Alexandrie



Yüklə 140,05 Kb.
səhifə4/4
tarix23.11.2017
ölçüsü140,05 Kb.
#11820
1   2   3   4

Athanase d’Alexandrie. Né à Alexandrie en 295, Athanase est désigné secrétaire de l’évêque Alexandre au concile de Nicée (325). Apôtre de la divinité de Jésus il est célèbre pour sa définition de la consubstantialité du fils à son père. Sa lutte majeure il la fera contre Arius, prêtre d’Alexandrie,(256-336) qui , touchant l’unicité de Dieu, refusa d’accorder l’éternelle immutabilité au fils : il prétend que le fils a été créé par le Père et lui est inférieur. Arius utilisera des textes johanniques pour son exégèse : « le Père qui m’a envoyé est plus grand que moi ; le fils ne peut rien faire par lui-même… ; le Seigneur m’a créé pour être le commencement de ses voies… ». Athanase, défenseur de l’orthodoxie utilisera également des textes de Jean : « mon père et moi ne sommes qu’un… ; celui qui m’a vu a vu mon père… ; le père est en moi… » Ces deux prêtres chrétiens vont diviser et déchirer les chrétiens alexandrins. Athanase met en garde (Lettres Festales) les fidèles contre une célébration de la Pâque en compagnie d’hérétiques, de schismatiques et de juifs. Sa lutte anti-arienne, anti-juive, et anti-païens ( Contre les Païens. C.E.R.F.) sera constante et féroce. En 335, Constantin ,redoutant que son intransigeance doctrinale n’entame l’équilibre fragile de la paix de l’empereur chrétien, l’exila à Trèves. Malgré les réfutations ariennes l’hérésie a proliféré : le pouvoir politique la soutient. Le dernier Empereur arien sera Valens : Athanase est banni, et tortures, exils, … vont être le lot de l’Alexandrie chrétienne.

On peut penser qu’avec le christianisme devenu religion d’état, dogmatique et agressif, le syncrétisme alexandrin est mort. Avec Athanase puis Cyrille d’Alexandrie l’ouverture d’esprit, l’éclectisme et la tolérance ont disparu. Les préoccupations de Clément et d’Origène sont obsolètes. Les seuls objectifs pour Athanase et Cyrille sont l’élimination des hérésies : Arianisme pour Athanase et Nestorianisme pour Cyrille. Le temps du Syncrétisme s’achève ; pouvoir politique et religieux coïncident et l’orthodoxie chrétienne règne : en 377 le pape Damase légitimera Pierre, successeur d’Athanase et l’évêque Arien Lucius sera expulsé. Les temples païens seront détruits, leurs dieux brocardés, les hérésies seront farouchement combattues et l’incrédulité arienne sera assimilée à celle des juifs, qu’il faut combattre car ils dénient la divinité du Verbe incarné. L’église orthodoxe alexandrine dogmatique devient une église de pouvoir temporel, comme le sera l’église au temps des Cathares et des Templiers, au temps de l’Inquisition ou au temps du Nazisme.
VIII. PROLONGEMENTS ET CONCLUSION.

En sept siècles Alexandrie a vu naître une série de doctrines, d’idées, de dogmes et donc d’hérésies au sein de ses populations diverses : grecques, juives, égyptiennes, romaines puis chrétiennes avec les apports orientaux iraniens, syriens, indiens…La diffusion et la pérennité de ces idées, dans l’espace et dans le temps ont eu des fortunes diverses mais certains prolongements sont encore vivaces de nos jours.

On ne peut passer sous silence le rôle fondamental du néoplatonisme sur la constitution et le développement de l’idéologie soufie (Thierry Zarcone). Les théologiens juifs et chrétiens, parmi lesquels Philon et Clément d’Alexandrie ont su, bien avant l’Islam, tirer le parti qui se devait de la philosophie grecque. L’Islam a agi de même à son égard avec l’école théologique des Mutazilites, et un mystique iranien comme Suhrawardi a rapproché philosophie et soufisme. La pensée de Plotin (Ennéades) fut prédominante, ainsi que celle de ses héritiers Porphyre et Jamblique, sur les philosophes musulmans, en particulier Al-Fârâbi et Ibn Sîna (Avicenne). Pierre Hadot précise les quatre principes fondamentaux qui structurent le néoplatonisme et qui ont traversé l’histoire de la philosophie islamique (Iran, Inde (chiites ismaéliens)). Le premier principe de l’unité systématisante enseigne que toute multiplicité suppose une unité qui lui donne sa structure et que l’univers entier constitue un système admettant un principe unique par rapport auquel il s’ordonne et s’organise. Le deuxième est le principe de transcendance, toute unité transcendant la multiplicité dans un univers qui n’est plus qu’un système hiérarchisé. Le troisième, principe d’immanence, pose que toute multiplicité est contenue en quelque manière dans l’unité qui la transcende. Le quatrième, principe de conversion, implique le retour de chaque réalité à l’Unité dont elle émane.

