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LA CHARTREUSE de VILLENEUVE LES AVIGNON :2 EXPOSITIONS



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LA CHARTREUSE de VILLENEUVE LES AVIGNON :2 EXPOSITIONS :

Il était plusieurs fois... du 7 juillet au 5 novembre


une traversée d’après le livre dessiné Bible, les récits fondateurs (Bayard éditions, 2016)
de Serge Bloch et Frédéric Boyer : Raconter, dessiner, traduire. Qui n’a jamais éprouvé la nécessité de raconter ce qu’il avait lui-même lu ou entendu ? Il n’y a d’histoires et de récits que de ces transmissions de l’un à l’autre, des uns pour les autres, traversant les temps, les langues, les lieux et les cultures. Une manière non seulement de mettre à la portée de tous ces textes fondateurs de la culture occidentale, communes aux trois grandes religions monothéistes, mais plus encore de raconter le monde d’aujourd’hui.

L’ARCHITECTURE EN FETE : LES 14 et 15 octobre 2017 : ECLAIRER : SOUS LA LUMIERE …LE CORBUSIER AFIRMINY/ LE GRAND CLOITRE EN COULEUR : Ces deux jours proposent des conférences, animations, expositions, films et rencontres. Vous pouvez trouver le programme complet de ces journées sur : www.chartreuse.org ou 04 90 15 24 24 tout est en ENTREE LIBRE/

A NE PAS MANQUER



Renseignements pratiques : Chartreuse : Tous les jours 10h 16H30. Tel : 04 90 15 24 32. Tarifs d’entrée du monument.















ARLES :

ABBAYE DE MONTMAJOUR/ Monument seulement en ce moment

Tarif : droit d'entrée du monument



ESPACE POUR L’ART :exposition en cours de montage : prochaine exposition :Gwenola Wagon et Stéphane Degoutin : du 10 novembre au 7 décembre 2017. Vernissage le 9 novembre 2017 à 18 h : Le chaton et l’usine automatique

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES/Galerie espace pour l’art, 5 rueRéattu, Arles - 06 74 69 21 92 ouverte de 14 h à 18 h Jeudi, vendredi et samedi et dimanche 23/04http://www.espacepourlart.com/www.espacepourlart.com/>



CHAPELLE DU MEJEAN/ pas d’exposition en ce moment

Renseignements pratiques : ENTREE LIBRE. Chapelle du Méjean Place Massillon Arles. Ouvert du Mercredi au Dimanche de 14H à 18H.Tel :0490 49 56 78 ou

Mejean@actes-sud.fr ou www.lemejean.com

FONDATION LUMA (Grande Halle site des Ateliers SNCF) : Pas d’exposition en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert tous les jours de 10 à 19 h30.

http//www.fondation-luma.org

MUSEE DE L’ARLES ANTIQUE/ Collections permanentes+ exposition temporaire:







EXPOSITION : LE LUXE DANS L’ANTIQUITE : du 1er juillet au 31 janvier 2018 : Une exposition en trois parties :Se payer le luxe d’une exposition internationale

En 2010, la Bibliothèque nationale de France confiait au Getty Museum de Los Angeles pour restauration un des plus fameux trésors d’argenterie de l’Antiquité romaine : le trésor de Berthouville. De ce partenariat naquit le projet d’une très riche exposition consacrée au luxe romain qui fut présentée dans quatre métropoles des États-Unis : Los Angeles, San Francisco, Kansas City et Houston. Le musée départemental Arles antique accueillera à son tour cette exposition pour une période de six mois. Mais loin de se contenter de récupérer une exposition itinérante déjà scénarisée, les commissaires ont décidé d’en élargir le propos en mettant en regard ces collections exceptionnelles de la Bibliothèque nationale de France (BnF) avec celles du musée qui comportent de très nombreux témoignages de ce que pouvait être le luxe dans l’Arles antique, dont les enduits peints retrouvés en Arles : Le public pourra découvrir en avant-première quelques-unes des très belles peintures murales uniques en France, découvertes ces trois dernières années sur le site archéologique de la Verrerie à Trinquetaille, dignes des décors peints des maisons de Pompéi.

