Filozofická fakulta Masarykovej univerzity Ústav románskych jazykov a literatúry



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III. 2. 3. 4. Le discours direct

Etant donné que l’auteur évite le discours direct pour proposer l’image de la réalité par le héros, nous ne trouvons pas tant d’humour noir dans ce type de discours. Ainsi, les deux cas peuvent servir d’exemple :


Elle était supersympa, Nathalie... Un vrai canon, en plus. C'est nul, c'est la dèche... T'as été à l'enterrement ? Moi, les enterrements, je crains un peu. Et pour ce que ça sert... Remarque je me disais, peut-être pour les vieux, quand même. (p. 15.)
Dans le premier exemple, il s’agit du discours direct d’un homme que notre héros a rencontré dans l’ascenseur. Cet homme parle de la mort d’une fille qui s’appelle Nathalie. Même s’il accentue qu’elle « était supersympa », il ajoute qu’il n’a pas participé à l’enterrement. Et quelle était la raison de son absence à l’enterrement ? La crainte et parce que c’est « pour les vieux ». Le lecteur peut être étonné par la froideur que l’homme utilise pour parler de ce sujet délicat. Il se demande si cet homme aimait vraiment la fille morte quand il parle d’elle de cette façon. L’humour noir sort ici du regard que l’homme projette sur sa vie. Même la mort n’est pas un sujet sacré pour cet homme. Nous devons donc de rire de point de vue de l’homme sur la vie, du fait que l’enterrement n’est qu’un événement pour les personnes âgées. Le regard ordinaire sur l’enterrement quand toutes les personnes proches veulent être présentes se transforme en une image absurde d’absence à l’enterrement parce que c’est pour les vieux. Le narrateur utilise donc l’humour noir également pour rire de cette société pleine de préjugés.

Le deuxième exemple par lequel nous voulons prouver l’humour noir est le discours du héros:


J'ai dit : " Excuse-moi un instant... " et j'ai traversé la discothèque en direction des toilettes. Une fois enfermé j'ai mis deux doigts dans ma gorge, mais la quantité de vomissures s'est avérée faible et décevante. Puis je me suis masturbé, avec un meilleur succès : au début je pensais un peu à Véronique, bien sûr, mais je me suis concentré sur les vagins en général, et ça s'est calmé. L'éjaculation survint au bout de deux minutes ; elle m'apporta confiance et certitude. (p. 59.)
Même si cet exemple ne contient qu’une phrase en discours direct au début, nous avons décidé de l’inconporer dans ce sous-chapitre parce qu’il s’agit du discours indirect qui peut être facilement transformé en discours direct. De plus, le protagoniste parle ici de la situation qu’il a vécue directement dans le présent de l’histoire. Ainsi, l’action se passe à la discothèque où il a rencontré une femme qui se ressemblait beaucoup à son ancienne femme. Du coup, il ressent le besoin de vomir, il part donc aux toilettes et quand « la quantité de vomissures s’avère faible et décevante », il commence à se masturber. Deux situations en même temps nous sommes présentées : le vomissement et la masturbation du héros, toutes les deux activités sont décrites sans façon. L’humour noir y provient donc de la froideur de notre sommité en parlant du vomissement (le sujet dramatique). Ainsi, la répugnance est même provoquée par la forme qu’utilise le narrateur pour nous proposer cette image ; le narrateur utilise la description technique. Le vomissement et la masturbation, les deux faits qui devaient causer certains sentiments, le dégoût par exemple, ne les causent pas chez le protagoniste. Nous pouvons rester supris par la froideur qu’utilise le héros en parlant de cette expérience. Ce revirement imprévu cause donc le résultat qu’est l’humour noir.

Conclusion


Dans ce travail, nous avons examiné la notion d’humour noir dans le roman Extension du domaine de la lutte de Michel Houellebecq, connu grâce à ses romans provocateurs portant sur les sujets délicats de notre société, tel que la solitude, les questions de la sexualité humaine et le racisme. Du fait qu’il a essayé d’affliger la réalité critique de la société contemporaine, il a utilisé l’humour pour que son oeuvre ne soit pas si noire. Ainsi, nous sommes partie de l’hypothèse de la présence d’un concret type de l’humour dans ce roman, de la présence de l’humour noir. Nous avons essayé de montrer non seulement la présence de l’humour noir dans son oeuvre mais aussi sa fonction dans la construction de la signification de l’œuvre.