La théorie de l’Unicité de l’Être est un des fondements de l’idéologie Soufie.

Le fidèle d’Amour (qualifié ainsi par Henri Corbin) Ibn’Arabi, Al-Sheikh al Akbar, (le plus grand de tous les maîtres) a influencé Dante Aligheri, Saint Jean de la Croix, Giordano Bruno mais a reçu l’héritage d’éléments anciens rapportés d’Asie, d’Egypte, d’éléments présocratiques, orphico-pythagoriciens et platoniciens (R. de Zayas) pour se donner un seul but : l’Amour et le retour à l’Un. On pense « à un courant néoplatonicien qui a profondément imprégné la pensée théologique et métaphysique de la religion musulmane, dès la conquête, par les musulmans d’Alexandrie…ce sont des faits culturels méditerranéens » (R. de Zayas).

A propos de la philosophie en Islam, Ibn’Arabi a dit que le savoir des philosophes est d’un autre ordre que celui de la religion positive ; tandis que celui-ci est fondé sur la loi de Mohammad, celui-là se fonde sur la loi d’Idris. Or l’on sait (Henri Corbin : Avicenne et le récit visionnaire p. 24) que sous la figure d’Idris transparaissent, dans les traditions islamiques, celle d’Hénoch, celle de Seth et celle d’Hermès. L’indication d’Ibn’Arabi réfère donc les philosophes à la tradition hermétiste comme à leur origine. Hermès est le père des Sages. Instituer Idris comme le « prophète des philosophes » c’était les définir comme la communauté prolongeant en Islam les spéculations gnostiques développées autour des figures mythiques d’Hermès et d’Hénoch. Il y eut une gnose en Islam, comme il y eut une gnose dans le christianisme, et ces gnoses ont entres elles plus d’affinités que les formes religieuses officielles. Les idées hermétiques sont  intemporelles ; c’est Marsile Ficin (1463) qui traduira le Poïmandrès d’Hermès Trismégiste pour retrouver la « prisca philosophia », sagesse antérieure à Moïse, Platon, ravivant la gnose primordiale ; la vigueur de ces idées à la Renaissance sera étonnante et présente chez Paracelse, Gerhard Dorn, Jacob Boehme puis chez Swedenborg, Franz von Baader…(Etudes sur la gnose et la mystique chrétienne. J.F.Marquet. C.E.R.F.) Françoise Bonardel (Sorbonne .Paris I) termine son ouvrage « La Voie Hermétique » par cette phrase : « l’étonnante pérennité de la pensée hermétiste témoigne de la fécondité d’une gnose en effet intemporelle car inhérente à une herméneutique toujours à nouveau réactualisée. Ainsi Hermès, le vieux Sage incarne t-il l’éternelle jeunesse : Hermès l’Egyptien fait renaître le sens, tel le Phénix émergeant de ses cendres ».

Intéressante également est la quête Isiaque d’Athanase Kircher (1640) ; après la découverte du Corpus Hermeticum il articulera son œuvre majeure « Oedipus aegyptiacus » autour des figures mythiques de Zoroastre et d’Hermès. Pour le jésuite Kircher le résultat ultime de son exégèse est le dogme de la Trinité Osiris, Isis, Horus.

THEMES GNOSTIQUES.

Les thèmes gnostiques ont fait l’objet de persistances et de résurgences. En Orient, terroir originel des doctrines dualistes, plusieurs sectes gnostiques subsistèrent au-delà de l’expansion arabe. (Audiens ,Bardésanites en Mésopotamie ou Ismaéliens de Perse) Quant à la Gnose Mandéenne elle subsisterait encore. (cours inférieur du Tigre et de L’Euphrate) En Occident les milieux gnostiques ont succombé à la répression, en particulier le mouvement cathare, dont la filiation alexandrine est reconnue. (Rituel cathare. Christine Touzellier. C.E.R.F.)

