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Face 2
Définition de l’avion de combat – Le poids de l’héritage – Les autres tâches du BPG – La
guerre des Six jours et les leçons tirées de cette guerre par l’armée française – L’importance
de la protection passive des avions – Une étude concluant à la nécessaire dispersion des
appareils – L’observation de la pratique américaine en Allemagne – L’installation des abris
bétonnés – Un surcroit de dépenses préoccupant pour le chef d’état-major – Construction des
abris bétonnés – Autres domaines d’intervention du BPG ; la division Plans – La gestion et
l’avenir de la flotte des avions-écoles – Les retards du programme Alphajet – Le programme
Alphajet et le projet d’école franco-allemande de pilotage – Le remplacement du Fouga
Magister.
Bande 10 – Face 1 (Entretien du 13 novembre 1995)
Les défauts du Fouga – Le programme Epsilon – Conclusions sur son passage au BPG –
Affectation à l’École de guerre : il est chargé d’enseigner la défense aérienne, la planification
et la programmation – Les rôles de l’ESGA et du CASA – La personnalité du général Claude
Payen, directeur de l’ESGA – L’introduction de l’informatique dans l’enseignement de la
Défense aérienne – Les finalités de l’ESGA – Un enseignement insuffisant quant aux
responsabilités non budgétaires d’un commandement de base – Ses conclusions sur
l’enseignement de l’ESGA – Il est envoyé comme auditeur au CHEAR – Le thème des
études : la France, puissance nucléaire.
Face 2
Anecdote : un appelé écologiste – Les différents auditeurs au CHEAR – Une expérience
enrichissante – Les voyages d’études ; la Chine ; la propagande auprès de la population
chinoise ; la perception de la menace ; l’embrigadement de la population – Le témoin nommé
commandant de la base-école d’Aulnat – Les circonstances politiques et économiques lors de
son arrivée à la base – Les restrictions budgétaires – La diminution des effectifs – La
suppression des escadrons d’instruction en vol – La formation des pilotes.
Bande 11 – Face 1 (Entretien du 27 novembre 1995)
La base d’Aulnat : les missions et les transformations sur la base – Les commandements de
base – Le problème des bases-écoles – Le personnel des bases : celui d’Aulnat – Qualité et
provenance des officiers – Les différentes fonctions de la base d’Aulnat : présence d’un
terrain civil, présence des pompiers ; la fonction radar – Le contrôle en cas de grève – Le bal
de la base – La vie quotidienne sur la base : manque d’unité du personnel – Rôle du
commissaire de la base – Le sport à Aulnat : anecdote – Manque d’expérience du commissaire
de la base – La motivation du personnel – La gestion du budget de la base – Rôle du
commandant de la base et l’autonomie dont il dispose.
Face 2
L’autonomie du commandant de la base et les relations entre les commandants de région et le
commandant des écoles – L’inclusion dans la région et les relations avec l’armée de Terre –
La vie civile dans la région – Une personnalité de la région : le capitaine Louis Chartoire, as
de la Première Guerre mondiale – Le retour de guerre de Louis Chartoire ; évocation de sa
carrière ; anecdote sur son anniversaire – Les relations de la base avec la Préfecture – Les
voyages du Président Giscard d’Estaing dans la région ; anecdote – Les élections législatives ;
des appelés candidats de la Ligue communiste révolutionnaire – Compte rendu de la situation
au cabinet du chef d’état-major – L’ingérence de la sécurité militaire ; une hierarchie
parallèle.
Bande 12 – Face 1
Le rôle de la secrétaire du commandant de base – Conclusions sur le commandement d’une
base – Affectation du témoin à la 3
e
région aérienne – L’état-major à son arrivée : un manque
de modernisme – Retour en arrière sur la fermeture de la base d’Aulnat – Le fonctionnement
de l’état-major de la 3
e
région aérienne – Les fonctions du témoin – Les commandants de
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région et leurs adjoints opérationnels – La personnalité du général Atlan, commandant de la
région – Le personnel de l’état-major – Un officier chargé de l’infrastructure particulièrement
compétent ; le programme d’infrastructure – L’avancement du personnel.
