Biographies des musiciens – Festival de Pâques 2016 Nicholas Angelich piano



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Biographies des musiciens – Festival de Pâques 2016
Nicholas Angelich piano

Né aux Etats-Unis en 1970, Nicholas Angelich donne son premier concert à sept ans, entre à treize ans au Conservatoire national supérieur de musique de Paris et étudie avec Aldo Ciccolini, Yvonne Loriod, Michel Béroff, Marie-Françoise Bucquet, Leon Fleischer, Dmitri Bashkirov et Maria João Pires. Il remporte à Cleveland le 2e prix du concours international Robert Casadesus et le 1er prix du concours international Gina Bachauer. Sous le parrainage de Leon Fleischer, il reçoit en Allemagne le prix des jeunes talents du Klavierfestival Ruhr. Aux Victoires de la musique classique 2013, il reçoit la victoire du « soliste instrumental de l’année. »

Grand interprète du répertoire classique et romantique, il donne lintégrale des Années de Pèlerinage de Liszt. Il sintéresse également à la musique du XXème siècle : Olivier Messiaen, Karlheinz Stockhausen, Pierre Boulez, Eric Tanguy, Pierre Henry dont il crée le Concerto sans orchestre et Baptiste Trotignon dont il crée le concerto Different Spaces. En mai 2003, il fait ses débuts avec le New York Philharmonic et Kurt Masur. Toujours sous sa direction, mais avec lorchestre national de France, il effectue une tournée au Japon. Vladimir Jurowski linvite en octobre 2007 à faire louverture de la saison à Moscou avec lorchestre national de Russie.

Nicholas Angelich sest produit avec les plus fameux orchestres mondiaux : Boston, Philadelphie, New York, Londres, Stockholm, Zurich, Francfort, Stuttgart, Baden-Baden, Hong Kong, Rotterdam, Liège, Bruxelles et aussi avec lorchestre de Paris, lorchestre de chambre dEurope, le Mahler Chamber Orchestra, le théâtre Mariinsky Orchestra sous la direction de chefs tels que Charles Dutoit, Vladimir Jurowski, Yannick Nézet-Séguin, Tugan Sokhiev, Lionel Bringuier, Louis Langrée, Christian Zacharias, Michael Gielen, Marc Minkowski, Gianandrea Noseda, Paavo Järvi, Kurt Masur, Myung-Whun Chung, Daniel Harding, Sir Colin Davis, Jérémie Rhorer.

En récital et en musique de chambre il joue dans le monde entier avec des partenaires comme Joshua Bell, Maxim Vengerov, Renaud et Gautier Capuçon, Leonidas Kavakos, Julian Rachlin, Gérard Caussé, Antoine Tamestit, Paul Meyer, Pavel Haas, les quatuors Ebène, Ysaÿe et Prazak.

Sa discographie (Erato, Harmonia Mundi, Lyrinx) comprend des œuvres majeures de Bach, Beethoven, Liszt, Brahms, Rachmaninov et Ravel, les sonates et la musique de chambre de Brahms et de Fauré (avec Renaud et Gautier Capuçon, Gérard Caussé et le quatuor Ebène), les concertos de Brahms avec l’orchestre de la radio de Francfort dirigé par Paavo Järvi.

C’est en 1997 que Nicholas Angelich créa le festival de Pâques de Deauville avec Renaud Capuçon, François Salque, Jérôme Pernoo et Jérôme Ducros à l’intention des générations futures.
Guillaume Bellom piano

Né en 1992, Guillaume Bellom débute conjointement l'étude du piano et du violon à l'âge de six ans au Conservatoire à rayonnement régional de Besançon. Il y obtient en 2008 ses prix de piano, de violon et de musique de chambre. En 2009, il est admis à l’unanimité au Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans la classe de piano de Nicholas Angelich et Romano Pallottini et a également suivi les enseignements de Frank Braley, Marie-Françoise Bucquet, Dominique Merlet, Dany Rouet, Denis Pascal, Leon Fleisher ou encore Jean-Claude Pennetier. Après avoir obtenu son master en mai dans la classe d’Hortense Cartier-Bresson, il a rejoint en septembre 2014 la formation au diplôme d’artiste interprète.

