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Article 1

L’Ecole Jean-Jaurès est pilote en matière d’éducation à la prévention routière. Les élèves viennent de recevoir leur passeport piéton, faisant d’eux des ambassadeurs de la sécurité.
Sur les pas de Tom et Lila
Ça y est, les élèves des cinq classes de l’école Jean-Jaurès ont tous obtenu leur passeport piéton ! Ce document, remis officiellement par des représentants de l’inspection académique, de la prévention routière, de la police nationale, de la police municipale, de TaM et de la Ville, certifie que chaque enfant a participé à une formation de la prévention routière et satisfait avec succès à l’examen portant sur les règles d’or de l’enfant piéton. L’école Jean-Jaurès est pilote en la matière. Ce passeport piéton est l’aboutissement de plusieurs semaines de travail effectuées par les élèves, avec les différents partenaires impliqués en matière de sécurité routière. Son objectif : éduquer et entraîner aux dangers de la circulation et faire acquérir aux enfants les comportements qu’il convient pour s’en prémunir.

Tout a commencé, quand des parents d’élèves de l’école Jean-Jaurès, se sont manifestés pour signaler plusieurs faits pointant les dangers encourus par les enfants devant l’établissement, où passent notamment les deux lignes de tramway. Isabelle Sarrabia, professeur des écoles, qui effectuait à ce moment-là le remplacement de la directrice, avait alors appuyé leur demande de sécurisation des entrées et sorties de l’école auprès de la mairie. C’est de là qu’est venue l’idée de mettre en place une opération de prévention routière adaptée aux enfants, associant les parents et les enseignants aux différents partenaires.

Après plusieurs réunions de travail entre les intervenants, une mallette pédagogique et ludique, baptisée Sur les pas de Tom et Lila, a été créée. Son but : aider les enfants à acquérir l’autonomie nécessaire à leurs déplacements à pied. Pendant six semaines, ce support d’apprentissage a permis aux enseignants de l’école, d’éduquer à la sécurité routière, de manière transdisciplinaire, au moyen de dossiers thématiques, adaptés à l’âge des enfants. Ces dossiers portaient par exemple sur : Les mots de la rue et de la route, Utiliser les informations des panneaux de signalisation, A gauche à droite, devant derrière, etc. Parallèlement, les enfants ont testé leurs apprentissages sur le terrain, au cours de leurs sorties hebdomadaires à la piscine, à la patinoire ou dans le quartier. Des questionnaires à choix multiples (QCM) compilant des questions proposées par chacun des partenaires ont permis ensuite de valider les acquis des élèves. C’est le résultat de ce QCM qui donnait le feu vert à l’obtention du passeport piéton.
Sécurité et citoyenneté

A l’école Jean-Jaurès, le 15 février dernier, lors de la remise des passeports, une délégation des partenaires du projet et un élu de la Ville ont remis solennellement à chaque enfant les attestations réalisées spécialement pour l’opération. L’impact a été phénoménal. A tel point, que pour satisfaire les 4 enfants absents ce jour-là, une séance de “rattrapage” a eu lieu une semaine plus tard. « Je suis vraiment très heureuse que ce projet ait pu aboutir, raconte Isabelle Sarrabia. Quelle belle leçon d’éducation à la citoyenneté, sans parler de l’apprentissage de la sécurité proprement dite. L’attitude des enfants lors de leurs déplacements a vraiment changée depuis, et en cela, c’est vraiment une réussite». Bien sûr, cette formation ne s’arrête pas avec la remise des diplômes. L’école va continuer à éduquer à la sécurité routière, relayée au quotidien par les parents, destinataires eux aussi dans la mallette, de fiches pratiques de la prévention routière. Des adaptations des apprentissages vont aussi être intégrées à la demande des enseignants de Jean-Jaurès. Il est prévu également de continuer à former les enfants sur des circuits.