Bande 13 – Face 1 (Entretien du 9 janvier 1996)
Deux commandants de région très différents – Rôles respectifs du commandant de la région et
de son état-major – La cérémonie de départ du commandant de région ; les évanouissements
pendant les prises d’armes – Les méthodes de travail du général Atlan – Le général Rajau :
une forte personnalité – Ouverture de la nouvelle base-école de Rochefort – Les méthodes du
général Rajau à Rochefort – Le général Rajau et la général Atlan : un style de commandement
et des préoccupations différents – Une anecdote : le reveil d’Atlan – L’attention particulière
portée à l’infrastructure par le général Rajau – Conclusions sur cette affectation – Des
commandants de base insuffisamment informés – Les personnes de confiance de leur
entourage – Le colonel, « pacha » de la base.
Face 2
Le transfert de l’état-major de la 3
e
région aérienne sur la base de Bordeaux-Mérignac – Les
contraintes architecturales, budgétaires et nucléaires – L’affectation du témoin à la
DIRCAM (direction de la circulation aérienne) : les difficultés de la gestion du personnel –
L’occupation de l’espace aérien français – Conflits d’intérêts entre civils et militaires :
création d’un directoire de conciliation présidé par le délégué à l’espace aérien – Les aléas de
l’existence de la DEA – La place de la DIRCAM dans la carrière du témoin – Le centre
opérationnel de gestion de l’espace aérien : une idée de De Maistre – La réaction du
commandant de la Défense aérienne – Les comités de gestion de l’espace aérien – Les autres
fonctions du directeur de la circulation aérienne militaire.
Bande 14 – Face 1
Une de ses fonctions à la DIRCAM : représentant au conseil d’admnistration de l’aéroport de
Paris – Représentant au comité de gestion d’Eurocontrôle à Bruxelles – L’organisation de la
DIRCAM : rôles des généraux Capillon, Malhberg et de Chassey – Les autres attributions de
la DIRCAM – Le système CAUTRA et la détection radar – Corrélation entre le système
CAUTRA et le système STRIDA – Les préoccupations des civils – L’accident de Nantes et
les responsabilités des militaires – Problèmes avec les civils – Autres fonctions de la
DIRCAM – Le plan Clément Marot remplacé par un plan d’appoint – Comportement des
contrôleurs civils ; l’aménagement du temps de travail – L’avenir de l’organisation de
l’espace aérien ; la réduction du personnel – L’évitement avec des systèmes d’armes
embarqués – L’organisation de la DIRCAM : l’état-major et les divisions.
Face 2
La DIRCAM : le premier vrai commandement ; organisation de la DIRCAM – Le service
cartographique et impression : les rapports entre civils et militaires – Les trois divisions de la
DIRCAM et le problème du commandement – Le système d’avancement dans l’armée de
l’Air ; les faux pas – Présence de militaires et de civils dans toutes les armes ; ambiance et
cadre de vie – Conflits entre l’aviation civile et commerciale et l’aviation militaire ;
l’immobilisme des civils – La direction du personnel et la difficulté de résoudre les problèmes
d’effectifs ; les incitations au départ – La fin de la carrière d’active ; les limites d’âge et la
préparation de la carrière civile – Les différents emplois des militaires à la retraite notamment
dans l’industrie aéronautique – L’exemple du général Capillon.
Bande 15 – Face 1 (Entretien du 29 janvier 1996)
Difficulté pour un militaire de s’intégrer dans le monde des affaires ou de la politique – Le cas
du général Brohon – Une proposition d’emploi à la TRT pour le témoin – Proposition
d’emploi comme chef du Service historique de l’armée de l’Air – La personnalité de son
prédécesseur, le général Charles Christienne – Ses premières impressions sur le SHAA – Son
arrivée le 1
er
août 1984 ; une période d’inactivité forcée afin de connaître les rouages du
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