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service – Les premiers mois au SHAA ; son statut et sa rémunération – Co-pilote avec le
général Christienne ; organisation du premier colloque – La culture historique nécessaire au
directeur du SHAA ; son intérêt pour l’aviation – Son état d’esprit à l’arrivée au SHAA – Le
personnel ; la place des appelés au SHAA – Les différents personnels, leurs attributions et les
problèmes de répartition – Les qualités du général Christienne.
Face 2
La place des chercheurs dans les débuts du SHAA – Les publications du général Hayez – Les
adjoints du général : le colonel Hénon, le colonel Cellier et le commandant Allain – Les
carrières des personnels civils du temps des généraux Hayez et Christienne – Le
développement du département traditions et symbolique – Rénovation et décoration des
locaux – Influence de la rénovation sur le personnel et l’ambiance – Le général Christienne,
très proche de son personnel – Relations avec le service de réception des archives – Les
différentes invitations faites par le général Christienne chez lui – Les grandes figures du
SHAA : le colonel Cellier, le capitaine Peyruseigt, madame Simone Pesquiès – La création
des sections de l’histoire orale et de l’audiovisuel.
Bande 16 – Face 1 (Entretien du 12 février 1996)
Le personnel du SHAA ; le soutien des chefs d’état-major successifs – Le colonel Dou,
adjoint du général – Le personnel militaire ; les officiers – Les sous-officiers ; l’adjudant-chef
Debaty – La question des limites d’âge et les changements de statut – Le général et son
adjoint – La reconnaissance du service à l’extérieur – Un service peu connu des militaires ;
percu comme moins « suspect » par les civils – La présence des appelés – Un personnel
disparate – Activités multiples du SHAA pour se faire connaître à l’extérieur – Confusion
entre la Musée de l’Air et le SHAA – Existence de trois services historiques distincts : la
cohabitation entre les trois – Volonté de l’armée de Terre de ne faire qu’un seul organisme –
Nombreuses attaques contre le service.
Face 2
Les chefs d’état-major et les directeurs du service – Aéronautique et photographie – La
naissance de l’histoire orale : le SHAA, précurseur en la matière – Le service audiovisuel : un
moyen de faire connaître l’histoire de l’armée de l’Air – La capacité à utiliser les divers
médias – Le SHAA et le grand public – Écrire l’histoire grace à la « Revue historique des
armées » – Les chercheurs et la question des postes vacants – Le conservatisme de la fonction
publique – Les problèmes statutaires : les contractuels 3 B – Les postes de conservateurs
d’archives au SHAA – Les difficultés pour ouvrir un deuxième poste de conservateur – Le
corps des conservateurs d’archives de la Défense.
Bande 17 – Face 1
Les conservateurs de la Défense – La résistance du SHAT et du SHM à la suppression de ce
corps – Une réforme vidée de sa substance – Le poste de conservateur général – Monsieur
Hary, conservateur adjoint – Prévisions insuffisantes pour les postes à pourvoir – La mutation
du personnel civil – Le SHAA, un service de recherche – La mission traditions et symbolique
– L’accueil et les conseils apportés aux chercheurs – L’armée de l’Air : jeunesse et traditions
– Spécificité des différents services historiques – Nécessité pour le SHAA de rester en prise
avec les réalités présentes de l’armée de l’Air – Complémentarité des archives écrites et orales
– L’articulation nécessaire des fonctions relations publiques et publications – Les colloques,
l’activité essentielle d’un service historique.
Face 2
Le personnel insuffisant – Les diverses publications du service – Morcellement du service et
sous-effectifs – Les relations du général avec le personnel – Relations tendues avec la DAG –
Problème de place pour stocker les archives – Projet de réaménagement d’une casemate pour
accueillir les archives du SHAA – Le tri, le manque de place et de personnel – Le
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financement difficile de certaines réformes – Le projet de délocalisation du SHAA – La
coopération avec le CEHD.
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AI 8 Z 754
Monsieur James CORNILLE
Entretien réalisé le 18 avril 1995 au SHAA par Franck Ferrand et l’aviateur Stéphane Siran.
Durée 1 h 30, 1 bande, vitesse 9,5.
Communication libre.
BIOGRAPHIE
En 1937, ouvrier mécanicien chez Caudron puis Farman ; pendant la guerre travaille sur le
terrain de Guyencourt. Rejoint le FFI en 1944 dans le Cher.
COMPTE RENDU ANALYTIQUE
Bande 1 - Face 1
Enthousiasme de l’avant-guerre pour l’aviation – Anecdotes sur son passage chez Farman –
Les chefs pilotes chez Farman – Les frères Farman – Personnalités de l’aéronautique civile –
Les appareils de l’époque et les risques encourus – L’alcoolisme dans les milieux de
l’aéronautique – Les acrobaties aériennes – La personnalité de Maurice Farman – L’Aviation
populaire – Le pilote Rougerie ; la fréquence des accidents – Professionnalisme des
mécaniciens – Fronval, Détroyat et Cavalli – Prééminence de la maison Caudron – 1940 et
l’aviation « effroi » – Engagement dans la DCA à Saint-Nazaire, puis à Suippes – Rapidité de
l’offensive du 10 mai – Sa captivité et son évasion ; l’exode – Cohabitation avec des pilotes
allemands.
Face 2
Anecdote sur l’offensive du 10 mai 1940 – Les Allemands sur le terrain de Guyencourt – La
DCA dans l’armée d’Armistice – La défense aérienne au dessus de Vichy – L’absurdité du
régime de Vichy – Les bombardements et les répercussions sur la population – Les combats
aériens du 15 septembre 1943 – Les bombardements de 1943-1944 – Les FFI en mars 1944
dans le Cher – Le convoyage des armées allemandes ; la division Leclerc – Réorganisation de
l’armée de l’Air en 1944 – Perspective sur la fin de sa carrière.
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