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L’obéissance et l’intériorisation des états d’âme – Le caractère très dangereux du métier de
chasseur : les accidents mortels – La vision plus abstraite du combat pour l’aviateur que pour
le terrestre – Un exemple d’accident.
Bande 4 – Face 1
Suite du récit de l’accident – Autres incidents lors d’un straffing en montagne – L’état d’esprit
des pilotes – Le général Challe et son destin : sa participation au Putsch de 1961 – L’arrivée
en Algérie du chef d’état-major – La difficulté pour les personnels de prendre position :
exemples de carrières brisées à cause du Putsch – L’extrême confusion pendant le Putsch – Sa
« désertion » : intelligence et réaction du commandant Fleury.
Face 2
Situation du commandant Fleury : anecdote – Le légalisme des sous-officiers – Les dégats
causés par le Putsch dans l’armée de l’Air – Importance de la promotion 1951 de l’École de
l’air – Le cas du lieutenant-colonel José Roy – L’enquête sur la force de frappe – La
relativisation du travail en état-major – Ses regrets de ne pas avoir choisi d’enseigner à
l’École de l’air – Sa dernière affectation à Boufarik – Les circonstances de l’installation des
Skyraider à Djibouti – Sa mutation – Préparation du convoyage sur Djibouti – Déroulement et
réussite de ce voyage.
Bande 5 – Face 1 (Entretien du 5 octobre 1995)
Retour en arrière sur sa vocation de pilote et sur son milieu familial – Préparation du concours
de l’École de l’air au lycée Janson-de-Sailly – Les bizutages – Histoire de l’École de l’air : les
promotions et les augmentations du nombre des effectifs au début des années cinquantes –
Les conséquences de la conférence de Lisbonne – La promotion 1951 et l’importance du rang
d’entrée des élèves – La caste des pilotes ; la suprématie de la chasse, une grande place laissée
à l’individualisme – La formation à Salon-de-Provence : les études – Les premières
expériences en avion avec le Ju-52 – Premiers vols sur Sipa 12 : les heures de vol –
L’encadrement : le général de Maricourt, commandant de l’école et le colonel Ducret – Rôle
du commandant Hutter ; les brigadiers – Histoire des trois brigadiers tués – Le capitaine Dees
– Jugement porté sur l’encadrement à l’École de l’air.
Face 2
Les punitions – La personnalité du capitaine de Royer – Premier vol effectué par le témoin ;
les heures de vol – Qualité des instructeurs – Jugement porté sur l’enseignement –
L’ambiance à l’école et l’uniforme – La sélection des élèves pour les écoles américaines – Le
problème de l’alcool aux États-Unis – Le voyage en train jusqu’à San Antonio (Texas) et
l’arrivée à Lackend base – Les autres élèves pilotes étrangers : présence de Thaïlandais – Les
critères physiques : une sévère sélection – Les brimades et l’autodiscipline ; problème de
hiérarchie – Un exemple de rigorisme – La nomination des élèves comme sous-lieutenants –
La vie quotidienne sur la base – Le code d’honneur – L’apprentissage du vol à Bryanbridge –
Qualité de l’instruction – Les pilotes renvoyés en France – Les différentes étapes de
l’instruction.
Bande 6 – Face 1
Le terrain civil de Bryanbridge – Les vols en solo et les vols de nuit sur T-28 – L’obtention du
brevet de pilote et la remise des diplômes – L’entraînement au tir sur les terrains de Del Rio et
Luke Air Force Base à Phoenix – Le vol en formation et l’entraînement au tir – Les
impressions en vol sur F-84 E et le tir – Le retour en France : bilan de cette formation
américaine – La vie quotidienne des pilotes aux USA : le cinéma et les vacances – La
mentalité américaine : le puritanisme et l’égoïsme – Le comportement et caractère des
Américains.
