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RASSEMBLEMENTS-EXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES



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RASSEMBLEMENTS-EXPOSITIONS-CONCERTS-SPECTACLES


Agenda - Saison de la Turquie en France (Juillet 2009 - Mars 2010)

SAISON DE LA TURQUIE EN FRANCE (Juillet 2009 - Mars 2010)

Conférences organisées par le Forum universitaire du 12 novembre 2009 au 21 janvier 2010

ESPACE LANDOWSKI, BOULOGNE-BILLANCOURT
-

28 avenue André Morizet 92100 Boulogne-Billancourt

- jeudi 26 novembre 2009 16h30 à 18h "Des steppes d'Asie Centrale à l'Asie Mineure : la longue histoire des Turcs" Anne-Marie TEREL

- Jeudi 3 décembre 2009. 14:30-16:30 - "Une histoire de la Turquie moderne : de l’Empire ottoman à la République d’Atatürk" Thierry ZARCONE


. 16h30 à 18h "Les Seldjoukides de Konya"Anne-Marie TEREL
- Jeudi 10 décembre 2009. 14:30-16:30 - "La Turquie et l’islam : pluralisme et réformisme" Thierry ZARCONE-
. 16h30 à 18h "Istanbul, capitale de l'empire Ottoman"Anne-Marie TEREL

- Jeudi 17 décembre 2009


. 14:30-16:30 - "Les Rapports de la Turquie avec la Russie et le Sud-Caucase : Arménie, Azerbaïdjan, Géorgie" Charles URJEWICZ. 16h30 à 18h "Le palais de Topkapi et la vie à la cour" Anne-Marie TEREL

- Jeudi 7 janvier 2010 14:30-16:30 - "L’Économie turque, force et faiblesses" Dorothée SCHMID

- Jeudi 14 janvier 2010 14:30-16:30 - "La Question kurde" Hamid BORZARSLAN

- Jeudi 21 janvier 2010 14:30-16:30 -" La Turquie, l’Europe et l’Union pour La Méditerranée" Dorothée SCHMID

• Thierry ZARCONE « De l’empire ottoman à la République d’Ataturk » Découvertes Gallimard 2005 ; « Musulmans et soufis du Tibet » Arche Milan 2005 ; « La Turquie moderne et l’Islam » Flammarion 2004
• Charles URJEWICZ « Religion et politique dans le Caucase post-soviétique » Maisonneuve et Larose 2007
• Dorothée SCHMID :
• Anne- Marie TEREL « La Cappadoce aujourd’hui, Konya et Akara » Ed. du Jaguar 1990 ; « Topkapi » (en collaboration) 5 tomes Ed. du Jaguar ; « Le monde byzantin » Flammarion 2002 ; Guide « Turquie » collection Voir Hachette 2004

Agenda - Boulogne-sur-Gesse: « L'Armée du crime » sur les écrans de Ciné Lumière

« L'Armée du crime ». Film français, historique, drame, réalisé par Robert Guédiguian… Durée : 2 h 19.

Séances : samedi 21novembre à 18 heures, dimanche 22 novembre à 18 heures, lundi 23 novembre, à 21 heures.

Programme sur répondeur : 05 61 88 66 99. Service culturel : tél. 05 61 88 79 31.

Lundi, tarif réduit pour tous : 4 euros.



http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/18/717652-Boulogne-sur-Gesse-Sur-les-ecrans-de-Cine-Lumiere.html

Agenda - « La solidarité internationale en crise ? Les jeunes porteurs d’avenir »

Un débat intéressant sur la solidarité internationale et la lutte anti-raciste

Le 21 novembre prochain aura lieu à la Maison des Initiatives Etudiantes le débat « La solidarité internationale en crise ? Les jeunes porteurs d’avenir » organisé par Cabinet des Relations Internationales de la Ville de Paris et le Conseil Parisien de la Jeunesse.

Dans le cadre du programme officiel de la Semaine de la Solidarité Internationale 2009, coordonné au niveau national par le C.R.I.D., le débat aura lieu le samedi 21 novembre 2009 à partir de 16 heures à la Maison des Initiatives Étudiantes (50, Rue des Tournelles, 75003 Paris Métro : Bastille). Entrée libre et gratuite.

