrie, Taner Akçam

    De la cause arménienne au droit français, Nikos Lygeros

    Les dangereux fantasmes de la diplomatie turque, İpek Yezdaniipek

    « Liberté de recherche et d’enseignement en Turquie »

    Turquie : présumés coupables, criminalisation des défenseurs des Droits de l’Homme

    24e commémoration des pogroms de Soumgaït

    Mensonges, propagande et désinformation de l’Azerbaïdjian, Jean Eckian

    Le rêve d’un « Grand Azerbaïdjan », Edmond Y. Azadian

    Syrie : une guerre par procuration, Bernard Haykel

    Iran blasts Turkey, Saudi, Qatar over ally Syria

    Religion et Politique, Roger Akl



    http://editions.sigest.net/page00010141.html

    http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=65050

    Agenda - Parution : "Les Etats-Unis au sud Caucase post-soviétique"

    Agenda - Parution : "Les Etats-Unis au sud Caucase post-soviétique" - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org -


    Parution du livre "Les Etats-Unis au sud Caucase post-soviétique", de Julien Zarifian

    Editions-Diffusion


    5-7, rue de L’Ecole Polytechnique 75005 Paris

    Vient de paraître

    LES ETATS-UNIS AU SUD CAUCASE POST-SOVIÉTIQUE

    (Arménie, Azerbaïdjian, Géorgie)


    Julien Zarifian

    Collection L'Aire anglophone


    ISBN : 978-2-296-99118-7 • 272 pages


    Prix éditeur : 27 €
    Voir la fiche de ce livre

    RÉSUMÉ :

    Depuis la chute de l’URSS, les États-Unis sont parvenus à s’implanter au Sud Caucase (Arménie, Azerbaïdjan, Géorgie) alors que la région, anciennement soviétique, leur avait été interdite des décennies durant et qu’ils n’en avaient, en 1991, qu’une connaissance relative. Ils y sont ainsi devenus, en environ vingt ans, des acteurs géopolitiques incontournables dans les domaines diplomatique, militaire et géoéconomique, et ont établi des relations de confiance avec l’Arménie, l’Azerbaïdjan et surtout la Géorgie. Comment y sont-ils parvenus ? Quels ont été les enjeux, les grands traits et les résultats exacts de cette pénétration géopolitique du Sud Caucase ? Les États-Unis y ont-ils pour autant évincé leurs concurrents régionaux que sont la Russie et l’Iran, voire la Turquie et l’Union européenne ? Telles sont quelques-unes des questions que cet ouvrage se propose d’étudier.



    SOMMAIRE :

    CHAPITRE 1


    Le Sud Caucase : spécificités géographiques, historiques et géopolitiques
    CHAPITRE 2
    Les enjeux géopolitiques de la politique américaine au Sud Caucase
    CHAPITRE 3
    Objectifs, grandes lignes et premiers temps de la politique américaine au Sud Caucase
    CHAPITRE 4
    L’aide financière américaine aux trois États du Sud Caucase
    CHAPITRE 5
    Le soutien à la démocratie
    CHAPITRE 6
    L’assistance et la coopération militaires
    CHAPITRE 7
    La politique énergétique et économique
    CHAPITRE 8
    Les États-Unis et les conflits de la région

    L’AUTEUR :

    Julien Zarifian est Maître de conférences en Civilisation américaine à l’Université de Cergy-Pontoise et chercheur au laboratoire CICC (Civilisations et Identités Culturelles Comparées) de cette université. Il est docteur en géopolitique, de l’Institut Français de Géopolitique, Université Paris 8 et ses recherches portent sur la politique américaine en Eurasie et sur le rôle et l’impact des lobbies ethniques sur la politique extérieure américaine. Il a publié de nombreux articles sur ces sujets, dans des revues telles que : Hérodote, Politique Américaine, l’AFRI, Iran & the Caucasus, Défense Nationale, Journal of the Society for Armenian Studies, Dynamiques Internationales ou Grande Europe.




    Vous pouvez commander ces ouvrages directement à votre libraire habituel,
    sur le site internet : http://www.editions-harmattan.fr, ou en renvoyant par courrier postal le bon de commande

    À retourner aux Éditions L'Harmattan, 5- 7 rue de l'École-Polytechnique, 75005 Paris.



    http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=64752

    Agenda - Parution sur l'élaboration d'un héritage traumatique

    Agenda - Parution sur l'élaboration d'un héritage traumatique - Agenda Collectif VAN - www.collectifvan.org - Parution le 30 Mai 2012 de l’ouvrage de Janine Altounian : De la cure à l'écriture. L'élaboration d'un héritage traumatique. « Dans ce livre sur la transmission, l’auteur illustre par des exemples personnels le rapport existant entre le travail de la cure et celui de l’écriture lors de l’élaboration d’un héritage traumatique. (…) Le parcours analytique esquissé ici cherche à témoigner de ce qui s’est transmis aux descendants des survivants, tous disparus à présent, du génocide arménien de 1915, nié par l’État turc. Aboutissant à la réappropriation et à l’amour de cette transmission, il peut être lu comme un cas clinique intéressant les psychanalystes et les héritiers de diverses catastrophes historiques. » 27€ • 240 pages – Paru aux PUF.

    TÉLÉCHARGER :
     Parution sur l'élaboration d'un héritage traumatique

    http://collectifvan.org/pdf/11-02-19-30-05-12.pdf

    http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=64291

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