Nato az indd

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Réponse: L’Azerbaïdjan s’intégre activement dans les structures euro-at-
lantiques. Nous sommes participants au programme de “Partenariat pour la 
paix”. Après le programme “Partenariat pour la paix”, l’étape suivante de la 
coopération avec l’Azerbaïdjan se déroulera dans le cadre du “Plan Individuel 
d’Action”. Notre politique vers une intégration plus profonde sera poursui-
vie. Il est certain que le confl it gelé, l’existence du problème entre l’Arménie et 
l’Azerbaïdjan est un problème sérieux, qu’il crée des diffi
  cultés dans nos rela-
tions avec les organisations internationales. J’espère que le confl it trouvera sa 
solution et  que l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan sera rétablie.
L’Azerbaïdjan n’a aucun problème dans ses relations avec la Russie. Nous 
avons établi une coopération dans toutes les orientations – dans les domaines 
politique, économique et culturel. Il n’y a pas de problème non résolu entre 
nous. Le niveau de notre dialogue politique est très élevé et conforme aux in-
térêts de nos deux pays.
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Monsieur le Secrétaire Général ! Chers collègues !
Mesdames et Messieurs !
Je suis heureux de participer à ce sommet et je crois que ses travaux donne-
ront une impulsion au développement de l’Alliance.
Je présente mes félicitations aux nouveaux membres de l’Alliance. C’est le 
résultat logique de leurs eff orts de conformité aux critères de qualité d’adhé-
sion à l’OTAN. Je suis certain qu’un plus grand élargissement de l’OTAN ap-
portera ses contributions à étendre davantage les contours généraux de paix, 
de sécurité et de liberté délimités par l’espace Atlantique.    
Depuis 1994, l’Azerbaïdjan participe activement au programme «Partenariat 
pour la paix». Nos relations bilatérales avec l’OTAN se développent avec succès.
Notre participation au plan «Action de partenariat individuel» est un tour-
nant important dans les travaux de l’Azerbaïdjan avec l’OTAN et apportera 
une contribution remarquable au développement de notre politique de sécu-
rité. Depuis dix ans la politique azerbaïdjanaise pour l’intégration à l’Europe et 
aux structures atlantiques sera suivie désormais. Nous sommes sûrs que cett e 
intégration apportera plus de sécurité à notre région et de prospérité à notre 
population. 
L’Azerbaïdjan a déjà donné la preuve qu’il était un partenaire sûr non seule-
ment par ses déclarations mais aussi par ses actes pratiques. En exprimant no-
tre volonté nous déclarons que nous sommes prêts à adhérer aux opérations de 
maintien de la paix de l’OTAN, ce qui est notre objectif général. Aujourd’hui 
nos soldats de la paix n’épargnent pas leurs eff orts pour contribuer concrète-
ment à la paix et à la sécurité dans diff érentes régions du monde ensembles 
avec les militaires de l’OTAN et des Etats partenaires. 
Après les att aques du 11 septembre contre les Etats-Unis, l’Azerbaïdjan 
était au premier rang des pays qui avaient adhéré à la coalition anti-terroris-
te. Aujourd’hui notre pays apporte sa contribution concrète à la lutt e globale 
contre la terreur.
Ayant subi la terreur arménienne (à la suite de 32 actes terroristes, plus de 
2 mille personnes ont perdu la vie), nous comprenons bien qu’il n’est possible 
de lutt er effi
  cacement contre ce fl éau qu’au moyen des eff orts conjoints de la 
communauté internationale. 