La première partie de notre travail était consacrée à la vie et à l’oeuvre de Michel Houellebecq. Premièrement, nous avons examiné les traits de ses oeuvres comme les références littéraires, le goût pour le morbide, les théories provocantes qu’il utilise ainsi que la caractéristique de son héros qui n’est pas capable de jouir de la vie. En second lieu, nous avons étudié sa vie de sa naissance jusqu’à son départ en Espagne après son accusation d'injures et d’incitation à la haine raciale. En dernier lieu, nous avons parlé de sa carrière littéraire qui a commencé par la fréquentation de différents cercles littéraires et finissant par son dernier roman La carte et le territoire publié en 2010.

Dans la deuxième partie de notre travail, nous nous sommes concentrés sur la définition de l’humour propre et de l’humour noir. L’humour, ne contenant pas au début la marque du comique (celle-ci n’était ajoutée qu’au XVIIe siècle), a pénétré dans les langues européennes au XVIIIe siècle. Parlant premièrement de son intraduisibilité, nous avons ensuite exploré ses deux types : oral et écrit se distinguant par la perception. Nous avons également consacré une partie de ce sous-chapitre à la manière de la création de l’humour. Ainsi, étant donné que l’humour noir nous a intéressée plus, nous l’avons traité dans notre deuxième sous-chapitre où nous l’avons défini, caractérisé par ses traits tels que le caractère sombre et la révolte métaphysique et nous avons traité ses équivalents dans les différentes langues ainsi que ses origines dans l’ouvrage de Jonathan Swift.

La troisième partie de notre travail a évoqué la présence de l’humour noir dans le roman Extension du domaine de la lutte. Nous l’avons traité dans les différents aspects du roman proposés par un théoricien littéraire tchèque Josef Hrabák. Nous avons donc commencé par la présence de l’humour noir dans l’aspect thématique où nous avons trouvé qu’il présent le moyen qui rend l’histoire d’un informaticien de trente ans plus intéressante et qu’il constitue également un des motifs. Nous avons ensuite examiné sa présence dans la composition de l’ouvrage que nous avons premièrement divisée à macro-composition et micro-composition. Nous avons démontré sa présence dans le premier type de composition où l’humour noir souligne la tragédie de l’histoire du protagoniste, et nous avons ensuite nous focalisé sur le deuxième type de la composition où l’humour noir n’est présent que dans le titre du roman où il fonctionne comme le moyen qui aide au protagoniste dans sa lutte contre ce que la société exige de lui. Enfin, nous avons prouvé sa présence à la construction linguistique. Nous avons continué par l’analyse des deux parties de la construction linguistique, c’est-à-dire de la langue utilisée (dans notre cas la langue parlée) et de la notion d’humour noir dans le discours. Après avoir divisé le discours du roman entre le discours du narrateur et les propos des personnages, nous avons analysé le premier parce que c’était le narrateur qui a raconté toute l’histoire du roman. Nous avons prouvé la présence de l’humour noir dans cet aspect du roman et nous avons également constaté sa prépondérance dans le discours du narrateur ce que montre que l’humour noir fonctionne comme un moyen de s’acquitter des réalités tragiques de notre époque pour le narrateur. Nous l’avons examiné en choisissant les discours concrets du roman.



En somme, nous avons exploré la présence d’une forme d’humour qui exploite des sujets dramatiques et tire ses effets comiques de la froideur et du cynisme. Notre hypothèse de son existence dans l’ouvrage était prouvé par ses traits typiques et par son effet qui provient d’un revirement imprévu quand les valeurs esthétiques positives incontestables sont paradoxalement et absurdement remettre en doute comme tragiques, inhumaines, absurdes. Nous avons également confirmé la présence de l’auteur dans le roman et son lien au narrateur et au héros ; c’était l’auteur qui a utilisé ses propres expériences pour les mettre dans la bouche du narrateur qui s’identifie avec la sommité. Cependant, nous pouvons nous demander si l’humour noir qui a essayé de rendre l’histoire plus ridicule, ne le rend plus noir.