En 2011, il est reçu à l’unanimité au concours d’entrée en violon du Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans la classe de Roland Daugareil.

Il remporte le concours de piano des jeunes musiciens à Besançon en 2008. Il est également invité aux émissions de Phillipe Cassard et Arièle Butaux sur France Musique.

Son grand intérêt pour la musique de chambre le pousse à se produire au sein de diverses formations, notamment au festival de Pâques et à l'Août musical de Deauville. Il est régulièrement invité à jouer à la fondation Singer-Polignac où il est pianiste résident depuis 2012, à la Banque de France, au festival des claviers de Bel-Air à Chambéry, aux journées Ravel de Monfort-l’Amaury, au festival Orgue en ville de Besançon, au Printemps musical de Saint-Cosme, au festival des Arcs en Savoie et aux Vacances de Monsieur Haydn à la Roche-Posay.

Il crée en février 2013 le trio Danse encore du pianiste et compositeur Jean-Frédéric Neuburger, à la chapelle du Méjan à Arles, avec Amaury Coeytaux et Victor Julien-Laferrière. En 2014, il fait ses débuts au théâtre des Champs-Elysées dans le Carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns et devient lauréat de la fondation L’Or du Rhin. En 2015, Guillaume Bellom remporte le premier prix du concours international de piano d’Epinal et est finaliste du concours Clara Haskil à Vevey, y remportant le prix d’interprétation de l’œuvre contemporaine.

Son premier disque, enregistré avec le pianiste Ismaël Margain et consacré aux œuvres de Franz Schubert pour quatre mains, a paru sous le label Aparté. Il a été récompensé d'un ffff dans Télérama. Un deuxième disque à quatre mains, consacré aux oeuvres de Wolfgang Amadeus Mozart, a paru en avril 2014. Un disque consacré à Leos Janáček enregistré en public à Deauville a paru au printemps 2015 chez B Records.
Lise Berthaud alto

Très active sur les scènes de prestigieux festivals et salles de concerts en France et en Europe, Lise Berthaud partage régulièrement l’affiche avec des artistes tels que Renaud Capuçon, Eric Le Sage, Augustin Dumay, Pierre-Laurent Aimard, Louis Lortie, David Grimal, Emmanuel Pahud, Gordan Nikolitch, Martin Helmchen, Marie-Elisabeth Ecker, Daishin Kashimoto, les quatuors Ebène et Modigliani.

En 2009, Lise était nommée aux Victoires de la musique classique comme “Révélation instrumentale de l’année”.

Elle est notamment l’invitée du Iceland Symphony Orchestra (Paul McCreesh), du Hong Kong Sinfonietta, du festival de Moritzburg, du Sunmore festival en Norvège, du festival Berlioz de la Côte Saint-André.

Elle se produit également à la salle Pleyel, aux Moments Musicaux de La Baule, à l’Abbaye de l’Epau, à la salle Molière de Lyon, à la MC2 de Grenoble, en tournée en Corée avec le festival de Moritzburg, en soliste au théâtre des Champs-Elysées avec l’ensemble orchestral de Paris, en récital au Palazzetto Bru Zane de Venise ou encore à Kings Place à Londres.

En 2013, Lise est choisie par Leonard Slatkin pour interpréter et enregistrer Harold en Italie pour Naxos avec l’orchestre national de Lyon.

Lise est sélectionnée dans le prestigieux programme BBC New Generation Artist pour les saisons 2013-2015. Elle est invitée à jouer le concerto pour alto Der Schwanendreher  de Paul Hindemith avec le BBC Symphony (dirigé par Sakari Oramo). Elle est également l’invitée du BBC Philharmonic, du BBC National Orchestra of Wales, et donne des récitals au Wigmore Hall, au festival des Proms, au festival d’Auvers-sur-Oise, au festival de Pâques et à Aix-en-Provence.