Seule étape française pour cette exposition, le musée d’Arles exposera ces trésors jusqu’en janvier 2018 avant qu’ils ne continuent leur parcours international, cette fois-ci vers Copenhague...

UNE EXPOSITION A VOIR ABSOLUMENT ET RECOMMANDEE POUR TOUS LES SCOLAIRES.

Voir les services d’éducation très importants et actifs dans ce musée archéologiques où de nombreuses animations et ateliers sont prévus autour de cette exposition exceptionnelle en France et à l’international.





Renseignements pratiques : Tel : 04 13 31 51 03 ou www.arles-antique.cg13.fr

MUSEE REATTU : 3 expositions : JACQUES REATTU (1760-1833) ARELATENSIS-UN REVE D’ARTISTE : jusqu’au 7 janvier 2018 : Une exposition reconnue d’intérêt national : qui se déploie dans le musée et aussi à la Chapelle Sainte Anne, place de la République à Arles.
L’exposition est conçue sur deux lieux symboliques. Le musée Réattu est consacré à la grande rétrospective de l’oeuvre du peintre arlésien, de ses premiers dessins (1778-80) à ses derniers projets (1830), en passant par sa victoire au Grand Prix de Rome (1790). A la Chapelle Sainte- Anne, place de la République, sont dévoilées ensemble pour la première fois les six peintures monumentales (2m x 6m) en « grisailles » du Temple de la Raison de Marseille ainsi que l’ensemble des dessins préparatoires. Cette présentation est l’aboutissement d’un programme de restauration complet entrepris dès 2014 qui a su associer des partenaires aussi importants que la Fondation BNP Paribas, le Conseil Général de l’Isère (musée de la Révolution française – domaine de Vizille), le Ministère de la Culture (DRAC Paca), et l’association des Amis du musée Réattu « Avec le Rhône en vis-à-vis » qui a orchestré une campagne de mécénat participatif.Au total, ce sont plus de 100 peintures et 200 dessins qui seront présentés au public à l’occasion de cette exposition d’envergure.

Des prêteurs prestigieux. Si la majeure partie de l’oeuvre de Réattu est aujourd’hui à Arles, il était essentiel de faire venir pour la première fois dans la patrie du peintre arlésien des œuvres conservées dans de nombreuses institutions et quelques rares collections privées. Tous ont répondu avec une grande générosité à l’appel du musée Réattu : Aix-en-Provence, Académie d’Aix - musée-bibliothèque Paul Arbaud ; Besançon, musée des Beaux-Arts et d’Archéologie ; Le Mans, musée de Tessé ; Montpellier, musée Fabre ; Paris, musée du Louvre ; Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’exposition est par ailleurs l’occasion unique de mettre en relation l’oeuvre de Réattu avec celle de ses contemporains qu’il a côtoyés directement à Paris ou en Italie : Anne-Louis GirodetTrioson (Angers, musée des Beaux-arts), Charles Meynier (Boulogne-Billancourt, Bibliothèque Paul-Marmottan), Philippe Chéry (La Rochelle, musée des Beauxarts), Philippe Hennequin (Lyon, musée des Beaux-arts), Etienne-Barthélémy Garnier (Paris, Ecole Nationale supérieure des Beaux-arts), Joseph-Marie Vien (Paris, musée du Louvre), Jean-Charles Tardieu (Toulouse, musée des Augustins), Jean-Joseph Taillasson, Nicolas de Courteille (Vizille, musée de la Révolution française), Simon Julien (Caen, musée des Beaux-arts)…

Une exposition labellisée « Exposition d’intérêt national »
Un tel projet d’exposition, tant par son contenu artistique que scientifique ne pouvait que s’accompagner d’une riche programmation culturelle à même de toucher le plus large des publics, autant de critères retenus par le Ministère de la Culture pour lui accorder le label « Exposition d’intérêt national ». L’exposition « Jacques Réattu, arelatensis – Un rêve d’artiste » est la seule exposition ayant obtenu ce label pour l’année 2017 en région PACA.

Les 6 peintures de « Grisailles » exposées comme dans le Temple de la Raison de Marseille, pour lequel elles avaient été conçues et donc mises en situation dans la Chapelle Sainte Anne, sont une rareté qu’il ne faut pas manquer.



