Atome und isotope



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ISOTOPE und ATOME (Asadbek)



ATOME UND ISOTOPE 
Plan 
1.
Konzept des Atoms 
2.
Konzept der Isotope


ATOME 
Un atome (grec ancien ἄτομος [átomos], « insécable »)1 est la plus petite 
partie d'un corps simple pouvant se combiner chimiquement avec un autre. Les 
atomes sont les constituants élémentaires de toutes les substances solides, liquides 
ou gazeuses. Les propriétés physiques et chimiques de ces substances sont 
déterminées par les atomes qui les constituent ainsi que par l'arrangement 
tridimensionnel de ces atomes. 
Contrairement à ce que leur étymologie suggère, les atomes ne sont pas 
indivisibles, mais sont constitués de particules subatomiques2. Ils comprennent 
un noyau, qui concentre plus de 99,9 % de leur masse, autour duquel se distribuent 
des électrons, qui forment un nuage 10 000 à 100 000 fois plus étendu que le noyau 
lui-même3,4, de sorte que le volume d'un atome, grossièrement sphérique, est 
presque entièrement vide. Le noyau est formé de protons, porteurs d'une charge 
électrique positive, et de neutrons, électriquement neutres ; l'hydrogène fait 
exception, car le noyau de son isotope 1H ne contient aucun neutron. Les protons et 
neutrons, également appelés nucléons, sont maintenus ensemble dans le noyau par 
la liaison nucléaire, qui est une manifestation de l'interaction forte. Les électrons 
occupent des orbitales atomiques en interaction avec le noyau via la force 
électromagnétique. Le nuage électronique est stratifié en niveaux 
d'énergie quantifiés autour du noyau, niveaux qui définissent des couches et 
des sous-couches électroniques ; les nucléons se distribuent également selon 
des couches nucléaires, bien qu'un modèle approché assez commode popularise 
la structure nucléaire d'après le modèle de la goutte liquide. 
Plusieurs atomes peuvent établir des liaisons chimiques entre eux grâce à 
leurs électrons. D'une manière générale, les propriétés chimiques des atomes sont 
déterminées par leur configuration électronique, laquelle découle du nombre de 
protons de leur noyau. Ce nombre, appelé numéro atomique, définit un élément 
chimique. 118 éléments chimiques sont reconnus par l'Union internationale de 
chimie pure et appliquée (IUPAC) depuis le 18 novembre 2016. Les atomes 
d'éléments différents ont des tailles différentes, ainsi généralement que des masses 


différentes, bien que les atomes d'un élément chimique donné puissent avoir des 
masses différentes selon les isotopes considérés. Les atomes les plus lourds, ou dont 
le noyau présente un déséquilibre trop important entre les deux types de nucléons, 
tendent à devenir plus instables, et sont alors radioactifs ; le plomb 208 est l'isotope 
stable le plus lourd. 
La théorie atomiste, qui soutient l'idée d'une matière composée de « grains » 
indivisibles (contre l'idée d'une matière indéfiniment sécable), est connue depuis 
l'Antiquité, et a été notamment défendue par Leucippe et son disciple Démocrite, 
philosophes de la Grèce antique, ainsi qu'en Inde, plus antérieurement, par l'une des 
six écoles de philosophie hindoue, le vaisheshika, fondé par Kanada. Elle fut 
disputée jusqu'à la fin du xixe siècle et n'a plus été remise en cause depuis lors. 
L'observation directe d'atomes n'est devenue possible qu'au milieu du xxe siècle 
avec la microscopie électronique en transmission et l'invention du microscope à 
effet tunnel. C'est ainsi sur les propriétés des atomes que reposent toutes les sciences 
des matériaux modernes, tandis que l'élucidation de la nature et de la structure des 
atomes a contribué de manière décisive au développement de la physique moderne, 
et notamment de la mécanique quantique. 
Le diamètre estimé d'un atome « libre » (hors liaison covalente ou cristalline) 
est compris entre 62 pm (6,2 × 10−11 m) pour l'hélium et 596 pm (5,96 × 10−10 m) 
pour le césium5, tandis que celui d'un noyau atomique est compris entre 
2,4 fm (2,4 × 10−15 m) pour l'isotope 1H et 14,8 fm (1,48 × 10−14 m) environ pour 
le nucléide 238U6 : le noyau d'un atome d'hydrogène est donc environ 40 000 fois 
plus petit que l'atome d'hydrogène lui-même. 
Le noyau concentre cependant l'essentiel de la masse de l'atomea : le noyau 
du lithium 7, par exemple, est environ 4 300 fois plus massif que les trois électrons 
qui l'entourent, l'atome de 7Li ayant une masse de l'ordre de 1,172 × 10−26 kg. Pour 
fixer les idées, la masse des atomes est comprise entre 1,674 × 10−27 kg pour 
le protium et 3,953 × 10−25 kg pour l'uranium 238, en s'en tenant aux isotopes qui 
ont une abondance significative dans le milieu naturel — il existe des noyaux plus 
lourds mais aussi bien plus instables que le nucléide 238U. 