Lise Berthaud a par ailleurs collaboré avec de nombreux compositeurs dont Philippe Hersant, Thierry Escaich, Henri Dutilleux, Gyorgy Kurtag, Jérémie Rhorer et  Guillaume Connesson dont elle crée l’œuvre pour alto et piano en septembre 2007.

Son disque en récital avec Adam Laloum fut salué par des critiques unanimes : Diapason d’or, clé Resmusica, sélection Radio Classique et sélection France Inter.

Lise Berthaud est membre du quatuor Strada qu’elle a fondé avec Pierre Fouchenneret et François Salque. Un disque du quatuor Strada consacré à Beethoven et enregistré en public à Deauville vient de paraître.


Renaud Capuçon violon

Né à Chambéry en 1976, Renaud Capuçon étudie au Conservatoire national supérieur de musique de Paris avec Gérard Poulet et Veda Reynolds puis avec Thomas Brandis à Berlin et Isaac Stern. En 1998, Claudio Abbado le choisit comme konzertmeister du Gustav Mahler Jugendorchester ce qui lui permet de parfaire son éducation musicale avec Pierre Boulez, Seiji Ozawa, Daniel Barenboim et Franz Welser-Möst. En 2000 il est nommé « Rising Star » et « Nouveau talent de l’Année » aux Victoires de la musique puis « Soliste instrumental de l’année » en 2005. En 2006, le prix Georges Enesco lui est décerné par la Sacem.


Renaud Capuçon collabore avec les chefs et les orchestres les plus prestigieux comme le Berliner philharmoniker, l’orchestre de Paris, le Philadelphia orchestra, le Staatskapelle de Dresde, l’orchestre de Moscou, le Boston Symphony Orchestra, le Chicago Symphony Orchestra, le Gewandhaus Orchester, le Philharmonia Orchestra de Londres, l’orchestre national de France, le New York Philharmonic, les orchestres symphoniques et philharmoniques de Vienne avec des éminents chefs tels Wolfgang Sowallisch, Kurt Masur, Christoph von Dhonanyi, Myung-Whun Chung, Daniel Harding, Vladimir Jurowski, Gustavo Dudamel, Charles Dutoit, Daniele Gatti ; il a créé le concerto de Pascal Dusapin avec l’orchestre de Cologne et réalise un cycle Brahms et Fauré au Musikverein de Vienne.

Chambriste passionné, ses partenaires sont Martha Argerich, Nicholas Angelich, Maria Joao Pires, Frank Braley, Hélène Grimaud, Mischa Maisky, Mikhaïl Pletnev, Jean-Yves Thibaudet, Gérard Caussé, Michel Dalberto et bien sûr son frère Gautier avec lequel il a gravé de nombreux enregistrements. Comme soliste, les concertos de Beethoven, Brahms, Berg, Dutilleux, Saint-Saëns, Schumann, Mendelssohn, Mozart, Bach figurent à son important catalogue sous la direction de Daniel Harding, Myung-Whun Chung, Louis Langrée, Yannick Nézet-Séguin, Lionel Bringuier.


Renaud Capuçon joue le Guarnerius del Gesù « Panette » (1737) qui a appartenu à Isaac Stern, acheté pour lui par la Banque Suisse Italienne (BSI). Il est promu « Chevalier dans l’Ordre National du Mérite » en juin 2011. Il est le fondateur et directeur artistique du festival de Pâques d’Aix-en-Provence et du festival Les Sommets Musicaux de Gstaad, ainsi que professeur de violon à la haute école de musique de Lausanne.
Bertrand chamayou piano

Natif de Toulouse, Bertrand Chamayou a été remarqué dès l’âge de treize ans par le pianiste Jean-François Heisser dont il a suivi par la suite l’enseignement au Conservatoire national supérieur de musique de Paris. Dans le même temps, il a travaillé assidûment aux côtés de l’illustre Maria Curcio à Londres, et a reçu les conseils éclairés d’un grand nombre de maîtres, dont ceux de Murray Perahia.