A VOIR ABSOLUMENT

Antoine Raspal :Pinxit :7 octobre 2017 - 7 janvier 2018 :

C'est autour de la personnalité d'Antoine Raspal (1738-1811), oncle de Jacques Réattu, que le musée Réattu et Fragonard Parfumeur ont choisi de s'unir pour proposer une double exposition sur le peintre arlésien, présentée au musée Jean-Honoré Fragonard de Grasse du 12 mai au 16 septembre 2017 et au musée Réattu du 7 octobre 2017 au 7 janvier 2018. Bénéficiant du soutien de cette entreprise emblématique du Midi de la France dont les fondateurs, Hélène et Jean-François Costa, furent de grands collectionneurs de peintures provençales du XVIIIe siècle, l'exposition fait état des recherches les plus récentes sur celui que l'on réduit parfois trop vite à la formule « Antoine Raspal, peintre des Arlésiennes ». Elle constitue la plus importante monographie jamais consacrée à ce peintre aussi rare que singulier dans le paysage artistique provençal du XVIIIe siècle et propose de redécouvrir ses oeuvres les plus célèbres en regard de peintures qui n'ont, pour certaines, jamais été exposées au public. Inscrite dans la lignée de l'exposition Jacques réattu, arelatensis - Un rêve d'artiste et de l'exposition antonelle, un arlésien dans la révolution Française, 1747-1817, l'exposition Antoine Raspal. Pinxitaborde une autre facette de l'histoire sociale et artistique d'Arles : celle d'un attachement encore sensible aux codes de l'Ancien Régime, à la haute bourgeoisie et à l'aristocratie provençale, qui constituent l'essentiel de la clientèle de Raspal en plein avènement de la Révolution française.


Le Mot du Commissaire Clément Trouche :Exposer Antoine Raspal à Réattu c'est une immersion directe dans son quartier, au coeur de sa vie, dans son intimité. Redéfinir les contours de sa carrière et de sa production semblait essentiel quarante ans après la dernière exposition que le musée lui avait consacré en 1977. La diversité de sa production ne facilite pas sa compréhension. Il a fallu réattribuer, rechercher et rassembler près de 60 oeuvres et constituer un nouvel état de la recherche. Depuis leur réalisation dans le dernier quart de XVIIIe siècle, ses célèbres portraits d'arlésiennes, par leur parfait anonymat, sont encore à ce jour tout aussi énigmatiques. Ils demeurent néanmoins fortement liés à l'activité familiale, à l'atelier de Couture, dirigé par ses soeursthérèse et Catherine, dont il laisse par sa
représentation sur panneau de bois, un instant de vérité unique et pour l'éternité.
Antoine Raspal s'avère être un peintre hors circuit mais pas hors de son temps. Cette double exposition débutait au mois de mai 2017 à Grasse au Musée Jean-Honoré Fragonard de Fragonard Parfumeur. Sa seconde présentation dans les murs du musée arlésien créé par Elisabeth Grange, la petite nièce d'Antoine Raspal, s'appuie sur les relations entre les artistes et la société qui l'entourent, mais également sur le plus grand talent du peintre, celui de la représentation exacte de la mode, depuis l'atelier de Couture.Dans le cadre de cette valorisation des artistes et personnalités arlésiennes de la fin du XVIIIe siècle, Antoine Raspal se devait de refaire surface. Par son oeuvre c'est plus largement la société arlésienne de l'Ancien Régime, ses mutations, ses moeurs et ses valeurs qui nous sont décrites jusqu'aux portes de la Révolution.

A VOIR ABSOLUMENT
RENCONTRES A REATTU : du 1er juillet au 7 janvier 2018 :

Troisième volet d’un cycle voué à la redécouverte du département photographique du musée – initié en 2014 avec Les Clergue d’Arles et Oser la photographie en 2015 – l’exposition Rencontres à Réattu révèle le lien intime qui unit l’institution aux Rencontres d’Arles.