Après la projection du court-métrage « De Dakar à Paris, Échangeons nos regards » réalisé par le Conseil Parisien de la Jeunesse et la Mairie de Paris, le débat, introduit par M. Pierre SCHAPIRA, Adjoint au Maire de Paris chargé des Relations Internationales, des affaires européennes et de la francophonie, se déclinera en deux tables-rondes qui verront la participation :

o de personnalités du monde de la recherche,
o d’experts de la question internationale et du développement,
o de représentants d’associations engagées en matière de solidarité internationale et
o du Conseil Parisien de la Jeunesse de la Ville de Paris (instance de démocratie participative de promotion de la citoyenneté des jeunes montant actuellement un projet d’aide au développement).

La première table-ronde sera consacrée à la problématique de l'engagement des jeunes dans la solidarité internationale et à l'impact qu'une telle implication citoyenne est susceptible d'avoir sur l'évolution des mentalités dans les pays occidentaux.

Le co-développement, levier de la lutte antiraciste ? La solidarité internationale, ressort d'une pacification des relations internationales et... d'une appréhension plus fraternelle et moins anxiogène de l'Altérité? S'engager dans le co-développement pour casser nos préjugés ?

Voici des questions qui seront au cœur du débat.

(événement facebook à cette adresse :

http://www.facebook.com/home.php?ref=home#/event.php?eid=172965294265&ref=mf)

Dans l'espoir que vous puissiez être des nôtres,

Bien à vous,

Margie Bruna
LICRA Jeunes Paris

Agenda - Phonéthon 2009: du 19 au 22 novembre 2009

Le Phonethon consiste à contacter en 4 jours par téléphone, un maximun de familles à l'aide de bénévoles pour récolter des promesses de dons. Il s’organise dans 5 villes avec plus de 600 bénévoles mobilisés : Paris, Lyon, Marseille, Nice et Toulouse. Les centres sont mobilisés de 9h00 à 21h00.

Les bénévoles

Composante essentielle du dispositif, les bénévoles ont la mission de convaincre les personnes contactées pour qu'elles fassent une promesse de don au Fonds Arménien de France.

Une statistique réalisée lors du dernier phonethon montre que les profils de bénévoles sont très variés : Ils sont professionnels actifs pour plus de 54%, étudiants pour 30% et retraités pour 14%.Ils ont effectué des études supérieures pour la majorité dont 34% de formation commerciale et financière.

Enfin, parmi les actifs, on trouve 23% de professions libérales et de dirigeants, 17% de professions administratives, 14% d’enseignants et artistes et 12% de scientifiques.

Les 2/3 de bénévoles sont motivés par l’aide apportée à l’Arménie et à l’Arstakh, y compris les étudiants français ayant participé à ce Phonéthon.

Au terme du Phonéthon, chaque bénévole se voit remettre un souvenir de son passage afin de le remercier pour son temps et ses efforts.



Formation et encadrement

Outre les formations et informations préalables reçus par les bénévoles dans le mois précédant le Phonéthon, chaque bénévole reçoit une formation technique et surtout commerciale (argumentaire vis-à-vis des donateurs) d’une demi heure.

Les bénévoles sont encadrés dans leur travail par des chefs de plateaux qui leur distribuent les listes de donateurs à appeler, selon la stratégie du moment.

Partenariat avec France Télécom

4 centres d’appels sur 5 s’effectuent en partenariat avec l’opérateur français Orange France Télécom qui prête des locaux, fournit le matériel (ordinateurs et téléphones) et des équipes de techniciens.

Les 5 centres sont connectés au serveur hébergé par l’entreprise Monaco Technologie à Monaco.

Statistiques des appels téléphoniques

Le Fonds Arménien de France dispose d’un fichier d'environ 55.000 familles et entreprises dont 48.000 avec téléphone. Sur ce total 25.000 familles et entreprises sont joints chaque année par téléphone.

En 2008, Sur ces 25.000 familles et entreprises contactée, 40 % soit 10.990 ont fait des promesses de dons pour un montant de 925.860 Euros.

Environ 10 % des donateurs sont des entreprises dont la contribution atteint 23 % du total.


Le montant moyen des dons des particuliers est de 62 Euros et celui des entreprises est de 142 Euros.

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Objectifs 2009

Le Phonéthon 2009 portera en priorité sur la Région d’Askeran au Karabagh et la Région du Tavush en Arménie.