D’autres écoles sont maintenant demandeuses, c’est pourquoi il a été décidé de faire profiter de l’expérience à tous les élèves de la ville. C’est l’équipe motorisée de la police municipale qui prendra dorénavant la relève pour porter la bonne parole dans toutes les écoles. Autant dire que l’impact sur les enfants piétons est plus qu’assuré !

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La classe de CE1 / CE2 d’Isabelle Sarrabia, lors de la remise officielle des passeports piétons.

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Article 2

Isabelle Israël est écrivain public, c’est son métier. Lettre de motivation, CV, discours, souvenirs d’enfance... : elle met sa plume au service du quartier. Qu’on se le dise !
« J’aime aider les autres »
Son sourire met tout de suite en confiance. Ce premier contact, c’est important pour la suite. La majeure partie de son temps est consacrée à l’écriture, mais elle en passe aussi beaucoup à écouter. Elle prend tout le temps nécessaire d’ailleurs, afin de bien saisir la demande. Isabelle Israël, est un écrivain public, nouvellement installée à la Pompignane. C’est une perfectionniste qui a le sens du travail bien fait. Sa passion pour le monde de l’écriture ne date pas d’hier. Elle a fait des études littéraires, travaillé dans une librairie, aidé des chômeurs à rédiger des CV au sein d’une association et pris en charge pendant 7 ans, les comptes rendus et les courriers d’une association des parents d’élèves. Entre temps, Isabelle a mis au monde trois enfants. Et puis un jour, après avoir poussé la porte d’un écrivain public à Chambéry, son désir d’écrire et d’aider les autres lui est devenu une évidence. La rencontre fut d’ailleurs à tel point décisive, qu’après avoir effectué un bilan de compétence, elle a souhaité suivre une formation d’écrivain public. Depuis huit mois, elle travaille à son compte, en couveuse d’entreprise. C’est tout récent, mais elle a déjà reçu ses premiers clients : elle est plutôt satisfaite de commencer à gagner sa vie grâce à ses talents d’écriture.

« Ce sont tous des gens du quartier, explique-t-elle. Certains m’ont contactée par téléphone, d’autres sont venus directement me voir. Le bouche à oreille fonctionne à merveille et cela me réjouit. J’ai déjà apporté un soutien en français pour une personne préparant un concours, rédigé des CV, des lettres de motivations, un discours pour un mariage, préparé une oraison funèbre, fait de l’aide à la médiation pour un dossier d’accident de travail, écrit une lettre pour les impôts, commencé un livre de cuisine, légendé l’album photo du livre d’or d’une mamie centenaire et commencé deux biographies ». Bien sûr, la liste est loin d’être exhaustive. « J’aime l’idée d’aider les autres par le biais de l’écriture. Ecrire à la place des gens, c’est très enrichissant ». Isabelle travaille aussi en parallèle sur d’autres projets. Elle aimerait animer des ateliers d’écriture dans les écoles, et assurer des permanences d’écrivain public dans les maisons pour tous. Elle a commencé les démarches pour cela. Isabelle n’écrit pas à la plume, loin s’en faut. Elle travaille avec ordinateur, fax et scanner. C’est un écrivain public des temps modernes. Elle n’en demeure pas moins une bien belle plume. Une plume au service du quartier.

Infos : 04 67 70 13 64 et bisraelisa05@numericable.fr

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Isabelle a une passion pour l’écriture qui ne date pas d’hier.


Agenda Les manifestations signalées par sont gratuites
Maison de quartier

Pierre-Azéma

04 67 02 48 52

Stage de body fighting, organisé par le Body fighting club, du 14 au 18 avril, de 18h30 à 20h, salle Occitanie.

Thé dansant, organisé par le comité de quartier Les Aubes La Pompignane, le 27 avril, de 14h30 à 18h, salle Occitanie.
Maison pour tous

Mélina-Mercouri

04 99 92 23 80

Théâtre : Zara et Avril au centre de tri sélectif, spectacle jeune public, création de la Cie Silobulle, le 24 avril à 15h. 2 € et 1 € (abonnés des maisons pour tous).