Véritable conservatoire de la mémoire des Rencontres, le musée reçoit depuis plus de 15 ans des œuvres de la part du festival qui ont fini par constituer une collection singulière. Libérée des impératifs de la conservation du patrimoine photographique et de la représentation de l’Histoire du médium, cette collection est le fruit du regard des directeurs du festival et de ses commissaires d’expositions, mais aussi de la liberté laissée aux artistes de donner des tirages à l’issue de chaque édition. En prise directe avec la création la plus actuelle, elle reflète l’étendue des territoires explorés par la photographie, de l’approche documentaire aux tendances les plus plasticiennes. Ancrée dans les collections historiques mais construite à partir des acquisitions les plus récentes, l’exposition préfigure le musée Réattu de demain et l’avenir d’une collection photographique en pleine mutation. Elle y célèbre le rôle jubilatoire du dépôt des Rencontres : celui d’un agitateur de particules, d’un agent révélateur qui vient précipiter la collection de la « Section d’Art Photographique », instaurée en 1965 au sein d’un musée voulu comme un laboratoire, ouvert à toutes les hybridations possibles entre photographie, beaux-arts et art contemporain. En s’attachant à la question du portrait, véritable fil conducteur du dépôt des Rencontres et de la collection du Réattu, les œuvres déclinent la vision des photographes sur le rapport entre artiste et modèle et interrogent, sous forme de lecture croisée, les missions assignées à la photographie : identifier, reconnaître, inventorier, classer, explorer les méandres du corps et de l’esprit humain.
Qu’elle représente un groupe ou un individu, qu’elle soit l’œuvre d’un d’anonyme ou d’un artiste reconnu, chaque photographie présentée témoigne de son époque, du mélange de fascination et de répulsion que l’homme nourrit face à sa propre image, et participe à la construction d’une étonnante suite de personnalités qui se rencontrent ici en toute liberté : les yakuzas, les fans des extra-terrestres, les cyclistes, les transgenres, les Arlésiennes, les prêtres et les bonnes sœurs, les pygmées, les amants, les grévistes, les touristes, les gitans, les passants, les militaires, les étudiants, etc.

A VOIR ABSOLUMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Tel : 04 90 49 37 58 ou reattu.publics@ville-arles.fr

FONDATION VAN GOGH / 2 EXPOSITIONS :

TABLEAU DE VAN GOGH : L’ENTREE DANS UNE CARRIERE : jusqu’au 31 mars 2018 :Lors de son internement à l’asile Saint-Paul-de-Mausole à Saint-Rémy-de-Provence, Van Gogh s’empare des environs pour nourrir sa géographie d’artiste. Il peint et dessine inlassablement de nouveaux motifs provençaux : cyprès, oliveraies et collines. La chaîne des Alpilles s’élevant derrière les bâtiments de l’asile, le peintre a ainsi l’occasion de représenter ce massif montagneux ainsi que la carrière qui se trouve à proximité. De cette dernière, il donna deux représentations : l’une peinte à la mi-juillet – peu de temps après qu’il ait subi une nouvelle crise –, l’autre au mois d’octobre.À propos de L’Entrée dans une carrière, Van Gogh écrit à son frère Theo le 22 août 1889 : « Et juste c’était un essai plus sobre de couleur mate sans apparence, des verts rompus, des rouges et des jaunes ferrugineux d’ocre, ainsi que je te le disais que par moments je sentais l’envie de recommencer avec une palette comme dans le Nord1 ». Cette palette du Nord est celle de la terre, faite de tonalités ocre et de verts foncés.

LA VIE SIMPLE − SIMPLEMENT LA VIE / SONG OF ALIENATION/ du 7 octobre au 2 avril 2018 :de 11h à 18h.

L’exposition collective de la rentrée 2017 réunit une sélection d’œuvres d’artistes contemporains et historiques qui mettent en relief nos conceptions de styles de vie tournés vers la simplicité. Jouant la carte des associations libres, « La Vie simple – Simplement la vie » puise dans les fantasmes et élans nostalgiques que son titre même convoque. Cette vie simple prend son origine chez Van Gogh dans ses premières expériences comme pasteur et dans le Borinage, le bassin minier wallon. Cet idéal de vie s’exprime également dans son admiration indéfectible pour l’art et la personne de Jean-François Millet, peintre de la vie paysanne française du XIXe siècle. Si les deux ancrages historiques qu’offrent Millet et Van Gogh constituent une base pour l’exposition, ils permettent aussi d’aborder le thème avec gaieté. À l’image de la traduction en mouvements et en couleurs des scènes paysannes de Millet par Van Gogh, la majorité des œuvres rassemblées poursuit le souhait du peintre néerlandais : « pouvoir montrer qu’on puisse être simple avec autre chose que du gris, blanc, noir et brun1 ».


