Relations des voyages faits par les Arabes et les Persans dans l'Inde et à la Chine dans leIXe siècle de l'ère chrétienne



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2 En chinois Li-min, ou « peuple noir ».

3 A grammar of the Persian language, par William Jones, Londres, 1828, pages 34 et 51.

1 Voyez le mémoire de M. Biot intitulé : Mémoire sur la constitution politique de la Chine au XIIe siècle avant notre ère. (Tome II du recueil des Mémoires présentés par divers savants à l'Académie des inscriptions et belles-lettres.)

1 Ces passages de Massoudi sont extraits du Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, depuis le fol. 56, jusqu'au fol. 70. Voyez aussi la version anglaise, pages 309 et suiv.

2 Comparez ci-dessous, pages 24 et 81.

3 Histoire d'Arménie, par Moyse de Khorène, texte arménien et traduction française de M. Levaillant de Florival, tome Ier, page 309 et ailleurs. Voy. aussi la Relation arménienne du père Élisée, traduction du père Garabed, Paris, 1844, page 303.

4 Histoire de la dynastie Tang, tome XVI des Mémoires de la Chine, page 285.

5 Histoire des Huns, liv. VIII, page 37.

6 Tableaux historiques de l'Asie, page 229.

1 Les mss. varient encore sur ce nom. Mais ces différentes leçons ne s'éloignent pas de la manière dont le nom de Li-khoué-tchang pourrait être marqué en arabe.

2 Page 114.

3 Géographie de Ptolémée, liv. VI, ch. 13

1 Λίθινος πύργος.

2 Voyez Heeren, Idées sur le commerce et la politique des peuples de l'antiquité, tome III, page 419 et suiv., et, pour la véritable position de ces débris, voyez l'ouvrage de M. le baron Alexandre de Humboldt intitulé Asie centrale, tome Ier, page 135, avec la carte qui accompagne l'ouvrage.

3 Voy. les manuscrits arabes de la Biblioth. royale, fonds Ducaurroy, n° 22, f. 72 v. Pour Taschkend, appelée ordinairement Schasch, voyez la Géographie d'Aboulféda, texte arabe, page 495.

4 Moroudj, tome Ier, fol. 67 verso et fol. 68, et la traduction anglaise, page 359.

5 Le sens est peut-être : « Des flammes qu'on aperçoit à la distance d'environ cent parasanges. »

1 On fera bien, pour ces contrées sur lesquelles on commence à peine à avoir des notions un peu précises, de consulter la carte qui accompagne l'ouvrage de M. de Humboldt intitulé Asie centrale.

1 Voyage à Peking, par Timkowski, traduction française, tome Ier, page 399. Sur les mines de sel ammoniac qui se trouvent dans la Tartarie, et sur les volcans en général, voyez l'ouvrage de M. de Humboldt déjà cité, tome II, passim.

2 Comparez l'Histoire de la dynastie Thang, par le père Gaubil, tome XVI des Mémoires sur la Chine, page 385, et les Tableaux historiques de l'Asie, par Klaproth, page 205.

3 Marco-Polo, édition de la Société de géographie, pages 46 et suiv. M. de Humboldt a discuté cette partie du voyage de Marco-Polo, Asie centrale, tome II, pages 390 et suiv.

4 Histoire de la dynastie Thang, par le père Gaubil, tome XVI des Mémoires de la Chine, pages 386 et suiv.

1 Comparez le Voyage de l'embouchure de l'Indus à Bokhara, par Alexandre Burnes, traduction française, tome III, pages 174 et 347, et l'ouvrage de M. de Humboldt intitulé Asie centrale, tome III.

2 Voyez page 60.

3 Page 90.

4 Journal asiatique d'août 1837, page 113.

1 Voyez la préface de l'ouvrage d'Édrisi.

2 Νησος, en grec, et djezyré, en arabe.

1 Édrisi, trad. française, tome Ier, pages 59 et 60.

2 Édrisi, trad. française, tome Ier, pages 88 et suiv.

3 M. Quatremère a consacré, dans le Journal des savants, de l'année 1843, deux articles à une appréciation d'Édrisi et des autres géographes arabes ; mais les considérations que je viens d'indiquer paraissent avoir échappé à M. Quatremère. Je renvoie, à cet égard, à mon introduction à la Géographie d'Aboulféda.

4 Mille et une Nuits, en arabe, édition de Calcutta, 1814, tome II ; édition de Breslau, par MM. Habicht et Fleischer, tome III, in-12, pages 367 et suiv. ; édition du Caire, tome II, in-4°, au commencement.

