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Filologiya məsələləri, 2017 
 198
 
С.БАБАЕВА 
 
СЛОВА МЕТАФОРИЧЕСКИМ ЗНАЧЕНИЕМ НА 
АНГЛИЙСКОМ ЯЗЫКЕ 
 
РЕЗЮМЕ 
 
В  статье  рассказывается  о  словах  метафорическим  значением, 
исползованные    на  английском  языке  и  указывается  их  средства 
выражения  на  азербайджанском  языке.  Здесь  подробно  говорится  о 
форморивании  метафора,  главном  образом  в    процесс  абстрактные  
слова, приводятся примеры.Также в статье нашло свое отражение пути 
появления  метафор  на  английском  языке.  Даны  метафорические 
значении  каждого  слова  на  азербайджанском  языке.Как  на 
английском,так и в Азербайджанском языке часто встречаются случаи 
использования  метафорах.Широкое  распростронение  метафоровбв 
частности  на  Английском  языке,приводит  к  их  частому  появлению 
перед читателями в прессах и в литературных произведениях.  
В этом случае,в их понимание для перевода на Азербайджанский 
язык  должны  быть  использованы  различные  методы.В  противном 
случае  произойдут  определенные  недаразумения  и  это  привидут  к 
нарушению норм языка.  
 
Rəyçi:    Yusif Süleymanov 
 Filologiya 
üzrə fəlsəfə doktoru, dosent 


Filologiya məsələləri, 2017 
 199
Tǝranǝ Kǝlǝntǝrova 
Azǝrbaycan Dillǝr Universiteti 
tarana_adu@yahoo.fr 
 
LES CALQUES LINGUISTIQUES : DU FRANÇAIS AUX AUTRES 
LANGUES 
 
Mots clés : emprunt, calque, vocabulaire 
Açar sözlǝr : alinmalar, kalka, lüğət 
Kлючевые слова : заимственные слова, словарь, kалка 
Key words : borrowing words, calquevocabulary 
 
Etant un phénomène si habituel, si indispensable et si fréquent dans toutes 
les langues, l’emprunt linguistique jouit d’une certaine importance puisqu’il 
n’est difficile pour personne de le remarquer en lisant telle ou telle œuvre de 
même qu’en écoutant n’importe quelle discussion. Donc, nous n’avons pas tort 
quand nous prétendons que l’emprunt linguistique tient sa place dans tous les 
types de discours, de communication ou de langue ; il apparaît pareillement 
dans tous les niveaux de langue – soutenue, courante, etc. et – en d’autres 
termes,  il ne cesse de faire partie de la vie des gens et d’être utilisé dans la vie 
quotidienne dans la plupart des pays.  
Donc, les mots entrent dans la langue sans visa et sans contrôle, ils 
envahissent le quotidien du peuple. Beaucoup de ces mots fait partie de la vie de 
tous les jours. Tout naturellement, ils s’installent dans la langue, l’enrichissent et 
deviennent simplement indispensables pour la parole. Plusieurs raisons peuvent 
expliquer l’emprunt lexical. Ainsi, quand de nouveaux animaux, des plantes ou 
des instruments alors inconnus ont été découverts, leur nom a souvent été 
directement emprunté aux langues des pays qui les abritent. 
Le degré d’usage de ces mots dépend essentiellement  du domaine de 
l’activité humaine. Le destin de telle ou telle catégorie des mots étrangers est 
spécifique en fonction du domaine  de la connaissance ou du domaine de 
l’activité humaine, du caractère de son lien avec la société, du rôle et de la place 
dans le développement social,  en fonction des intérêts de la société, autrement 
dit, en fonction des conditions concrètes historiques  du développement social 
du peuple. Ces mots ont une possibilité de passer  de l’usage limité  à l’usage 
plus large dans le vocabulaire azerbaïdjanais quand ils dénotent des notions et 
phénomènes répandus. Et ils s’adaptent rapidement au système lexical et 
stylistique de la langue azerbaïdjanaise pendant le processus. Ces mots subissent 
des changements différents comme phonétique, graphique, morphologique et 
sémantique.  
Quand on parle des emprunts, il faut souligner des calques linguistiques 
qui sont venues en azerbaïdjanais directement ou indirectement (via le russe et 
via le turc). C'est pour cette raison nous allons parler des calques linguistiques 
dans cette article.  


Filologiya məsələləri, 2017 
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Les influences étrangères sur l’azerbaidjanais s’exercent essentiellement 
sur les signifiés (sens) et les signifiants (forme). « Le calque est une manière 
adoucie d’emprunter, sans heurter le sentiment linguistique des usagers. Le 
calque suppose toujours un bilinguisme plus ou moins parfait. »
1
. C’est ainsi 
que Louis Deroy souligne la particularité des calques. Il s’agit donc plutôt qu’un 
transfert de concept, un véritable emprunt linguistique. Ce qui montre que 
certains mots ont été d’abord calqués, puis seulement empruntés. Ce qui est 
emprunté par le moyen du calque, ce n’est pas la forme externe du mot, ni le 
sens seul, mais cet élément immatériel que les linguistes appellent parfois la 
« forme interne ».  
A la différence de l’emprunt, terme importé d’une langue dans une autre, 
souvent assorti d’aménagement divers, le calque est un processus de traduction
2
.  
Il importe de noter que le calque lexical se distingue de l’emprunt de sens parce 
qu’il produit un mot nouveau. 
Le calque repose sur un système de correspondances non seulement entre 
les radicaux mais entre les préfixes et les suffixes. Ce dernier point est bien 
illustré par les exemples suivants. Par exemple : avec le préfixe baş - ;  
başkomandan (commandant en chef). Sur le plan syntaxique, les quelques 
inspirations du turc se limitent aux tournures de style comme les formes 
verbales de type duş almak (prendre une douche), greve gitmek (aller à la 
grève). 
En azerbaïdjanais, il existe très peu de calques français. Le terme 
« calque » est souvent lié  au mot « traduction ».  
D’après N. Mamedov les mots nouveaux par calque se produisent selon la 
traduction littérale du terme
3
.   
On peut distingues les calque de la façon suivante. 

 
traduction littérale du terme : ce qu’on appelle aussi calques 
multilingues ou calque lexical. On peut citer le calque très typique comme 
« lune de miel » et « gratte-ciel ». 
anghoneymoon → frlune de miel → trbalayı → azbalayı 
angskyscraper → frgratte-ciel→ tr. gökdelen → azgöydələn 
 
Gök  – « ciel»delen qui vient du mot delemek – « gratter, percer ». Mais, 
le mot balayı est identique celui du turc et les deux éléments linguistiques sont 
                                                            
1
 .  DEROY  Louis,  L’emprunt linguistique, Société d’Edition « les Belles Lettres », Paris, 
1956, p.216.  
2
. Idem, p.408 
3
. MAMMEDOV N., Les principes théoriques de la linguistique azerbaïdjanaise, Bakou, 
Maarif, 1971, p.126.  


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