Conçues spécialement pour l’exposition ou peu exposées en France, les œuvres de « La Vie simple – Simplement la vie » évoquent les différents aspects que le terme de « simplicité » revêt, tels, par exemple, les formes de vie et le rapport de l’homme avec la nature et l’espèce animale. Les contributions des artistes contemporains permettent aussi de déconstruire le mythe d’un style de vie orienté vers l’apaisement et l’épure. Le film d’animation The Pure Necessity (La Pure Nécessité, 2016) de David Claerbout est une adaptation étonnante du Livre de la jungle produit par Disney en 1967. L’installation de Pawel Althamer crée les conditions d’un espace convivial entre visiteurs et bêtes à plumes tandis que le film O Peixe (The Fish, 2016) de Jonathas de Andrade, filmé au Brésil, appelle des sentiments ambigus face à la mort d’un animal. La série de photographies Iris Tingitana (2007, nom latin de l’iris indigène de Tanger) d’YtoBarrada nous renvoie, avec cette fleur très présente dans l’iconographie de Van Gogh, à la « botanique du pouvoir » ; tandis que les xylographies d’Andrea Büttner semblent être un hymne à l’humilité. C’est à travers une sélection de santons des XVIIIe et XIXe siècles que sont interrogés les objets de piété populaire et la représentation des « petits métiers » que l’on retrouve dans les peintures de Van Gogh.

Cette exposition, d’une remarquable cohérence et dont on pénètre facilement l’esprit, réunit les oeuvres de :Jonathas de Andrade, Pawel Althamer,YtoBarrada, Andrea Büttner, David Claerbout, SanyaKantarovsky, Jean-Francois Millet, Nicolas Party, Dan Perjovschi, Juergen Teller, Oscar Tuazon, Vincent van Gogh, et les Santons du MuseonArlaten, estampes et chromatiques, d’après Jean-François Millet et une sélection d’œuvres de la collection de la Fondation Vincent Van Gogh Arles, dite Collection Yolande Clergue.

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :
Fondation et librairie ouvertes du mardi au dimanche de 11h à 18h.Fermées les lundis excepté le lundi 31 octobre 2016. Dernière admission 45 min avant la fermeture.Droits d'entrée : tarif plein 9 € / réduit 7 €, jeunes et étudiants 4 €, moins de 12 ans gratuit, gratuit les premiers dimanches du mois.Visites commentées (en français) : tous les jours à 11h30 et 15h, 2 €Visite de groupes : Conditions de réservation sur fondation-vincentvangogh-arles.org, T+33 (0)4 90 93 49 36 et reservation@fvvga.org.

CAVAILLON

HOTEL AGAR : MONUMENT SEULEMENT EN CE MOMENT

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : 58 rue Liffran 84300 Cavaillon. Visites guidées tous les jours à 14H30, 15H30, 16H30, 17H30. Tel : 06 24 17 20 13



CHAPELLE DU GRAND COUVENT/ Pas d’exposition en cours en ce moment

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : ENTREE LIBREouvert tous les jours de 13H30 à 18H30, sauf MARDI et

DIMANCHE (Public scolaire : réservation au 06 80 72 12 54)

BANDOL (83) : Expositions : Voir le site de la ville

Renseignements pratiques : Tel :04 94 29 22 70 ou sur bandol.fr

GRAVESON/

MUSEE CHABAUD : COLLECTIONS PERMANENTES + exposition temporaire : CONTEMPLATION ET UNION SACREE/ DEUX GENERATIONS D’ARTISTES : Francesca et Francis GUERRIER du 25 Novembre 2017 au 04 Février 2018.Exposition des dessins peintures et sculptures de ces deux artistes exposés il y a peu de temps à la Galerie 22 de Coustellet, qui présentait toute cette famille d’artistes jusqu’à la plus jeune génération.En cette fin d’année 2017, la porte du musée Auguste Chabaud ouvre ses portes à deux grandsartistes d’une même famille, Francis et Francesca Guerrier.C’est un lien filial, une osmose fabuleuse, rencontre forte et déroutante entre l’oeuvre sculptée qui nous est proposée, l’acier, la terre, et l’oeuvre peinte sur la toile, figuration libre sur la lave émaillée,le papier ou la tapisserie, ou encore l’oeuvre graphique avec le dessin sublimé et la gravure.