Tournoi national Pyramide organisé par l’association Pyramide Philae 34, les 26 et 27 avril, de 8h à 18h. Tournoi homologué par la fédération, réservé aux licenciés des clubs Pyramide francophones.

Infos : 04 67 79 29 94



Encadré

Patrick Vignal élu conseiller général

Patrick Vignal est le nouveau conseiller général du 4e canton. Il remplace Louis Calmels, conseiller général sortant qui ne se représentait pas. Il a été élu avec 65,96 % des suffrages exprimés. Ce canton est ancré dans le quartier, tout autour du Lez. Patrick Vignal le connaît bien, pour y avoir agi en qualité d’adjoint au maire de Port Marianne pendant quatre ans. Son objectif est d’y améliorer le “vivre ensemble” et de jouer ce rôle d’« assemblier » qui lui tient tellement à cœur. Son credo : « Il y a toujours des solutions ! »


Pages 32 et 33

Vies de QUARTIER
Près d’arènes

Saint-Martin - Aiguerelles Cité Mion - La Rauze - Tournezy

Légende photo colonne

Annie Bénézech, adjointe déléguée au quartier

Le billet de votre élu

Annie Bénézech connait bien le quartier des Prés d’Arènes. Elle habite Tournezy depuis vingt ans et elle a longtemps présidé le comité de quartier. « C’est un quartier vivant et très diversifié.

Il est intéressant car il mélange les secteurs habités depuis longtemps, comme Saint-Martin et les plus récents (Tournezy). Il est dynamique grâce aux petits commerces disséminés et aussi par la présence du Géant Casino qui est un point d’attraction très fort ».

Comptant deux maisons pour tous et une maison de quartier dynamiques, les Prés d’Arènes bénéficient d’une vie associative très active. « Plusieurs grands rendez-vous émaillent l’année. Je pense au tournoi international de football organisé par le Saint-Martin Gazelec ou les Puces solidaires qui se tiennent à l’Escoutaïre.

Les associations du quartier sont une force ».

La nouvelle adjointe du quartier compte suivre avec beaucoup d’attention les transformations qui vont survenir durant les six prochaines années : « Un nouveau quartier, celui de la Restanque, va voir le jour ainsi que la nouvelle mairie. Nous devrons également être attentifs à la réhabilitation de Saint-Marin qui commence à vieillir.

Il y a beaucoup de travail, c’est ce qui est passionnant ».

Article 1

Jean Crépin M’Balla conte trois histoires africaines le 16 avril à la maison pour tous l’Escoutaïre. Destinées aux enfants, ces histoires véhiculent des valeurs universelles.
Passeur d’histoires
Jean Crépin M’Balla a trente ans. Animateur à la ludothèque de la Guirlande, il s’est lancé dans le conte il y a deux ans. Le 16 avril, les enfants pourront le découvrir à la maison pour tous l’Escoutaïre. Au programme, trois contes africains dont le dernier avec marionnettes. Le premier d’entre eux, intitulé Le puits, lui tient particulièrement à cœur : « Je l’ai entendu de nombreuses fois quand j’étais enfant, en Centrafrique. Mon enfance a été bercée par les contes qui se racontaient dehors, à la nuit tombée, autour du feu. » Toute cette culture africaine, Jean tient à la conserver et à la transmettre. Et à ne pas oublier ses origines. « J’aime ce moment quand, par un premier mot, le conteur nous fait entrer dans son monde ». Jean aime, à son tour être dans la peau du conteur, de celui qui transmet : « Je suis un passeur, c’est une sensation que j’apprécie énormément. J’ai appris à ressentir l’énergie que dégage le public et à l’apprécier, même si je meurs de trac avant chaque représentation.