Bibliographie
Oeuvres analysées

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  • HOULLEBECQ Michel, Rozšíření bitevního pole, Mladá Fronta, Praha, 2004, 154 p. (traduit par Alan Beguivin)


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1 Lanau – Imbert Caroline, « News – société », Un cours sur la pornographie dans une université, mis en ligne le 17 avril 2013, http://www.aufeminin.com/societe/un-cours-sur-la-pornographie-dans-une-universite-s47284.html, consulté le 24 juin 2013.

2 A. K., « Racisme – antisémitisme », La SNCF a-t-elle voulu cacher ses employés noirs et arabes ?, mis en ligne le 15 avril 2013, http://www.bfmtv.com/societe/sncf-a-t-elle-voulu-cacher-employes-noirs-arabes-493106.html, consulté le 24 juin 2013.

3 Clément Murielle Lucie, Michel Houellebecq revisité : l’écriture houellebecquienne, Paris, L’Harmattan, 2007, p. 12.

4 Breton André, Antologie černého humoru, Praha : Concordia, 2006, p. 21.

5 Moran Patrick et Gendrel Bernard, « Fabula, la recherche en littérature », Atelier de théorie littéraire : Humour noir, mis en ligne le 24 mai 2007, http://www.fabula.org/atelier.php?Humour_noir, consulté le 18 mars 2012.

6 Noguez Dominique, Houellebecq, en fait, Fayard, 2003, p. 7.

7 Ibid., quatrième de couverture.

8 Ibid., p. 8.

9 Naulleau Éric, Au secours, Houellebecq revient !, Éditions Chiflet & Cie, Paris, 2005, p. 51.

10 Ibid., p. 51.

11 Ibid., p. 51.

12 Ibid., p. 48.

13 Clément Murielle Lucie, Michel Houellebecq revisité : l’écriture houellebecquienne, L’Harmattan, Paris, 2007, p. 141.

14 Ibid., p. 164.

15 Clément Murielle Lucie, op. cit., p. 175.

16 Viart Dominique et Vercier Bruno, La littérature française au présent, Editions Bordas, Paris, 2008, p. 359.

17 Ibid., p. 360.

18 Ibid.

19 Clément Murielle Lucie, op. cit., p. 183.

20 Voir Michel Houellebecq [online]. [2011-11-6] Accessible de : http://www.houellebecq.info/ bio.php3.


21 Voir Michel Houellebecq [online]. [2011-11-6] Accessible de : http://www.houellebecq.info/ bio.php3.



22 Hrych Ervín, Dějiny světového humoru, Marsyas, Praha, 1994, p. 7.

23 Ibid.

24 Bergson Henri, Le Rire, essai sur la signification du comique, Librairies Félix Alcan et Guillaumin réunies, Paris, 1913, p. 130.

25 Ibid., p. 130.

26 Breton André, Antologie černého humoru, Praha, Concordia, 2006, p. 12.

27 Ibid., p. 12.

28 Larousse, « L’humour » : la définition, disponible sur le site : http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/humour/40668?q=humour#40575, consulté le 15 juin 2013.

29 Breton André, op. cit., p. 14.

30 Breton André, op. cit., p. 113.

31 Dvorský Ladislav, Repetitorium jazykové komiky, Novinář, Praha, 1984, p. 13.

32 Bergson Henri, op. cit., p. 106.

33 Dvorský Ladislav, op. cit., p. 10.

34 Bergson Henri, op.cit., p. 113.

35 Dvorský Ladislav, op. cit., p. 10.

36 Bergson Henri, op.cit., p. 117.

37 Ibid., p. 125.

38 Dvorský Ladislav, op. cit., p. 12.

39 Bergson Henri, op. cit., p. 6.

40 Le Petit Robert 2011, L’humour noir, LeRobert, Paris, 2011.

41 Žilka Tibor, Poetický slovník, Tatran, Bratislava, 1987, p. 52.

42 Ibid.

43 Ibid.

44 Ibid.

45 Štraus František, Príručný slovník literárnovedných termínov, Vydavateľstvo spolku slovenských spisovateľov, Bratislava, 2005, p. 188.

46 Ibid., p. 75.

47 Patrick Moran et Bernard Gendrel, Atelier de théorie littéraire : Humour noir, http://www.fabula.org/atelier.php?Humour_noir, consulté le 18 mars 2012.