C’est toute la spiritualité d’un dialogue entre deux esprits animés par la même foi, le même

sentiment, en quête de beau et de sublime, où le sacré prend toute sa dimension, dans une approche

artistique dénuée d’artifice, sobre, grave, minimaliste, celle faisant dire à Périclès « aimer la beauté

et demeurer humble ».

Ils sont tous deux dotés d’une grande liberté créatrice, la liberté de l’esprit et du geste, le goût

exacerbé pour l’inventivité avec une approche ludique de la forme créant sa dynamique ainsi qu’une

expérimentation constante de l’espace, du rythme et de la matière, souvent rehaussée de couleurs.

Enclins à la méditation, ils se détachent tous deux du terrestre, avec aisance et virtuosité, par la force

de leur esprit, curieux et voyageur. Le jeu formel peut atteindre une complexité, une originalité et

une richesse inimaginable dans la simplicité déconcertante du trait et de ses rebondissements. C’est

un passage incessant qui se joue entre le terrestre et le céleste, toujours intimement liés. Le souci

principal est d’atteindre le spirituel en innovant sans cesse, en jouant avec les matières et la

circulation de la lumière interne ou externe, en appréhendant les formes et les couleurs pour

dégager, au final, toute la force et la quintessence de l’oeuvre et atteindre l’extrême pureté de

l’expression plastique.

Les sculptures de Francesca aux figures abstraites, empreintes de religiosité, aux lignes épurées

d’approchecubisante, sont proches dans la « rusticité » et la sobriété de l’oeuvre sculptée de

Chabaud, taillée directement dans la pierre des Baux et réalisée par l’artiste dans les années 10.

Elles seront accompagnées de ses peintures bibliques au profond dépouillement et au bleu puissant,

presque nocturne, proche de celui de Chabaud. Elles sont toutes inspirées de la genèse, de

l’Apocalypse, de l’Ancien et du Nouveau testament. Ces peintures sont révélatrices de cette grande

quête d’amour, avec une résonnance humaine qui touche l’âme de chacun de nous et celle de

l’humanité toute entière. Au-delà du sentiment religieux dont on peut librement se détacher, nous

sommes sensibles à l’universalité de son message qui demeure un message de vérité, d’amour, de

paix, de pardon, de vie et de mort et qui prend toute sa dimension dans ses corps et ses visages

aimants, bienveillants, parfois souffrants mais toujours pleins d’espoir. La volonté de l’artiste est

toujours la même, celle de vouloir magnifier le monde pour nous porter vers le rêve et l’idéal.

Ses mères à l’enfant, en cette veille de Noël, nous interpellent et nous ramènent au thème éternel de

la nativité célébrée, belle et universelle.



A NE PAS MANQUER

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Musée de Région Auguste Chabaud 04 90 90 53 02- contact@museechabaud.com ou www.museechabaud.comHoraires : En semaine de 10h à 12h et de 13h30 à 18h30/ Week end et jours fériés de 13h30 à 18h30Tarifs : 5€ -2,5 € (Tarif réduit)

GORDES

CHATEAU DE GORDES/ Monument historique seulement en ce moment

Dates et horaires : Fermé le lundi.
De 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h.


RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : www.chateaudegordes.fr

LES BAUX DE DE PROVENCE

CHATEAU DES BAUX :EXPOSITION PHILIP HAAS : ARCHIMBOLDO FANTASTIQUE : Des sculptures géantes dans le Château des Baux. Une exposition de sculptures tirées de l’univers de ce peintre que vous pourrez voir tout l’été.