Cette masse est généralement exprimée en unités de masse atomique (« uma », 
ou « u »), définie comme la douzième partie de la masse d'un atome de 12C non lié, 
immobile et à son état fondamental, soit 1 uma = 1,660 54 × 10−27 kg ; dans cette 
unité, la masse du nucléide 238U vaut 238,050 782 6 uma. Une unité alternative 
également très employée en physique des particules est l'électron-volt divisé par 
le carré de la vitesse de la lumière (eV/c2), qui est homogène à une masse en vertu 
de la fameuse équation E = mc2 de la relativité restreinte, et qui vaut 1 eV/c2 = 
1,783 × 10−36 kg ; dans cette unité, la masse du noyau 238U est égale 
à 221,7 GeV/c2. 
Compte tenu de leur taille et de leur masse singulièrement réduites, les atomes 
sont toujours en très grand nombre dès qu'on manipule une quantité de matière 
macroscopique. On définit ainsi la mole comme étant la quantité de matière 
constituée par autant d'unités élémentaires (atomes, molécules, électrons, etc.) qu'il 
y a d'atomes dans 12 g de carbone 12, soit pas moins de 6,022 × 1023 unités 
élémentaires, ce qu'on appelle le nombre d'Avogadro. 
Bien que son étymologie signifie « indivisible » en grec ancien, un atome est 
en réalité constitué de particules élémentaires plus petites, et peut donc être divisé ; 
mais il constitue bien la plus petite unité indivisible d'un élément chimique en tant 
que tel : en brisant, par exemple, un atome d'hélium, on obtiendra des électrons, 
des protons et des neutrons, mais on n'aura plus un corps simple ayant les propriétés 
de l'hélium. 
L'électron e− est une particule très peu massive (9,109 4 × 10−31 kg, 
soit 511,00 keV/c2) 
et 
pourvue 
d'une charge 
électrique négative 
de 
−1,602 × 10−19 C. 
Le proton p+ est 1 836 fois plus massif que l'électron (1,672 6 × 10−27 kg, 
soit 938,27 MeV/c2) et porte une charge électrique positive de même valeur 
absolue que celle de l'électron, soit 1,602 × 10−19 C. 
Le neutron n0 est 1 838,5 fois plus massif que l'électron (1,674 9 × 10−27 kg, 
soit 939,57 MeV/c2), et électriquement neutre. 


Le modèle standard de la physique des particules décrit les nucléons comme 
des baryons composés de particules élémentaires appelées quarks : 
le proton est constitué de deux quarks up et d'un quark down : p+ = uud ; 
le neutron est constitué d'un quark up et de deux quarks down : n0 = udd. 
Les électrons, quant à eux, sont des leptons qui constituent, avec les quarks, le 
groupe des fermions. La grande différence entre quarks et leptons est que seuls les 
premiers connaissent toutes les interactions élémentaires, y compris l'interaction 
nucléaire forte, dont les médiateurs sont des bosons de jauge appelés gluons ; les 
leptons ne connaissent que l'interaction faible (via les bosons Z0 et W+) et 
l'interaction électromagnétique (via les photons). 
Toutes 
ces 

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