De toute façon, la manière de conter diffère selon l’auditoire. Pour moi, c’est une discussion avec le public. C’est pour cela que je raconte en posant des questions ». Jean sélectionne ses contes avec beaucoup de soin. « Toutes ces histoires contiennent des messages très importants pour les enfants. Elles transmettent des valeurs comme le courage, le don de soi. Elles ne sont pas très différentes des contes occidentaux. Seul le bestiaire change. Par exemple, le renard européen (malicieux, rusé et intelligent) devient un lièvre en Afrique. Mais les motivations sont identiques ». Quant on lui demande quelles sont les qualités requises pour être un bon conteur, le jeune homme prend le temps de la réflexion. « Je ne sais pas si je le suis. Je pense qu’il faut parvenir à guider son auditoire, que le public oublie l’environnement et qu’il soit dans l’histoire. »

A la ludothèque, Jean travaille avec une conteuse, Josette Codina-Otto qui est davantage spécialisée dans les contes occitans. L’occasion pour lui d’apprendre une autre façon de conter et de progresser : « Le conte m’apprend à me remettre en question, à chercher en moi... »

Le spectacle à la maison pour tous L’Escoutaïre se tiendra dans la salle polyvalente dès 15h, le 16 avril. Attention, il est conseillé de réserver au 04 67 65 32 70.



Phrase de relance

Les contes transmettent des valeurs comme le courage, le don de soi.

Légende

Jean Crépin M’Balla conte depuis deux ans.

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Article 2

L’association générale des sourds de Montpellier a signé une convention de jumelage avec ses homologues marocains de Fès.
Fès” moi signe !
Si la France est en avance sur l’intégration des sourds dans la société, il n’en est pas de même partout, notamment au Maghreb. C’est la raison pour laquelle l’Association générale des sourds de Montpellier et sa région (AGSMR), basée 45 rue Frédéric-Bazille, a tenu à marquer sa solidarité avec les sourds marocains en signant une convention de jumelage avec le Forum marocain des sourds et l’Association marocaine des sourds de Fès. « Nous nous sommes rendus compte de leur situation lors du Sommet méditerranéen et européen des sourds que nous avons organisé à Montpellier en novembre 2005, explique Françoise Chastel, la vice-présidente de l’Agsmr. La situation au Maghreb n’est pas facile. Là-bas, certains pensent que les sourds n’ont pas besoin d’aller à l’école ».

En vertu de cette convention, signée le 27 février à la Maison des relations internationales, les signataires ont convenu de développer des échanges à divers niveaux, notamment en ce qui concerne la langue des signes, la formation des interprètes, la vie associative, l’éducation, le sport, la santé et les moyens d’accessibilité pour les personnes sourdes. Cette signature est venue également clôturer la visite d’une semaine, à Montpellier, d’une délégation des associations marocaines de sourds.

Ce n’est pas le premier jumelage que signe l’Agsmr. Elle a, depuis 35 ans, noué des liens avec une association de sourds de Heidelberg. La prochaine rencontre avec l’association Heidelbergeoise aura lieu en mai pour une visite thématique du musée Fabre.

Infos : Association Générale des Sourds de Montpellier et sa région. 45, rue Frédéric Bazille. Tél : 04 67 65 62 40 / Fax : 04 67 65 68 35



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Signature de la convention le 27 février.

Encadré

Carnaval à Saint-Martin

L’Afrique, l’Asie, l’Europe avaient rendez-vous près de la maison pour tous l’Escoutaïre le 8 mars. En effet le carnaval 2008 avait pour thème les pays du monde.

Et c’est un festival de couleurs qui s’est déroulé à Saint-Martin. Grande nouveauté par rapport aux années précédentes, la présence de trois groupes de percussionnistes qui ont animé les défilés et permis à tous de danser lors du trajet et à l’arrivée. Les écoles élementaires et maternelles de la cité Mion et de Saint-Martin ont rivalisé d’inventivité et d’effort pour réussir ce carnaval, symbole de fraternité.

Agenda Les manifestations signalées par sont gratuites
Maison de quartier

Jean-Pierre-Caillens

04 67 42 63 04
Maison pour tous

l’Escoutaïre

04 67 65 32 70

Mix’n foot les 15 et 16 avril de 9h à 18h Programme : tournoi de foot, démonstrations de danse, chants et sports de combat.