5 On trouve dans la Grammaire arabe de Savary une reproduction du texte des Voyages de Sindebad, avec une traduction française et des notes, par M. Langlès, Paris, 1813, in-4°. M. Langlès a reproduit cette même édition dans le format in-12. Parmi les autres versions en langues européennes, l'on peut citer celle qui fait partie de la traduction anglaise des Mille et une Nuits, par M. Lane, tome III, au commencement. L'édition de M. Langlès offre une faute grave, page 474, lig. 9 et suiv. de l'édition in-4°. Au lieu des mots : « Nous nous embarquâmes sur la mer Orientale, circonscrite à droite par le Garb ou les côtes de Barbarie », il faut lire : « Nous nous embarquâmes sur la mer Orientale, circonscrite à droite par l'Arabie ».

1 Voyez page 41 du Traité, et le Journal asiatique de mai 1843, page 396 ; extraits du Modjmel par M. Mohl.

2 Mohl, Le livre des Rois, préface, page LVIII.

3 Ce passage a été publié par M. Silvestre de Sacy, Recueil des notices et extraits, tome IX, page 404.

4 Loiseleur-Deslongchamps a donné des détails intéressants sur cet ouvrage, dans son Essai sur les fables indiennes, Paris, 1838, page 80 et suiv.

5 Mille et une Nuits, édition de Breslau, tome XII, pages 237-389 ; édition du Caire, tome II, pages 52-86.

6 Analytical account of the Sindibad-Nameh, par M. Forbes Falconer, Londres, 1841, in-8°. M. Defrémery a rendu compte de cette publication dans le Journal asiatique de janvier 1842, page 105. Voyez aussi l'édit. in-12 des Voyages de Sindebad, par M. Langlès, page 139.

1 Ces notes sont de M. le docteur Roulin, sous-bibliothécaire de l'Institut, à qui j'avais eu occasion de demander quelques éclaircissements sur divers passages de la relation arabe. (Note de M. Reinaud.)

1 Les baleinoptères ont au moins trois fois la taille des épaulards, ce qui n'empêche pas qu'ils ne puissent également, les uns et les autres, être rapprochés, pour les dimensions, des cachalots, animaux qui présentent à cet égard une énorme différence, suivant les sexes ; en effet, tandis que les mâles atteignent une longueur de 18 à 20 mètres, les femelles ne dépassent pas en général 8 ou 9 mètres. (Proceedings of the zoological society, 1836, page 117.) Les épaulards sont à peu près aussi grands. Hunter a donné, dans les Transactions philosophiques (année 1787), la figure d'un individu de 8 mètres de longueur, qui avait été pris à l'embouchure de la Tamise. Six ans plus tard, on en prit un autre dans les mêmes parages, qui était long d'environ 10 mètres. L'épaulard est peut-être de tous les cétacés celui dont la nageoire dorsale figure le mieux une voile triangulaire ; les Hollandais ont comparé cette partie à un sabre, et ont désigné par suite l'animal sous le nom de schwerd-fisch.

2 Voyez, dans l'ouvrage de M. Pâris (Constructions navales des peuples extra-européens), les planches 10, 14, etc. où sont représentés divers bâtiments employés par les Arabes, qui naviguent dans la mer Rouge, le golfe Persique et sur les côtes du Malabar.

3 M. Reinaud, en lisant les épreuves de cette note, m'a fait les remarques suivantes qui semblent prouver que ma conjecture est fondée. Le passage dans lequel se trouve l'expression voile de navire n'est point de l'auteur du reste de la relation. Le copiste qui l'a ajouté pour suppléer à une lacune du manuscrit original avait emprunté, sans doute, ce qu'il dit de notre cétacé au Ketab-al-adjayb ou au Moroudj-al-dzeheb de Massoudi (t. Ier, fol. 45 verso).

L'auteur du Ketab-al-adjayb et Massoudi se servent aussi du mot arabe , signifiant voile de navire. Massoudi, cependant, emploie d'abord le mot qui a bien la même signification, mais qui peut traduire aussi par rochers, montagnes, châteaux. Il y a lieu de croire que ce dernier mot est celui qu'avait employé l'auteur inconnu de la relation originale à laquelle ont puisé Massoudi et l'auteur du Ketab-al-adjayb, et que c'est dans le sens de rocher qu'il l'avait entendu.




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