Bertrand Chamayou a, par ailleurs, à son actif des réalisations ambitieuses comme le cycle des Vingt regards sur l’Enfant-Jésus à l’occasion du centenaire du compositeur ou les douze études d’exécution transcendante de Liszt, données maintes fois en concert, et dont résulte un « live » salué unanimement par la critique (Sony Classical). Il a signé en 2008 un récital Félix Mendelssohn (Naïve) couronné de très nombreuses récompenses. Au printemps 2010, Bertrand Chamayou a présenté un disque César Franck (Naïve) accompagné par le Royal Scottish National Orchestra dirigé par Stéphane Denève. Ce disque a reçu plusieurs récompenses dont l’Editor’s Choice de Gramophone.

Bertrand a été invité à se produire sur des grandes scènes internationales comme la salle Pleyel, le théâtre des Champs-Elysées, le Wigmore Hall, le Lincoln Center de New York, la Herkulessaal de Munich, la Philharmonie de Cologne, le Concertgebouw d’Amsterdam, le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, l’auditorium de Barcelone, le conservatoire Tchaïkovski de Moscou, le Forbidden city concert hall de Pékin ainsi que dans des festivals comme le Klavier festival de la Ruhr, le Mostly Mozart festival, le festival Gergiev de Rotterdam, le festival de Lucerne, le Mecklenburg-Vorpommern Festspiele, le Musikfest de Brême, la Schubertiade de Schwartzenberg, le festival de Schwetzingen, Piano aux Jacobins à Toulouse, qui lui est très fidèle depuis ses débuts et l’invite aussi à son édition chinoise à plusieurs reprises, la Roque d’Anthéron, le festival de la Chaise-Dieu, le festival de Besançon, où il remplace au pied levé Krystian Zimerman, le festival de la Côte Saint-André, le festival de Pâques à Deauville, le festival de Radio France et Montpellier qui lui offre une résidence pour son édition 2013.

Bertrand Chamayou joue sous la direction de chefs comme Pierre Boulez, Andris Nelsons, Leonard Slatkin, Neville Marriner, Yutaka Sado, Semyon Bychkov, Philippe Herreweghe, Emmanuel Krivine, Michel Plasson, Stéphane Denève, Fabien Gabel, Ludovic Morlot, Jérémie Rohrer, Fayçal Karoui, Tugan Sokhiev, Lawrence Foster, Evelino Pido, Louis Langrée, Christian Arming, Paul Daniel, Joshua Weilerstein aux côtés de plusieurs orchestres de renom tels que l’Orchestre de Paris, le London Philharmonic Orchestra, le WDR Sinfonie Orchester de Cologne, la deutsche kammer philharmonie de Brême, le SWR Sinfonie Orchester de Stuttgart, l’orchestre national de France, le Royal Scottish National Orchestra, le Danish National Symphony Orchestra.

En 2006 Bertrand reçoit une Victoire de la musique classique comme « Révélation soliste instrumental de l’année” puis il reçoit en 2012 la victoire, dans la catégorie “Soliste instrumental de l’année», couronnant un parcours déjà très prometteur.

La musique contemporaine occupe une part importante de son activité et il a travaillé avec des légendes vivantes de la création comme Henri Dutilleux ou György Kurtag. Il a été invité dans le cadre du festival « Présences » à donner les concertos de Thomas Adès et de Esa-Pekka Salonen. Son activité de chambriste est de même essentielle, et il se produit régulièrement avec ses amis Sol Gabetta, Renaud Capuçon, Daishin Kashimoto, Augustin Dumay, Antoine Tamestit, Gautier Capuçon, Nicolas Baldeyrou, Alexeï Ogrintchouk, David Guerrier, Paul Meyer, Emmanuel Pahud, les quatuors Ebène, Belcea, Ysaÿe. Il est depuis 2013 le directeur artistique du Bel-Air claviers festival à Chambéry. En 2014 Bertrand signe un contrat d’exclusivité avec le label Erato. Le premier fruit de cette collaboration est un disque Franz Schubert parait en février. Vient de paraitre une intégrale Maurice Ravel que Bertrand Chamayou jouera dans le monde entier. Ses précédents enregistrements pour le label Naïve avaient été très remarqués et notamment, en 2011, dont l’intégrale des Années de Pèlerinage, couronné de nombreuses récompenses (Gramophone’s Choice, Choc Classica, Diapason d’Or de l’Année 2012 et Victoire de la musique du meilleur enregistrement de l’année).
Julien Chauvin violon et direction