Spectacle jeune public : contes africains avec Jean Crépin M’Balla le 16 avril à 15h à partir de 3 ans. Réservation conseillée.

Stage d’informatique théorique le 29 avril de 9h30 à 11h30. Session limitée à 5 personnes. Comprendre le fonctionnement d'un ordinateur et découvrir les bases de l’informatique.


Maison pour tous

Boris-Vian

04 67 64 14 67

Brèves

Un jour de plus

L’agence TaM Stationnement située rue Frédéric-Fabrèges est désormais ouverte

le samedi de 9h à 12h et de 13h à 16h15.

Les horaires du lundi au vendredi sont inchangés : de 8h30 à 17h15. L’agence accueille le public pour la création et le rechargement de cartes de stationnement sur voirie, et pour toutes informations sur les zones de stationnement, les parkings TaM et les parkings tramway.

Infos : 04 67 58 55 25. www.tam-way.com
En attendant la rénovation

Depuis quelques semaine, une bâche recouvre le toit du wagon, ancienne voiture du célèbre petit train de Palavas-les-Flots, présentée au rond-point des Prés-d’Arènes, près de la médiathèque Garcia-Lorca. Si une première réfection a été effectuée l’an passé, il s’agit, cette fois, de rénover la couverture du véhicule et ses huisseries, pour un montant de 70 000 €. Le véhicule étant classé monument historique, le service Espaces verts de la Ville attend le feu vert de la Drac (direction régionale des affaires culturelles) pour opérer la rénovation.

Encadré

Médiathèque Federico-Garcia-Lorca

Ouverte le mardi et le jeudi de 15h à 18h30, le mercredi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h30, le vendredi de 13h30 à 17h30 et le samedi de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h30.

207 rue Guillaume-Janvier. 04 67 27 17 17

Page 34

Art de vivre


culture
Article 1

Le Carré sainte-Anne accueille les œuvres d’Alain Bonicel du 17 avril au 13 mai. Vernissage le 16 avril à 18h.
L’éblouissement Bonicel
Dans l’atelier du peintre Bonicel, le jour diffuse. Les vitrages occupent trois cotés, les murs, hauts, sont entièrement blancs. Sur le seul mur aveugle s’appuient toiles et papiers de tous formats, travaux en cours tendus sur châssis ou marouflés. De grands lavis à élaboration lente jonchent le sol, là même où le peintre les travaille. Développement toujours inachevé de la même idée. Que nous apprend sur un créateur, le lieu même de sa création, cet espace où la réalité se décante ? Ici, ce pourrait être le silence. Un silence spectral, décomposé comme la lumière.

Le musée Fabre possède dans sa réserve une œuvre d’Alain Bonicel de 1980 : Architecture aux 3 paniers, une acrylique et résine synthétique sur toile en plastique.

En 2004, il fut lauréat de la IVe biennale internationale de Pilsen, en république tchèque. Pendant l’année 2008, son exposition itinérante “I culorid’Umani” est visible à Marseille, Aix en Provence, Ajaccio et Paris (Artcurial).

Infos : 04 67 60 82 42



Légende

Bonicel au Carré : œuvres récentes.

Page 35

Art de vivre


culture
Article 1

Yeti et Julia allient leurs arts à leurs sens de la scène, les 18 et 19 avril à la maison pour tous Joseph-Ricôme.
A la croisée des refrains
La chanteuse accordéoniste du groupe Yeti et la comédienne Julia Malançon ont décidé de présenter la nouvelle version de leur spectacle intitulé Julia et Yeti dans Yeti et Julia les 18 et 19 avril à 21h au théâtre Gérard-Philipe de la maison pour tous Joseph-Ricôme.

A la croisée de leurs itinéraires et de leurs talents, les deux artistes abordent les thèmes des amours déchus, des carrières loupées, des spécialistes un peu spéciaux, à travers un spectacle de sketches et de chansons. Coincés, barrés ou névrotiques, les personnages incarnés par ces deux furies sont néanmoins irrésistibles. Humour ravageur et dérision, non exempts d’un zeste de sensibilité, se tiennent fermement par la main.

