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Timée aux Ennéades : question des causes et théorie des principes », Kairos, n. 16, 2000, p. 209-226.

6. Les termes qui décrivent métaphoriquement l’action artisanale du démiurge sont étudiés par L. Brisson dans Le Même et l’Autre dans la structure ontologique du Timée de Platon (1974), Sankt Augustin, Academia, 1998, chap. I.

7. Sur le lógos, voir L. Brisson, « Logos et logoi chez Plotin, Leur nature et leur rôle », Les Cahiers Philosophiques de Strasbourg (8), 1999, p. 87-108 et M. Fattal, Logos et image chez Plotin, Paris/Montréal, L’Harmattan, 1998, chap. II, III, et V.

8. Plotin décrit souvent les lógoi comme étant « dans » la matière : 31 (V, 8), 2, 17 ; 27 (IV, 3), 11, 11 ; 2 (IV, 7), 2, 24 ; 4, 19.

9. Lorsqu’il aborde plus directement l’action des lógoi sur la matière, Plotin n’utilise que des métaphores ou des termes généraux, sans jamais décrire un processus précis. Il parle des lógoi qui « réunissent » autant que possible les parties matérielles (1 (I, 6), 2, 17) ; de la matière qui est « secouée » par les lógoi (52 (II, 3), 16, 50) ; du lógos qui se « saisit » de la matière tout entière (47 (III, 2), 4, 18).

10. Cette expression se veut l’équivalent de celle utilisée par Platon : « mythe vraisemblable » (Timée 29d2). Sur le sens de cette expression, voir L. Brisson, Le même et l’autre dans la structure ontologique du Timée de Platon, p. 104-106.

11. Ce thème est également abordée par J. Opsomer, op. cit.

12. L’intellect désigne ici le démiurge.

13. Les textes médioplatoniciens à ce sujet figurent dans le recueil de M. Baltes, Der Platonismus in der Antike V, Die philosophische Lehre des Platonismus (2), Stuttgart, Fromann-Holzboog, 1998, Bausteine 129.0a, b et c. Pour une histoire sommaire de la relation entre l’intelligence et l’intelligible chez Platon, Plotin et Proclus, voir J. Pépin, « Éléments pour une histoire de la relation entre l’intelligence et l’intelligible chez Platon et dans le néoplatonisme », Revue philosophique de la France et de l’étranger (146), 1956, 39-64 ; repris dans De la philosophie ancienne à la théologie patristique, Londres, Variorum Reprints, 1986, p. 39-64. On doit toutefois consulter cet article avec prudence, puisqu’il présente quelques simplifications hâtives. Par exemple, Pépin identifie sans procès le démiurge et l’âme hypostase ; de plus, il résume la position de Plotin en se référant au traité 13 (III, 9) sans mentionner ou même s’apercevoir que Plotin change d’avis dans les traités 32 (V, 5), 1 et 33 (II, 9), 1.

14. Voir Proclus, Commentaire sur le Timée, I, 322, 20-24 Diehl = fr. 19 Brisson-Patillon.

15. Il s’agit de Platon, comme les citations qui suivent, tirées du Timée, le montrent bien.

16. Sur le lien entre 13 (III, 9), 1, le fr. 22 de Numénius (Des Places) et Timée 39e, voir J. Holzhausen, « Eine Anmerkung zum Verhältnis von Numenios und Plotin », Hermes (120, 2), 1992, p. 250-255.

17. Timée 39e7-9.

18. Comme le fait remarquer A.H. Armstrong, Plotin ne s’adresse pas seulement aux gnostiques, mais aussi à des platoniciens tels Amélius et Numénius (voir p. 226-227, n. 1 de sa traduction au traité II, 9 chez Lœb).