Julien Chauvin, 1er prix du concours général à Paris en 1997, a étudié avec Vera Beths au conservatoire royal de La Haye, ainsi qu’avec Wilbert Hazelzet, Jaap Ter Linden et Anner Bylsma pour l'interprétation des œuvres des périodes baroque et classique.

En 2003, il est lauréat du concours international de musique ancienne de Bruges et se produit depuis en soliste en Géorgie, en Amérique du sud, en Afrique du sud, au festival de Pâques de Deauville ainsi qu’au Concertgebouw d’Amsterdam.

Sa formation l’amène à jouer au sein d’ensembles baroques tels que le concerto Köln, Les Musiciens du Louvre, le Concert d’Astrée, l’ensemble baroque de Limoges.

Il interprète également le répertoire romantique et moderne, en étroite collaboration avec Steve Reich, György Kurtág, Thierry Escaich, Thomas Adès et Philippe Hersant. Il se produit en compagnie de Renaud Capuçon, Jérôme Pernoo, Jérôme Ducros, Bertrand Chamayou, Christophe Coin, Patrick Cohen, Alain Planès.

Après dix années de collaboration au sein de l’ensemble Le Cercle de l’Harmonie qu’il dirigeait avec le chef d’orchestre Jérémie Rhorer, Julien Chauvin fonde en 2015 un nouvel orchestre : Le Concert de la Loge Olympique. Parallèlement, il poursuit sa collaboration avec le quatuor Cambini-Paris créé en 2007.

Le spectacle Era la Notte qu'il dirige, dans une mise en scène de Juliette Deschamps avec Anna Caterina Antonacci, a été présenté depuis sa création en 2006 sur les principales scènes européennes, à Luxembourg, à Nîmes, au Théâtre des Champs-Élysées, à Amsterdam, à Toulouse, à Caen et à Vienne.

En 2012, il est invité à diriger une production d’Echo et Narcisse de Gluck au Conservatoire national supérieur de musique de Paris et au long de la saison 2014/2015 il dirige Le Saphir de Félicien David et l'Armida d’Haydn, dans une mise en scène de Mariame Clément.

Invité régulier de France Musique et de Radio Classique, Mezzo lui consacre un portrait en 2006 et il se produit en récital avec Olivier Baumont au château de Versailles, à la Villa Médici de Rome ou à l'auditorium du musée d'Orsay.

Julien Chauvin enregistre des œuvres concertantes de Joseph Haydn, Ludwig van Beethoven et Hector Berlioz avec le Cercle de l'Harmonie pour Eloquentia et Ambroisie Naïve.

Il est artiste associé de la fondation Singer-Polignac à Paris.

Sarah Chenaf alto

Sarah Chenaf commence l’étude de l’alto au conservatoire de Bordeaux puis au Conservatoire national supérieur de musique de Paris où elle obtient son master. Elle poursuit ensuite sa formation à Vienne et Hanovre auprès de Johannes Meissl (quatuor Artis) et Hatto Beyerle (Quatuor Alban Berg).


En 2009 elle co-fonde le quatuor Zaïde composé de Charlotte Juillard, Leslie Boulin-Raulet et Juliette Salmona. Le quatuor Zaïde est lauréat de nombreux concours (Bordeaux, Pékin, Banff, Heerlen), se produit dans de grandes salles telles le théâtre des Champs-Elysées, le Wigmore hall de Londres, le Musikverein de Vienne, la Cité de la musique et avec des musiciens comme Jérôme Pernoo, Alexandre Tharaud, Bertrand Chamayou, Edgar Moreau, Jonas Vitaud.