Poursuite de l’opération Tavush 2012

Lancé en février 2009 grâce à la subvention du Conseil Général des Hauts-de-Seine, ce programme de développement agricole a pour objectif d’augmenter les productions agricoles locales des 1 100 familles de la zone de Kashtarak puis de s’étendre à une dizaine de villages.

La clé de voute de ce projet est la rénovation et l’extension du canal d’irrigation de 15 km.

Les travaux on commencé en juillet dernier et la livraison est prévue pour le début du mois d’avril 2010 afin de permettre l’irrigation des cultures.

Pour améliorer la qualité et le rendement des productions, les agriculteurs ont accepté d’expérimenter de nouvelles variétés de fruits et légumes. C’est ainsi qu’en Août dernier, à Kashtarak et deux autres villages limitrophes, on a planté 15 000 plants de fraisiers venus de Sologne. Objectif : surmonter la malnutrition, mais aussi permettre aux agriculteurs d’accéder aux marchés pour augmenter leurs revenus.



Région d’Askeran au Karabagh

Une des priorités dans cette région est l’apport d’eau potable aux villageois pour leur usage courant, mais aussi pour des besoins d’irrigation des jardins potagers dont ils vendent la production sur le marché de Stépanakert.

Au total quelques 6 200 habitants profiteront de ces investissements.

Si l’adduction d’eau potable est une priorité du Fonds Arménien, le traitement des eaux usées s’avère tout aussi indispensable pour assurer des conditions d’hygiènes satisfaisantes. Ainsi, à Askéran, le Fonds Arménien construira le nouveau système d’égouts de la ville.

Cette opération, d’un coût total de 1 million d’euros, sera co-financée par le gouvernement du Karabagh.

Le reste de la collecte du Phonéthon sera consacré aux villages du Tavush et du Lori en Arménie.


http://www.fondsarmenien.net/index.php?option=com_content&view=article&id=48&Itemid=27

Agenda - Hélène Ségara: La Marraine du Phonéthon 2009

E



couter le message d'Hélène Ségara

En 2006, Hélène Ségara inaugurait l’Année de l’Arménie aux côtés de Charles Aznavour.


De ce premier contact avec le pays de ses racines est née une passion qui se traduit aujourd’hui en action : elle sera la marraine du Phonéthon 2009.
Petit voyage au pays des émotions.

Vous avez accepté d’être la marraine du Phonéthon 2009 du Fonds Arménien de France. Pourriez-vous nous dire pourquoi ?

Lorsque je suis allée à Erévan pour le concert inaugural de l’Année de l’Arménie, j’ai retrouvé mes racines, que je ne connaissais pas assez. Dès mon arrivée, je m’y suis sentie chez moi. Alors que je visitais ce pays pour la première fois, tout me semblait déjà proche et familier. Les visages et les regards étaient ceux de mon enfance, tout comme la chaleur humaine qui émane du moindre geste et qui vous dit que nous appartenons à une même famille, malgré nos histoires dispersées, qui nous ont forgé une communauté de destin.

Comment avez-vous ressenti l’état d’esprit des Arméniens d’Arménie ?

Je m’attendais à trouver un peuple affligé, brisé par le séisme, paralysé par le blocus, épuisé par la guerre. Finalement, j’ai trouvé un peuple debout, courageux, fier et digne. A chacune de mes rencontres avec ces femmes et ces hommes, j’ai constamment ressenti une profonde noblesse forgée par toutes ces années de difficultés et de sacrifices. Tout cela, je le partageais avec eux. Ce voyage m’a donc fait comprendre que, par delà l’espace et les années, sans le savoir, j’avais gardé un lien intime avec ces gens si éloignés de moi et pourtant si proches. Plus que cela, je sentais que ces femmes et ces hommes, qui ne me connaissaient que par ma voix, avaient eux aussi tissé un lien intime avec moi. Par ailleurs, je savais que le Fonds Arménien œuvrait à la reconstruction de l’Arménie et que son travail, à travers l’édification de routes, d’écoles et d’hôpitaux, servait à consolider cette fierté et cette dignité, aussi bien celle des arméniens d’Arménie que ceux de la diaspora. Aussi, lorsqu’on m’a proposé de marrainer le Phonéthon, j’ai tout de suite accepté.

A votre avis, quel rôle doit jouer la diaspora dans la reconstruction de l’Arménie ?