Discours de Ilham Aliyev, Président de la 
République d’Azerbaïdjan, au sommet de l’OTAN  à 
Istanbul
Le 29 juin 2004
AZERBAIDJAN - OTAN : LE DEBUT DU PARTENARIAT

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En conséquences de l’agression arménienne qui dure plus de dix ans, 20% 
du territoire de l’Azerbaïdjan ont été occupés, constituant en cela est un des 
dangers les plus grands à la paix et à la sécurité de notre région. A la suite de 
l’agression de l’Arménie et du nett oyage ethnique auquel ils sont livrés, plus 
d’un million d’azerbaïdjanais se sont trouvés en situation de refugiés et des 
déplacés, la région azerbaïdjanaise du Haut-Karabagh et de 7 autres régions 
limitrophes  sont sous occupation. L’intégrité territoriale de notre pays a été 
violée. Les quatre résolutions de l’ONU qui exigent le retrait sans réserve des 
forces militaires arméniennes des territoires occupés ne sont pas respectées par 
l’Arménie jusqu’à présent. Les négociations de paix entre l’Arménie et l’Azer-
baïdjan qui durent depuis plus de dix ans n’ont donné aucun résultat. L’Azer-
baïdjan ne fera aucune concession par rapport à son intégrité territoriale et à sa 
souveraineté. 
Le Haut-Karabagh est un territoire illégal et hors de contrôle qui crée constam-
ment un danger pour la paix et la sécurité au Caucase du Sud.
Nous espérons que les résultats de ce sommet augmenteront notre possibi-
lité d’apporter plus de  sécurité et de stabilité à l’espace Atlantique et aux terri-
toires qui lui sont proches. 
Merci
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Tout d’abord, je voudrais vous témoigner toute ma reconnaissance pour  
m’avoir invité à participer au travail de l’Assemblée Parlementaire. J’estime 
que les questions qui sont actuellement en cours de discussion à l’Assemblée 
sont d’une grande importance pour la sécurité, le développement durable et la 
coopération régionale dans la région de Caucase du Sud. Toutes sont des ques-
tions qui sont liées les unes avec les autres. 
L’Azerbaïdjan, un de ces pays du Caucase du Sud, apporte sa contribution 
aux mesures de sécurité, au renforcement de la paix et de la stabilité dans la 
région. Avec le rapprochement des frontières de l’Union Européenne de celles 
de la région du Caucase du Sud, bien sûr, ces nouvelles proximités, vues sous 
l’angle de l’établissement de relations, de la conduite de notre coopération et 
du maintien d’un bon voisinage, ces idées modernes,  prennent une place très 
importante dans notre agenda. 
Quant à la politique d’intégration euratlantique, l’Azerbaïdjan a fait de grands 
pas en avant. Notre partenariat avec l’OTAN avance rapidement. L’Azerbaïd-
jan est un membre actif du programme de «Partenariat Pour la Paix». Deux ans 
avant, j’avais présenté le «plan d’activité du partenariat individuel» au Secré-
taire Général de l’OTAN. Nous sommes très satisfaits de l’état de ce partenariat 
et nous espérons que nos travaux communs se poursuivront à l’avenir.  
Le développement politique et économique dans le Caucase du Sud,  ainsi 
que les questions de la sécurité énergétique sont liés étroitement l’une à l’autre. 
Aujourd’hui, évidemment,  le rôle que joue la région avec ses grandes ressour-
ces en énergie et avec les itinéraires de transports déjà existants, prendra de 
l’importance. Il ne s’agit pas seulement de questions régionales, mais aussi de 
questions à l’échelle mondiale. 
Au cours ces dix dernières années, le développement politique et économi-
que de l’Azerbaïdjan indique que le pays se développe avec succès. La mise en 
oeuvre des réformes politiques s’appuie sur  des bases économiques solides. 
Parce que nous ne pouvons pas séparer l’un ou l’autre de ces deux éléments 
du développement du pays. Autrement, nous ne pourrions pas aboutir à un 
développement durable.  
Le processus de démocratisation de société en Azerbaïdjan, les réformes po-
litiques, le renforcement des institutions politiques mais également les réfor-
Discours de Ilham Aliyev, Président de la 
République d’Azerbaïdjan, lors de la session de 
printemps de l’Assemblée Parlementaire de l’OTAN
Le 30 mai 2006.
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