En 2015/2016, le quatuor Zaïde retrouvera toutes les plus grandes salles d’Europe pour une tournée « Rinsing star » et sort un deuxième double disque consacré aux quatuors de l’opus 50 de Joseph Haydn.

Le quatuor Zaïde est en résidence à la Fondation Singer-Polignac.
Amaury Coeytaux violon

Amaury Coeytaux est né en 1984 et commence le piano à l’âge de quatre ans puis le violon à sept ans au conservatoire de Bordeaux. Récompensé d’une médaille d’or en musique de chambre à douze ans, il reçoit l’année suivante celle de violon et entre quelques mois plus tard au Conservatoire national supérieur de musique de Paris dans la classe de Jean-Jacques Kantorow.

En 2003, il s’installe à New York où il se perfectionne pendant quatre années auprès de Pinchas Zukerman. Durant cette période, il recevra également les conseils d’éminents musiciens tels que Zakhar Bron, Bernard Greenhouse et Tibor Varga.

En 2004, Amaury Coeytaux fait ses débuts au Stern auditorium du Carnegie Hall dans le concerto de Brahms. Depuis ce succès, il est invité à se produire sur les scènes les plus prestigieuses : Weill Hall (New York), Kennedy Center (Washington), Ottawa Center (Canada), salle Gaveau (France), tant en récital qu’en soliste, avec notamment, l’orchestre du Capitole de Toulouse, l’orchestre philharmonique de Kiev et l’orchestre ORTVE de Madrid sous la direction de Tugan Sokhiev, Arie Van Beek, Jean-Jacques Kantorow.

En 2006, Amaury Coeytaux remporte le 1er prix ainsi que cinq prix spéciaux lors du fameux concours Lipizer en Italie. En 2007, il est récompensé par le prix Eisenberg-Fried – la plus haute distinction du concours pour la meilleure interprétation d’un concerto à la Manhattan School of Music of New York. Il est, par ailleurs, lauréat de la fondation d’entreprise Banque Populaire-Natexis, de l’ADAMI et du programme Lavoisier.

Il collabore régulièrement avec de grands solistes tels que Pinchas Zukerman, Joseph Silverstein, François Salque, Joseph Kalichtein, Michael Tree, Nicholas Angelich.

En 2012, il est nommé violon solo de l’orchestre philharmonique de Radio-France sous la direction de Myung-Whung Chung.

Amaury Coeytaux joue un violon Guadagnini de 1773. Il est artiste associé de la fondation Singer-Polignac.

Un disque consacré à Mendelssohn enregistré en 2014 à Deauville pour le label B Records a paru au printemps 2015.
Edwin Crossley-Mercer baryton

Véritable révélation de la jeune génération française, Edwin Crossley-Mercer, après ses études au Centre de musique baroque de Versailles et Berlin, fait ses débuts en 2006 à Berlin dans Don Giovanni et est aujourd’hui invité sur le plus prestigieuses scènes internationales.

En 2009, il chante Guglielmo (Così fan tutte) au festival d’Aix-en-Provence. Il fait ensuite ses débuts à l’Opéra de Paris dans Ariane à Naxos (Harlekin) et chante La Juive (Albert) à Amsterdam, La Cenerentola (Dandini) à l’opéra national du Rhin, Hippolyte et Aricie (Thésée) aux festivals de Beaune et de Versailles, Castor et Pollux (Pollux) au théâtre de Champs-Élysées. 
À Berlin (Staatsoper et Komische Oper), il chante dans La BohèmeDer Freischütz et Doktor Faustus sous la direction de Daniel Barenboim. Par la suite, Edwin Crossley-Mercer fait ses débuts américains dans le rôle de Figaro (Les Noces de Figaro) avec l’orchestre philharmonique de Los Angeles et Gustavo Dudamel, et se produit dans Platée (Jupiter) à New York, Vienne et Paris. 
En 2013, il chante le rôle-titre de Don Giovanni à l’opéra de Dijon. Il incarne Jean-Jacques Rousseau à Genève dans la création de Philippe Fénelon JJR et campe Leporello (Don Giovanni) en 2014 au festival de Glyndebourne.
En concert et récital, il se produit à Bayreuth et New York, en passant par Paris et Saint-Pétersbourg, avec notamment le Bayerischer Rundfunkorchester ou l’orchestre national de France. Lauréat en 2007 du HSBC Foundation Award et du Prix Lili et Nadia Boulanger, il a enregistré Les Motets de Charpentier, Arias and Opera Extracts de Lully, et Carmina Catulli de Michael Linton. 