A mon avis, ce que nous faisons là-bas, nous le faisons d’abord pour nous-mêmes. L’Histoire nous a imposé un devoir, celui d’être toujours solidaires, car pour les Arméniens qui ont été disséminés à travers la planète après 1915, la solidarité a été ce qui les a sauvés. Je parle aussi bien de la solidarité des Arméniens entre eux, que de la solidarité des nations qui les ont accueillis lors de leur arrivée dans leurs pays d’adoption. La solidarité est donc pour moi à l’origine de notre survie et le fondement de notre existence.

Aussi, tant avec les Arméniens d’Arménie qu’avec ceux qui souffrent là où nous sommes, la solidarité est notre première obligation. Si elle s’exerce envers les Arméniens d’Arménie, c’est parce qu’il y a entre eux et nous une identité, celle des racines, celle de l’Histoire et celle des souffrances. Je parlais tout à l’heure de la dignité et de la fierté des Arméniens d’Arménie. A travers ce que l’on bâtit là-bas, c’est notre dignité et notre fierté que nous bâtissons.

Comment vivez-vous ce retour à vos origines arméniennes ?

Avec une grande émotion et le désir de rattraper le temps perdu. Comme artiste aussi bien qu’en tant que femme, ma personnalité est fondée sur la sensibilité, que j’essaie de communiquer aux autres par mon métier. Mes retrouvailles avec

mes racines m’ont fait découvrir toute une palette d’émotions qui étaient déjà en moi, mais que mon retour vers l’Arménie a, pour ainsi dire, révélées. C’est un peu ce qu’a vécu Charles Aznavour, notre précurseur à tous, qui a su transmettre sa sensibilité arménienne au monde entier. En retrouvant mes origines, c’est donc un peu moi-même que je retrouve, et cette richesse supplémentaire qui m’est donnée, il est certain que, d’une manière ou d’une autre, je la transmettrai à mon public. Les Arméniens ont une tradition millénaire de la transmission de la culture et de l’art. En transmettant ce que je reçois, au fond je ne fais que suivre cette tradition. J’en fais même partie.

Etes-vous retournée à Erévan depuis votre participation au concert inaugurant l’Année de l’Arménie en France ?

Malheureusement non. J’aimerais beaucoup y retourner. J’avais un projet de concert qui n’a pas abouti. Pour l’instant ce n’est pas à l’ordre du jour, mais j’espère bien que cela se fera, parce que, comme beaucoup, j’ai aussi ce besoin de me ressourcer aux choses essentielles, comme la mère que je suis a besoin de se ressourcer auprès de ses enfants. Avec l’Arménie, il ne s’agit pas d’enfants, mais de femmes et d’hommes qui font désormais partie de mon univers.

Comment réagit votre public lorsque vous interprétez Délé Yaman ?

Cette chanson m’a valu énormément de courrier, car les gens veulent en connaître le sens. Elle fait partie des chansons préférées de mes fans et je parle de ceux qui n’ont aucune racine arménienne. Par le succès qu’elle remporte et l’émotion qu’elle procure à des gens qui ne connaissent rien à son origine, cette chanson démontre encore que la sensibilité arménienne est universelle. C’est ce message, à mon sens, que nous devons porter aux autres, cette part de sensibilité qui est en nous et qui appartient à tous. De même pour ce que nous manifestons à travers le Phonéthon, la solidarité. C’est une valeur universelle que nous portons en nous et qui, au fond, appartient à tous.

Propos recueillis par

René Dzagoyan

http://www.fondsarmenien.net/index.php?option=com_content&view=article&id=56&Itemid=92

Agenda - Mémoire de la Shoah: Cycle de films du 12 au 24 novembre 2009

Po-Lin - La mémoire de la Shoah dans le cinéma polonais aujourd’hui

Cycle de films du 12 au 24 novembre 2009

Depuis une vingtaine d’années on assiste, en Pologne, à un retour douloureux de la Shoah dans la mémoire nationale. La levée de la censure et l’avènement de la démocratie, ont donné une large publicité à des débats mémoriels jusqu’alors limités à de petits cercles intellectuels. On assiste à une réappropriation de ce passé, et à de fortes controverses. Le cinéma documentaire est au rendez-vous.

