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L'armée turque dit avoir «neutralisé» 108 combattants kurdes



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L'armée turque dit avoir «neutralisé» 108 combattants kurdes


Par  Le Figaro.fr avec Reuters

Mis à jour le 07/04/2018 à 12:02

le 07/04/2018 à 11:57

L'armée turque a annoncé aujourd'hui avoir "neutralisé" 108 combattants kurdes au cours d'opérations dans le sud-est de la Turquie et dans le nord de l'Irak la semaine dernière. Le terme "neutralisé" est utilisé par l'armée pour parler d'ennemis tués, blessés ou capturés au cours d'opérations militaires.

Trente-et-un séparatistes du PKK, (Parti des travailleurs du Kurdistan) ont été neutralisés dans les provinces de Tunceli, Mardin, Diyarbakir et Sirnak, précise l'armée. Soixante-dix-sept combattants ont été neutralisés lors d'opérations transfrontalières. Plus tôt samedi, l'armée a annoncé avoir neutralisé six combattants au cours d'une frappe aérienne dans la région d'Hakourk, dans le nord de l'Irak.

Les séparatistes du PKK, que la Turquie, l'Union européenne et les Etats-Unis considèrent comme une organisation terroriste, disposent depuis des décennies de bases arrière dans les montagnes de Qandil, dans le nord de l'Irak, non loin de la frontière avec l'Iran. La Turquie a menacé d'entamer des opérations dans le secteur du Sindjar, dans le nord-ouest de l'Irak. Bagdad

L'armée turque et des rebelles syriens pro-turcs ont pris le contrôle ce mois-ci de la poche d'Afrin, dans le nord-ouest de la Syrie, qui était tenue par les milices kurdes syriennes des YPG (Unités de protection du peuple), considérées par Ankara comme le prolongement syrien du PKK.

Le Figaro.fr avec Reuters

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/04/07/97001-20180407FILWWW00049-l-armee-turque-dit-avoir-neutralise-108-combattants-kurdes.php


    1. TURQUIE/SYRIE

Kurdes en Syrie : le président turc Erdogan accuse la France "d'encourager les terroristes"


Texte par FRANCE 24

Dernière modification : 08/04/2018


Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé samedi son homologue français d'encourager les "terroristes", en référence aux Kurdes de Syrie reçus le 29 mars par Emmanuel Macron à l'Élysée.


Le ton continue de monter entre la France et la Turquie. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accusé, samedi 7 avril, Emmanuel Macron "d'encourager" les Kurdes de Syrie visés par une opération militaire turque dans le nord du pays. Le 29 mars, une délégation des Forces démocratiques syriennes (FDS), alliance arabo-kurde en première ligne sur le terrain dans le combat contre l'organisation État islamique (EI), avait été reçue par le président français à l'Élysée.

"La France encourage les terroristes lorsqu'elle les accueille au palais de l'Élysée... Tant que les pays occidentaux continueront à soutenir des


terroristes, ils continueront d'être la cible d'attaques terroristes en réaction", a -t-il déclaré devant ses partisans à Denizli, dans le sud-ouest de la Turquie.

Lors de cette entrevue, le président Macron avait pris "acte de l’engagement des FDS à n’avoir aucun lien opérationnel avec ce groupe terroriste [les YPG, milices kurdes, considérées comme terroristes par Ankara] et à condamner tout acte à caractère terroriste d’où qu’il vienne".

Le chef de l'État français avait aussi souhaité que le dialogue puisse "s’établir entre les FDS et la Turquie avec l’assistance de la France et de la communauté internationale".

Avec Reuters

Première publication : 07/04/2018

http://www.france24.com/fr/20180407-erdogan-france-complice-terroristes-kurdes-turquie-fds-elysee-macron-ypg


    1. TURQUIE/GRECE

Soldats grecs détenus en Turquie: Tsipras hausse le ton


RTBF
Belga

Publié le samedi 07 avril 2018 à 10h12

Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a exigé samedi le retour de deux soldats grecs détenus en Turquie après leur entrée, par erreur selon Athènes, sur le territoire turc.

"La vie humaine et la liberté humaine ne sont pas et ne devraient pas servir de pions à des jeux de pouvoir et au chantage", a déclaré Tsipras dans une déclaration au journal Documento.

La détention depuis un mois dans une prison turque de ces deux soldats grecs a tendu encore davantage les relations entre les deux voisins.