Face 2
Le retour d’Algérie en mai 1963 – Les appareils pilotés : l’Ouragan et le Mistral – Son
affectation à l’état-major de la FATAC – La personnalité du général Le Groignec : anecdotes
187
– Le général Accart – L’état-major de la FATAC : stratégie de présence et plans
d’intervention – Circonstances de l’arrivée du témoin boulevard Victor – Les manœuvres
interarmées « Alligator » – Un largage en Corse – La rivalité entre la Marine et l’armée de
l’Air – Manœuvres interalliées avec les Américains – La division opérations du 3
e
bureau de
l’EMAA – Les manœuvres interarmes : les plans d’intervention OTAN – Une anecdote : à la
recherche d’un document classé cosmic – Les doctrines divergentes des Américains et des
Français en cas d’attaque soviétique : la flexible response.
Bande 7 – Face 1 (Entretien du 17 octobre 1995)
Le travail au 3
e
bureau : une mission en Afrique du Nord – Une mission sur Gibraltar en B-
26 ; un trafic d’alcool – L’évacuation du territoire français par les troupes américaines – La
doctrine de déploiement des escadrons sur les terrains – L’exercice Mistral – Les rectrictions
budgétaires – Les heures de vol à Creil sur avion à réaction SMB 2 : l’abonnement – Les
problèmes météorologiques rencontrés : anecdotes – Les effectifs surnuméraires de la
promotion 1951 et les problèmes correspondants pour l’attribution des commandants
d’escadre – Son affectation sur la base de Cambrai : climat et ambiance à l’escadre – La
recherche d’un appartement pour sa famille – L’ambiance à la 12
e
escadre – La personnalité
du général Bret.
Face 2
L’ambiance sous le commandement du général Bret – Une personnalité de la base : Jean
Castellano, commandant du groupe II/12 à Cambrai – L’importance de la notation ; le cas de
Michel Rigal – Les missions de l’escadre – Les idées du général de Gaulle sur le Mirage IV ;
la mise sur pied de la la force de dissuasion nucléaire – La réduction des effectifs de l’armée
de l’Air – La mise en place d’un système de défense aérienne cohérent – Le plan Vauban et
les débuts de l’informatique – Une défense aérienne liée à l’OTAN mais non intégrée – Les
missions de la 12
e
escadre à Cambrai – Les missions d’escorte des Mirage IV – Les missions
d’interception avec le centre de détection et de contrôle de Doullens – Jugement porté sur
l’efficacité de ces missions.
Bande 8 – Face 1 (Entretien du 23 octobre 1995)
Finalité du commandement d’une escadre – Le rôle des épouses des pilotes et la cohésion
d’une unité – Les risques, les limites et les accidents dans l’aviation militaire – L’année
d’étude de l’École de guerre en 1968 – Les questions de concours sur la réglementation
militaire – L’année d’étude à l’École de guerre – Le commandement d’une escadre et les
difficultés de la permanence opérationnelle – Les problèmes météorologiques rencontrés à
Cambrai – A l’ESGA, une qualité : un enseignement sans doctrine – L’École de guerre de
l’armée de Terre – Appréciation d’ensemble sur l’année passée à l’ESGA – Une ouverture
vers l’extérieur : le voyage d’études à l’étranger ; un enseignement libéral.
Face 2
Un enseignement participatif à l’École de guerre – Les excès de la libéralité – Les cours du
Cours supérieur interarmées et l’avantage d’une formation interarmes – Les expériences dans
les autres armes – Les chefs de groupe au CSI : tous des aviateurs – Les différents voyages
d’études – Les circonstances de son affectation à la division plans du Bureau des plans
généraux – La place du BPG au sein de l’EMAA – Sa fonction au BPG et notamment les
relations avec le plan quinquennal – Le contexte économique national à l’époque – L’inflation
en France.
Bande 9 – Face 1
Importance du nombre des avions de combat dans le standing d’un état – Les plans du BPG et
les contraintes politiques et budgétaires – Le plan à long terme – L’avion de combat futur
dans les prévisisons du BPG – La consultation des grands commandeurs – La nécessité d’un
avion de combat futur français – La nécessité d’un avion biloteur – Les commandes de vol
électriques et informatiques – L’industrie aéronautique nationale : un besoin.
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