Pour la petite histoire, rappelons que Julia s’est formée au conservatoire de Montpellier. Son spectacle seule en scène, intitulé Et hop, a participé à de nombreux festivals d’humour nationaux et remporté plusieurs prix. Elle est également improvisatrice dans les Trios d’impro ainsi que la Love impro de la compagnie BAO. Jetty Swart est installée à Montpellier depuis 1994. Elle y crée un répertoire de chansons en français. Ce n’est que plus tard qu’elle fonde le groupe Yeti, nom dont le public s’est emparé pour l’en affubler personnellement. En 2003, elle enregistre un premier album, Le cri du poisson, à coté de Montpellier. La même année, elle obtient le prix Sacem lors du concours Jeunes talents dans le cadre du festival Jacques-Brel à Vesoul.

En 2007, le groupe enregistre un 2e CD : Tapisserie. Parallèlement, Jetty se produit en solo dans les cabarets.

Réservation : 04 67 58 71 96

Légende

Deux femmes, un binôme…

Brèves

Prix littéraire

Premiers dits du colibri (éditions Le castor astral), ouvrage de poésie du Montpelliérain Stéphen Bertrand, préfacé par Vénus Khoury-Ghata, a reçu le prix Max-Pol Fouchet 2007. Stéphen Bertrand participe à la revue littéraire Souffles, de l’association des écrivains méditerranéens.

Infos : 01 48 40 14 95
Art contemporain

Jusqu’au 26 avril, Ni fait, ni à faire, l’atelier d’Eric Watier, est au Fonds régional d’art contemporain Languedoc-Roussillon (Frac LR). Les visites se font du mardi au samedi, de 14h à 18h. Tous les détails sur www.artisteslr.fr/artiste/eric_watier.

Jusqu’au 3 mai, la Vasistas galerie propose L’entre-deux d’une chose, Oratorios correspondances en une collection montpelliéraine, de Dominique Gauthier. L’exposition est accessible du mercredi au samedi, de 15h à 18h30, 37 avenue Bouisson Bertrand.

Infos : Frac. 4 rue Rambaud. 04 99 74 20 35

Infos : www.vasistas.org

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Article 2

La ciutat Gèli fa l’espectacle
Per sa segonda edicion, lo festenal musical “Gitanos” ven mai bèl e prepausa doas seradas de concèrts amb Diego Amador, lo 11 d’abril e lo Titi Robin triò, l’endeman lo 12 d’abril.

Los dos a 7 oras de vèspre.

Diego Amado mèscla flamenco tradicional e novator. Lo triò de Titi Robin es basat cap a l’improvisacion que cadun es a l’encòp acompanhator e solista.

L’objectiu es de respondre a las espèras dels caracos del barri Gèli/Figairòlas. “Gitanos” es nascut del rescontre amb Esteve Schwarcz, director de la Capèla, un luòc cultural, emai los estatjants de la ciutat Gèli, mai que mai Gypsi Catalan, l’associacion de las femnas caracas.

Infòs : 04 67 42 08 95

Bulle occitan

« Dubrir la ciutat amb un espectacle de qualitat. »*

Légende

Titi Robin Triò.

Traduction Occitan

La cité Gély fait son show
Pour sa deuxième édition, le festival musical “Gitanos” s’enrichit et a proposé deux soirées de concerts avec Diego Amador, le 11 avril et le Titi Robin trio le lendemain, 12 avril.

Tous deux à 19h.

Diego Amador mélange flamenco traditionnel et avant-garde. Le trio de Titi Robin est basé sur l’improvisation, chacun étant à tour de rôle accompagnateur et soliste.

L’objectif est de répondre aux attentes des gitans du quartier Gély/Figuerolles. “Gitanos” est né de la rencontre entre Etienne Schwarcz, directeur de la Chapelle, un lieu culturel et les habitants de la cité Gély, notamment Gypsi Catalan, l’association des femmes gitanes.

Infos : 04 67 42 08 95


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