19. Cette expression désigne ici l’univers sensible et non le modèle intelligible.

20. Remarquons au passage que Proclus reprend cette interprétation dans son Commentaire au Timée, II, 43, 22-27 Diehl.

21. Sur ce sujet, voir aussi l’article de H.-R. Schwyzer, « Zu Plotins Interpretation von Platon Timaeus 35A », Rheinische Museum (84), 1935, p. 360-368 ; pour un résumé de cette étude, voir « Une interprétation plotinienne d’un passage du Timée », dans Congrès de Tours et de Poitiers 3-9 septembre 1953, Association G. Budé, Actes du Congrès, Paris, Belles Lettres, 1954, 255-256. Consulter aussi J.-M. Charrue, op. cit., p. 142-149.

22. La structure mathématique de l’âme du monde est décrite en Timée 35b-36b. L’essentiel en est résumé par L. Brisson dans l’Annexe II de sa traduction du Timée.

23. Ce thème est examiné plus longuement dans R. Dufour, « Le rang de l’âme du monde au sein des réalités intelligibles et son rôle cosmologique » [à paraître]. Voir aussi J.-M. Charrue, op. cit., p. 139-155.

24. H. Blumenthal discute ce point dans son article « Soul, World-Soul and Individual Soul in Plotinus », dans Le néoplatonisme, Colloque de Royaumont, 9-13 juin 1969, Coll. internat. du CNRS, 536, Paris, CNRS, 1971, p. 56-63, plus précisément aux pages 57-59. Il rappelle notamment que E. Zeller (Die Philosophie der Griechen 3.2, Leipzig, Reisland, 1881, p. 538) et J.M. Rist (Plotinus, The Road to Reality, Cambridge, Cambridge University Press, 1967, p. 113) prétendent au contraire que l’âme hypostase et l’âme du monde ne font qu’un.

25. Il semble qu’il ne faut pas tenir rigueur à Plotin de son imprécision de langage en 6 (IV, 8), 4, 36, lorsqu’il parle d’un « second cratère ». Le Timée ne parle pas d’un second cratère, mais d’un second mélange réalisé dans un seul et même cratère.

26. La transmigration des âmes chez Plotin n’a fait l’objet, à notre connaissance, que de deux études spécifiques : 1) J. Laurent, « La réincarnation chez Plotin et avant Plotin », dans L’Homme et le monde selon Plotin, Fontenay-aux-Roses, ENS Éditions, 1999, p. 115-137, et plus particulièrement p. 126-133 ; 2) A.N.M. Rich, « Reincarnation in Plotinus », Mnemosyne (10), 1957, p. 232-238. Il ne s’agit pas, dans le second cas, d’un exposé doctrinal sur la réincarnation chez Plotin, mais d’une réfutation de la position de W.R. Inge (The Philosophy of Plotinus, London, Longmans, Green and Co., 1929, vol. 2, p. 33) et de P.V. Pistorius (Plotinus and Neoplatonism, Cambridge, Bowes & Bowes, 1952, p. 99), qui croient que Plotin ne prend pas la réincarnation au sérieux. Nous sommes d’accord pour soutenir qu’elle fait partie intégrante de la psychologie plotinienne.

27. Certains passages ne font en effet que la mentionner sans la développer : 2 (IV, 7), 14, 1-2 ; 22 (VI, 4), 16, 3-4 ; 27 (IV, 3), 27, 16-18 ; 47 (III, 2), 15, 24-29 ; et 52 (II, 3), 8, 3-4 ; 9-12. La référence à la réincarnation en 47 (III, 2), 17, 32-64, si elle est indéniable, reste vague et fort poétique. En incluant le passage mentionné à la note suivante, nous arrivons donc à un total de treize textes plotiniens évoquant la réincarnation, trois de plus que ceux énumérés par J. Laurent, op. cit, p. 127.

28. Par exemple, celui qui a tué sa mère renaîtra femme pour être tué par son fils (47 (III, 2), 13, 9-15).

29. Voir à ce propos la notice de R. Dufour au traité 12, p. 230 dans Plotin, Traités 7-21, Paris, GF-Flammarion, 2003.

30. Plotin n’utilise l’adjectif nóthos (bâtard) que dans le traité 12 (en 10, 8 ; 11 ; 12, 34).

31. Pour une comparaison détaillée de la matière avec un miroir, voir 26 (III, 6), 13.

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