CARRIERES DE LUMIERE/ Exposition immersive : BOSCH, BRUEGHEL, ARCHIMBOLDO : FANTASTIQUE ET MERVEILLEUX /Du 4 mars au 7 janvier 2017 :

Produite par Culturespaces et réalisée par Gianfranco Iannuzzi, Renato Gatto et Massimiliano Siccardi avec la collaboration musicale de Luca Longobardi, cette nouvelle création vous invite à explorer le monde foisonnant peint par 3 artistes du XVIe siècle à l'imagination débridée : Bosch, Brueghel et Arcimboldo.Des triptyques de Bosch les plus emblématiques (tels Le Jardin des Délices, La Tentation de Saint Antoine, ou encore Le Chariot de foin) aux étonnantes compositions d'Arcimboldo faites de fleurs et de fruits en passant par les fêtes villageoises de la dynastie Bruegel, les Carrières de Lumières s'ouvrent aux univers fascinants de ces trois grands maîtres qui se sont attachés à représenter la vie, son mouvement et toute la dualité d'un monde oscillant entre le bien et le mal. S'ils partagent une grande finesse d'exécution dans le dessin, ils se retrouvent aussi sur le terrain d'une extrême inventivité. A l'imaginaire halluciné de Bosch et à la créativité des visages improbables d'Arcimboldo répond la trivialité joyeuse d'un Brueghel ancrant ses multiples personnages dans le réel.Le temps d'un spectacle d'une trentaine de minutes, riche de plus de 2000 images numériques projetées sur 7000m2 de surfaces, les Carrières de Lumières vont se peupler d'innombrables créatures fantastiques et figures allégoriques. Semblant saisis sur le vif,tour à tour effrayants et amusants, pris dans des situations parfois cocasses, tous ces personnages sont autant de miroirs tendus vers celui qui les regarde. Les vanités, la nature éphémère de la vie, l'aspiration à s'élever mais aussi les plaisirs, les tentations, les vices, tous ces thèmes traversent les paysages dépeints par Bosch, Brueghel et Arcimboldo avec un sens aigu du détail qui nous touche encore aujourd'hui. Le merveilleux Jardin des Délices de Bosch clôt ce spectacle où le visiteur est invité à entrer dans une danse fantasmagorique. La bande-son oscille entre musique classique et moderne avec les Carmina Burana d’Orff, les Quatre Saisons de Vivaldi revisitées par Max Richter, Moussorgski ou encore Led Zeppelin. Un superbe spectacle que ce voyage fantastique dominé par l’univers de Jérome BOSCH.

  • SPECTACLE COURT/ GEORGES MELIES ? LE CINEMAGICIEN : Entre deux projections du spectacle "Bosch, Brueghel, Arcimboldo. Fantastique et merveilleux" est présenté un spectacle plus court d’une durée de 6 minutes. Réalisé par Cosmo AV, ce court-métrage rend hommage à Georges Méliès, cinéaste et inventeur de génie du début du XXe siècle. Vous serez entraînés dans un voyage malicieux, féérique et extravagant : si l’atelier de Méliès est le point de départ, vous vous trouverez vite emmené à la rencontre des créatures étonnantes imaginées par l’inventeur et peuplant les abysses, les enfers... sans oublier sa fameuse lune. Mélange d’émotion, de pellicules de vieux films à trucs et de visions merveilleuses, le spectacle est un hommage à l’âme d’enfant de celui qui se surnommait lui-même le « cinémagicien ».



RENSEIGNEMENTS PRATIQUES : Ouvert tous les jours, toute l’année.
Janvier, février, novembre, décembre : 10h-17h. Mars, octobre : 9h30 -18h30. Avril, mai, juin, septembre : 9h-19h. Juillet – août : 9h-20h

 TARIFS : plein tarif : 8 € / tarif réduit : 6 €. Tarif réduit pour les enfants de 7 à 17 ans, demandeurs d’emploi, enseignants et étudiants.Gratuitpour les enfants de moins de 7 ans et les professionnels du tourisme.



AU MUSEE YVES BRAYER : exposition des COLLECTIONS PERMANENTES

RENSEIGNEMENTS PRATIQUES :. Ouvert tous les jours de 10h à 12H30 et de 14h à 18H30.



Tel : 04 90 54 36 99 ou http://www.yvesbrayer.com

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