Des explications opposées


Selon Athènes, les soldats sont entrés par erreur sur le territoire turc le 2 mars en patrouillant à la frontière gréco-turque à la faveur de mauvaises conditions météo. Selon des médias turcs, les deux soldats seraient accusés "d'entrée illégale dans une zone interdite" ainsi que "d'espionnage".

La Turquie souhaite pour sa part l'extradition de huit militaires turcs ayant fui en Grèce après le coup d'État manqué en juillet 2016. Athènes refuse de lier cette affaire avec celle des soldats grecs.

Plus tôt dans la semaine, le Premier ministre grec avait appelé les autorités turques à "accélérer les procédures judiciaires" dans cette affaire.

"Par le passé, nous avons relâché des soldats turcs qui étaient entrés quelques mètres en Grèce lors d'une patrouille. J'attends que le président turc fasse de même", a affirmé Tsipras.

https://www.rtbf.be/info/monde/detail_soldats-grecs-detenus-en-turquie-tsipras-hausse-le-ton?id=9886522

La presse grecque s'inquiète de la montée des tensions avec la Turquie


RFI
Par Charlotte Stiévenard

Diffusion : samedi 7 avril 2018



En Grèce, depuis plusieurs semaines, un sujet fait régulièrement la Une des journaux, les relations, de plus en plus tendues, avec la Turquie.

Dans la presse grecque, le sujet inquiète, comme en témoigne l’édition du week-end de Ta Nea. Ce quotidien de centre gauche titre en Une « Un mois d’avril brûlant avec la Turquie ». Une expression également reprise par d’autres journaux. Ils reviennent sur les appréhensions du gouvernement. Il craindrait un incident délibéré de la Turquie qui ferait l’effet d’une étincelle alors que le ton est monté entre les deux pays ces dernières semaines.

Des sujets qui fâchent

Les sujets qui fâchent sont nombreux. Certains d’entre eux grèvent déjà les relations gréco-turques depuis des dizaines d’années. C’est le cas notamment de la question chypriote. Le désaccord autour des zones maritimes d’exploration de pétrole et de gaz naturel de l’île s’est intensifié. Il y a deux mois, la Turquie a refusé de laisser passer un navire du groupe énergétique italien ENI.

La Turquie a aussi récemment relancé la question de l’appartenance des îlots rocheux d’Imia, déjà à l’origine d’un conflit qui aurait pu mener les deux pays à la guerre en 1996. Récemment, plusieurs incidents militaires ont eu lieu dans la région.

Et enfin, il y eut l’arrestation récente de deux militaires grecs. Ils avaient passé la frontière avec la Turquie au nord-est de la Grèce. Le gouvernement turc compare leur situation à celle des huit militaires turcs réfugiés en Grèce après le coup d’État manqué de 2016, huit militaires que la justice grecque refuse d’extrader depuis.

Dans la presse grecque, les critiques vis-à-vis de la Turquie sont nombreuses

Le journal conservateur I Kathimerini parle cette semaine de « facteur turc impénétrable et ouvertement agressif ». Et c’est justement la raison pour laquelle la Grèce doit entretenir de bonnes relations avec ses voisins des Balkans, d’après l’auteur de ce commentaire. Ils pourraient, selon lui, être eux aussi déstabilisés. La télévision publique grecque ERT, elle, a publié cette semaine sur son site internet un article dans lequel elle parle de « déclaration provocatrice » du président turc lorsqu’il a, je cite, « tenté de mettre en corrélation les cas des deux militaires grecs et ceux des huit officiers turcs ».

Certains journaux mettent aussi en cause les réactions du gouvernement grec et notamment de son ministre de la Défense Panos Kammenos

Le président des souverainistes des Grecs indépendants est aussi le partenaire de coalition. Ces dernières semaines, il s’est régulièrement exprimé en utilisant des termes plutôt guerriers. Ce jeudi, un quotidien libéral qui vient d’être créé, le Fileleftheros a donc titré en Une « Kammenos joue à la guerre ». Le Journal des rédacteurs, un quotidien de gauche, parle, lui, de « compétition de phraséologie de l’extrême » entre le ministre grec de la Défense et le président turc. Il cite Panos Kammenos déclarant que Recep Tayyip Erdogan « est devenu complètement fou. On ne répond pas au fou. » Et le second de répondre à ces déclarations peu diplomatiques que « Les autorités grecques abaissent continuellement le niveau des discussions avec la Turquie ». Alexis Tsipras a quant à lui, lancé en début de semaine, un appel à mettre fin à « l’escalade rhétorique ».

http://www.rfi.fr/emission/20180407-presse-grecque-commente-tensions-turquie


    1. GENOCIDE DES TUTSI


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