Les thèmes choisis pour ce cycle correspondent aux questions soulevées. Comment vivaient les Juifs polonais avant la guerre ?

Leurs relations avec les Polonais non juifs ? Les massacres, les ghettos, et les résistances juives et polonaises ? Quelle responsabilité des témoins polonais face au génocide perpétré sous leurs yeux, par les nazis ? Quelle solidarité avec les victimes pendant et après la guerre ?

Comment regarder en face la participation polonaise à des massacres (Jedwabne, Kielce) et à des épurations antisémites (mars 1968) ?

« Nous devons très sincèrement, très honnêtement, affronter la question de la coresponsabilité », disait déjà en 1987, le grand critique polonais Jan Blonski. C’est ce dont témoignent ces films.

Cycle de films et rencontres proposé et animé par Jean-Yves Potel, écrivain, universitaire, auteur de La fin de l’innocence, la Pologne face à son passé juif (éd. Autrement, 2009), correspondant du Mémorial de la Shoah pour la Pologne.

Coordination pour l’Institut polonais de Paris : Beata Podgorska, Klaudia Podsiadlo, et Maciek Hamela.

En partenariat avec l’Institut polonais de Paris.

Tarifs pour chaque séance :


5 euros, réduit 3 euros
Tarif réduit :

jeune de -26 ans

étudiants (justificatif indispensable)

+ de 60 ans

demandeurs d'emploi ( justificatif indispensable)

3 séances achetées = 3 euros la séance



http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do?itemId=1106&type=1

Agenda - 24 Novembre: Conférence - Diner du G2iA

INVITATION

CONFERENCE - DINER DU G2IA

le mardi 24 Novembre à 20h 00

Péniche ANEKO (Bassin de la Vilette)

Face au 61, quai de la Saine 75019 Paris

Bilan d'Armtechcongress et développement à venir

Avec la délégation française conduite par:



Cécile GUL

Présidente du G2iA

Participation aux frais:

Conférence: 5 euros - Diner et conférence: 35 euros

A




genda - "Patrimoine arménien: pour une stratégie de conservation et de valorisation coordonnée"

L’UNION GENERALE ARMENIENNE DE BIENFAISANCE EUROPE

Organise les 24, 25 et 26 novembre 2009
A Paris, un colloque

Patrimoine arménien : pour une stratégie de conservation et de valorisation coordonnée



CHAMP D’ACTION
Deux grands domaines sont privilégiés:
1) Le patrimoine écrit et photographique, couvrant les XIXe et XXe siècles, en particulier les fonds d’archives publics et privés, conservés en Arménie comme en diaspora (dorénavant « patrimoine contemporain »).

2) Le patrimoine monumental arménien, religieux et civil, en particulier celui situé en Turquie, essentiellement perçu comme un problème d’ordre politique intéressant l’Arménie et sa diaspora, l’Union européenne et la Turquie.



OBJECTIFS DU COLLOQUE

1. Inventorier les fonds d’archives et de photographies nécessitant une intervention rapide pour assurer leur conservation ; aboutir à un programme de numérisation et d’indexation des matériaux étalé sur plusieurs années;

2. Collecte et préservation de fonds d’archives privés en Arménie et en diaspora ;

3. Mise en commun des ressources documentaires et réflexion sur la mise en ligne éventuelle des archives sous la forme de bases de données, pouvant être mise en lien ; Sous quelles formes (basse définition pour les photos par exemple) ;

4. Financement des projets ; inventaire des sources de financement et des critères de choix susceptible de rendre éligibles les programmes.

5. Développer un réseau de collecte d’informations pour faciliter le repérage des fonds extérieurs, voir en faire l’acquisition numérique ou physique.

6. Développer un programme de valorisation de ce patrimoine en menant certaines actions en commun: publications collectives ; création d’expositions d’intérêt général, sur des bases documentaires éprouvées ; formation de chercheurs ; échanges interuniversitaires, etc.

7. Dans le prolongement de la démarche documentaire, envisager la mise en place d'une équipe européenne pluridisciplinaire, associant historiens, archéologues, architectes, institutions publiques et ONG, sous le patronage de l'UE ou du Conseil de l'Europe, en y impliquant des universités européennes, y compris d'Arménie et de Turquie.




