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5 Procédures de mesure 
5.1 Remarques d’introduction 
Le présent document a pour but de fournir des recommandations concernant les données de 
performance exigées d’un simulateur solaire à prendre en compte, ainsi que les 
emplacements exigés dans la zone d’essai désignée pour ces données également à prendre 
en compte. Le présent document n'a pas pour but de définir des méthodes possibles de 
détermination du spectre du simulateur ou de l'éclairement énergétique en tout point du plan 
d’essai. Il incombe au fabricant du simulateur ou au laboratoire d’essai de fournir sur 
demande les informations concernant les méthodes d’essai utilisées dans la détermination 
des performances dans chaque classification. La classification d’un simulateur solaire ne 
fournit pas toutes les informations concernant les sources d’incertitude de mesure liées aux 
mesurages des performances photovoltaïques effectués avec un simulateur solaire classifié. 
De telles incertitudes dépendant des dispositifs de mesure réels et des procédures utilisés, il 
est nécessaire de les évaluer. 
La classification des simulateurs solaires dépend généralement d’un certain nombre de 
facteurs. De même, la plupart des simulateurs peuvent être utilisés en des points de 
fonctionnement différents (par exemple, différents éclairements énergétiques). Dans ce cas, 
la classification est valide uniquement pour les conditions analogues à celles observées lors 
de l’évaluation de la classification. Si l’utilisation prévue du simulateur solaire comprend une 
variation des niveaux d’éclairement énergétique, la classification doit être effectuée à ces 
niveaux d’éclairement énergétique ± 50 W/m
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et consignée en conséquence. 
La classification d’un simulateur solaire n’est pas constante, mais soumise à différents 
facteurs: 
– Vieillissement de la lampe avec le temps de fonctionnement. 
– Remplacement de la ou des lampes. 
– Réglage de la puissance de la lampe. 
– Utilisation d’isolants éventuels dans le faisceau lumineux, par exemple des filtres optiques, 
des masques ou des mailles (de réduction de la lumière). 
– Vieillissement ou salissure des isolants éventuels. 
– Réflexions du milieu environnant, par exemple les propriétés des parois d’une chambre 
noire. 
– Durée d’impulsion, le cas échéant. 
En conséquence, la classification se rapporte uniquement aux conditions de fonctionnement 
réelles. En théorie, la classification telle qu’indiquée dans la spécification du produit ou dans 
le rapport d’essai doit couvrir la plage des conditions de fonctionnement lors d’une utilisation 
pratique. Il convient que la classification fasse l’objet d’une revue régulière.