48 Patrick Moran et Bernard Gendrel, op. cit.

49 Ibid.

50 Ibid.

51 Ibid.

52 Breton André, op. cit., p. 21.

53 Ibid., p. 20.

54 Ibid.

55 Patrick Moran et Bernard Gendrel, op. cit.

56 Patrick Moran et Bernard Gendrel, op. cit.

57 Ibid.

58 Ibid.

59 Breton André, op. cit., p. 21.

60 Ibid.

61 Ibid.

62 Ibid.

63 Patrick Moran et Bernard Gendrel, op. cit.

64 Ibid.

65 Hasche Susan, « Ami-mots », Extension du domaine de la lutte par Michel Houllebecq, les raisons d’un succès, mis en ligne le 23 mai 2012, http://ami-mots.over-blog.com/article-quot-extension-domaine-lutte-quot--houellebecq--raisons-d-un-succes-86421895.html, consulté le 25 mai 2013.

66 Ibid.

67 Nothingman, « Critiques libres », Extension du domaine de la lutte, mis en ligne le 16 janvier 2003, http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/3446, consulté le 25 mai 2013.

68 Ibid.

69 Ibid.

70 Ibid.

71 Hrabák Josef, Čtení o románu, Státní pedagogické nakladatelství, Praha, 1981, p. 44.

72 Ibid.

73 Ibid.

74 Ibid.

75 Ibid.

76 Žilka Tibor, op. cit., p. 48.

77 Houllebecq Michel, Rozšíření bitevního pole, Mladá Fronta, Praha, 2004, traduction par Beguivin Alain, p. 148.

78 Houllebecq Michel, traduction par Beguivin Alain, op. cit., p. 149.

79 Ibid.

80 Ibid.

81 Ibid.

82 Hrabák Josef, op. cit., p. 44.

83 Žilka Tibor, op. cit., p. 79.

84 Findra Ján, Gombala Eduard et Plintovič Ivan, Slovník literárnovedných termínov, Slovenské pedagogické nakladateľstvo, Bratislava, 1979, p. 177.

85 Hrabák Josef, op. cit., p. 41.

86 Žilka Tibor, op. cit., p. 187.

87 Ibid., p. 188.

88 Ibid.

89 Ibid.

90 Nous avons traduit la notion de fabule (utilisé par Hrabák Josef dans son livre Čtení o románu, p. 43.) comme l’histoire.

91 Hrabák Josef, op. cit., p. 43.

92 Hrabák Josef, op. cit., p. 41.

93 Žilka Tibor, op. cit., p. 188.

94 Nous avons traduit la notion de syžet (utilisé par Hrabák Josef dans son livre Čtení o románu, p. 43.) comme le récit.

95 Hrabák Josef, op. cit., p. 41.

96 Reuter Yves, L’analyse du récit, Armand Colin, 2012, p.77.

97 Guillemette Lucie et Lévesque Cynthia, « Site Internet des théories sémiotiques », La narratologie, mis en ligne en 2013, http://www.signosemio.com/genette/narratologie.asp, consulté le 10 juillet 2013.

98 Findra Ján, Gombala Eduard et Plintovič Ivan, Slovník literárnovedných termínov, Slovenské pedagogické nakladateľstvo, Bratislava, 1979, p. 265.

99 Ibid.

100 Findra Ján, Gombala Eduard et Plintovič Ivan, Slovník literárnovedných termínov, Slovenské pedagogické nakladateľstvo, Bratislava, 1979, p. 265.

101 Findra Ján, Gombala Eduard et Plintovič Ivan, Slovník literárnovedných termínov, Slovenské pedagogické nakladateľstvo, Bratislava, 1979, p. 265.

102 Ibid.

103 Ibid.

104 Le terme était crée par Gerard Genette mais il est également utilisé par Yves Reuter dans L’analyse du récit (Reuter Yves, L’analyse du récit, Armand Colin, 2012, p. 53).

105 Krausová Nora, Rozprávač a románové kategórie, Slovenský spisovateľ, Bratislava, 1972, p. 29.

106 Ibid.

107 Reuter Yves, op. cit., p. 61.

108 Guillemette Lucie et Lévesque Cynthia, op. cit.

109 Houellebecq Michel, op. cit., p. 79.

110 Ibid., p. 75.

111 Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales, « Portail lexical », Morbidité, mis en ligne en 2012, http://www.cnrtl.fr/lexicographie/morbidit%E9, consulté le 28 juillet 2013.

112 Houellebecq Michel, op. cit., p. 62.

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