PROGRAMME DU COLLOQUE
In memoriam Armen Hakhnazarian

MARDI 24 NOVEMBRE : « PATRIMOINE CONTEMPORAIN »


10H - OUVERTURE DU COLLOQUE : Allocution de bienvenue D’ALEXIS GOVCYAN (président de l’UGAB-Europe).
10H10 : Pourquoi ce colloque, RAYMOND KEVORKIAN (conservateur de la Bibliothèque Nubar de l’UGAB, Paris).
10H20 : Hommage à Armen Hakhnazarian, ROUBEN GALICHIAN

SESSION I, 10H45-12H15
LES COLLECTIONS DES GRANDES INSTITUTIONS D’ARMENIE

• Perspectives de développement du Musée-Institut du génocide,
HAYK DEMOYAN (directeur).
• Les travaux de numérisation aux Archives nationales d’Arménie,
AMATUNI VIRABYAN (directeur).
• Etat des travaux de numérisation et de valorisation menés en Arménie,
MERUJAN KARAPETIAN (directeur de Digilib).

SESSION II, 14H-15H30
LES COLLECTIONS DES INSTITUTIONS DE LA DIASPORA

• La création et l’animation de réseaux de collecte d’archives,
VAHE TACHJIAN (Berlin).
• Les archives de la Bibliothèque Nubar et de l’UGAB,
RAYMOND H. KEVORKIAN
• Recherches appliquées au sein de l’Armenian National Institut,
ROUBEN P. ADALIAN (directeur).

SESSION III, 16H-18H
• Les Fonds d’archives et de photographies de la congrégation mékhitariste (Venise et Vienne), RP VAHAN OHANIAN (Venise).

• Les Archives du patriarcat de Jérusalem,


KEVORK HINTLIAN (Jérusalem).
• Les Archives de l’archevêché arménien d’Alep,
MIHRAN MINASSIAN (Alep).
• Collecte et exploitation des archives : l’expérience d’un cabinet d’avocat,
VARTKES YEGHIAYAN (Los Angeles).

2. « PATRIMOINE MONUMENTAL »



MERCREDI 25 NOVEMBRE
SESSION I, 10H-12H
LES GRANDS PROGRAMMES DE RECHERCHES MENES CES DERNIERES DECENNIES

• Le Patrimoine monumental arménien : état des lieux,
PATRICK DONABEDIAN (Université d’Aix-en-Provence).
• Les collections documentaires de Jean-Michel et Nicole Thierry,
ANI BELEDIAN.
• L’action de l’équipe de la RAA et de Armen Hakhnazarian
SAMVEL KARAPETYAN (directeur, Erevan).
• Le Centro Studi e Documentazione della Cultura Armena d’Alpago Novello: études, collections et actions
GAIANE CASNATI (CSDCA, Milan).

SESSION II, 13H30-15H15
LA PROTECTION DES « BIENS CULTURELS »

• Le Conseil de l’Europe et sa politique en matière de biens culturels,
NICOLAS TAVITIAN (UGAB-Europe et Inside Europe, Bruxelles).
• Le financement des programmes de protection des biens culturels,
IOANNA VAUTHIER (UGAB-Europe, Paris).
• Le droit des biens culturels aujourd’hui,
GERARD GUERGUERIAN (Paris).
• La valorisation du patrimoine monumental : le cas concret du Lori,
CHANT MARJANIAN (Paris).

SESSION III, 15H45-17H45
• Les fonds de cartes géographiques de la Bibliothèque nationale d’Arménie,
ROUPEN GALICHIAN (Londres)
• Patrimoine arménien de Turquie : opinion publique et législation turque vis-à-vis des destructions intentionnelles,
CHANTAL ET JEAN-CLAUDE HOTELLIER.
• Le patrimoine monumental arménien et les autorités turques,
ARA SARAFIAN (Gomidas Institut, Londres)
• Jougha : enseignements à tirer d’un crime contre les biens culturels
SARKIS SHAHINIAN (président de Suisse-Arménie, Berne).

JEUDI 26 NOVEMBRE,
10H13H
TABLE RONDE
Réflexion autour d’une politique de coordination des programmes
et du projet de création d’une base de données
PARTICIPANTS
Exposés introductif aux discussions
1. Raymond H. Kévorkian : Pour une coordination des projets et la circulation de l’information entre les principaux acteurs.
2. Hovhannes Kizoghian (Erevan) : Présentation du projet de base de données universelle.


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