En 2014 / 2015, il interprète Papageno (La Flûte enchantée) et Harlekin à l’Opéra de Paris, Claudio (Béatrice et Bénédict) au festival Saito Kinen au Japon et se produit avec l’orchestre philharmonique de Berlin dans La Damnation de Faust à Baden-Baden. Il vient d’interpréter Eurymaque dans Pénélope de Fauré à l’opéra national du Rhin.


Cette année Edwin Crossley-Mercer chantera notamment Le Comte (Les Noces de Figaro) au Teatro Petruzzelli de Bari, Lescaut (Manon de Massenet) à Dallas et la création de Penthesilea de Hauke Berheide au festival Mauerschau du Bayerische Staatsoper de Munich (juillet 2016).


Henri Demarquette violoncelle

Henri Demarquette, né en 1970, entre à treize ans au Conservatoire national supérieur de musique de Paris où il étudie avec Philippe Muller et Maurice Gendron. Titulaire d’un 1er prix à l’unanimité, il travaille également avec Pierre Fournier et Paul Tortelier, puis, avec Janos Starker à Bloomington aux Etats-Unis. Familier de la scène dès l’âge de quatorze ans, il débute à dix-sept ans par un récital au théâtre du Châtelet et une émission télévisée enregistrée par France 3 avec la pianiste Hélène Grimaud. Il est aussitôt remarqué par Lord Yehudi Menuhin qui l’invite à jouer sous sa direction le concerto de Dvořák à Prague et à Paris.

Depuis, sa carrière prend un essor international qui le conduit dans de nombreuses capitales accompagné des plus grands orchestres français ou étrangers comme récemment le Royal Philharmonic Orchestra, l'orchestre national de France, le London Philharmonic, l’orchestre de chambre de Paris, le Tokyo Symphony, l'orchestre national de Bordeaux-Aquitaine, l’orchestre philharmonique de l’Oural, le Sinfonia Varsovia, la NDR de Hannovre, et en compagnie de ses partenaires pianistes privilégiés Boris Berezovsky, Michel Dalberto, Jean-Bernard Pommier ou Frank Braley.

Henri Demarquette aborde régulièrement la musique contemporaine et se plaît à défendre des oeuvres rares. Il travaille en étroite collaboration avec les grands compositeurs actuels et suscite la composition d'œuvres de Olivier Greif, Pascal Zavaro, Eric Tanguy, Florentine Mulsant ou Alexandre Gasparov. Son interprétation du concerto Tout un monde lointain de Henri Dutilleux à donné lieu à un film documentaire diffusé sur la chaine Mezzo.

Sa discographie en soliste ou en musique de chambre est très abondante : Jean Cras, Camille Saint-Saëns, Olivier Greif, Frédéric Chopin, Francis Poulenc, Joseph Haydn, Johann Sebastian Bach avec pour partenaires Brigitte Engerer, Michel Dalberto, Boris Berezovsky, Jean-Claude Casadesus, Joseph Swensen, l’orchestre de chambre de Toulouse et l’orchestre national de France.

Henri Demarquette a reçu de l'académie des Beaux Arts le prix de la fondation Simone et Cino del Duca. Il joue "le Vaslin", violoncelle crée par Stradivarius en 1725, confié par LVMH/Moët Hennessy Louis Vuitton.



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