LES CATHARES

La « traditio orationis » cathare, loin de remonter à quelque origine romaine, plonge au contraire ses racines dans le substratum chrétien des églises primitives d’Afrique. Le rituel cathare dit que le pain « supersubstantiel » c’est la loi du Christ donnée à l’ensemble du peuple : nourriture spirituelle, pain vivant… C’est l’alexandrin Origène qui le premier s’est prononcé en faveur de cette idée. La tradition romane remonte directement à l’orient manichéen et gnostique et les gloses cathares proviennent d’un milieu hétérodoxe où prévalent les idées néoplatoniciennes et mystiques. Le rituel cathare suit les règles de la plus ancienne liturgie chrétienne ; ses gloses sur le « Pater » rappellent la tradition spirituelle des premières églises africaines et alexandrine et la présomption des cathares à tenir leur baptême (Consolamentum) des origines du christianisme est justifiée par des documents primitifs.

Les cathares, loin d’être les représentants tardifs des doctrines de Mani, ou les simples frères des hérétiques orientaux et slaves ont été des chrétiens désireux d’être parfaits, cherchant, comme les gnostiques alexandrins, à résoudre le problème obsédant du mal en opposant un principe créateur mauvais à un Dieu unique, bon et transcendant. Les prières cathares s’achèvent par l’Evangile de Jean, les cérémonies sont simples et sur une table l’Evangile de Jean est ouvert au Prologue ; les Bons Hommes s’appuient sur les écrits de Jean qu’ils portent dans un rouleau de cuir porté sur la poitrine…(Rituel Cathare. Sources Chrétiennes).

Les doctrines gnostiques alexandrines, présentes chez les cathares, trouvent des développements à l’époque moderne parce qu’elles sont liées à l’interrogation ultime et à la présence du mal. Elles resurgissent lors des périodes sombres de l’humanité. Les questions gnostiques : « Qui étions-nous ? Que sommes-nous devenus ? Vers où nous hâtons-nous ? Qu’est-ce que la génération et la régénération ? » sont permanentes, récurrentes ; le rêve d’une connaissance totale et rédemptrice de la destinée humaine continue de hanter les contemporains. Hans Jonas, auteur de l’ouvrage « Le concept de Dieu après Auschwitz » s’interroge sur le Dieu qui a pu laisser faire cela : c'est-à-dire la Shoah. Sa thèse de doctorat « La Religion Gnostique » évoque ce créateur mauvais, Dieu de l’Ancien Testament, différent du vrai Dieu bon et transcendant. Toutefois, parce que Juif pratiquant, il ne peut adhérer à cette thèse : pour lui, Dieu est en « devenir » et « il appartient aux hommes d’aider Dieu à les aider ». Par ailleurs il nous montre que les gnostiques sont des nihilistes antiques, obscurs cousins du passé des nihilistes modernes et des existentialistes. Mais le nihilisme intramondain de la Gnose se détache sur un arrière fond qui est totalement absent des nihilistes modernes. La perte de l’éternité explique la perte d’un présent authentique, la perte de l’éternité étant la disparition du monde des Idées : Dieu est mort. En ce sens le nihilisme moderne est radical et plus désespéré que ne le fut le nihilisme gnostique. Il n’est relié à rien. Le nihilisme gnostique était relié à une transcendance négative avec la Gnose pour espérance.

Enfin, on peut de demander si des idées « alexandrines » ont trouvé vie ou refuge dans la Franc-Maçonnerie. On entend parfois dire que la Franc-Maçonnerie est héritière de la philosophie grecque et des valeurs judéo-chrétiennes : les rituels confirment cette proposition. Déjà dans les manuscrits anciens de la Maçonnerie opérative des références existent. La lecture du manuscrit Cooke (environ 1400) fait apparaître des traces mystagogiques et nous parle des deux colonnes établies par Jabel avant le déluge et ensuite retrouvées par Pictagoras et Hermès. (Cahiers de l’Herne. Documents fondateurs de la Franc-Maçonnerie). Si la première est celle du savoir, de la raison la seconde nous renvoie aux valeurs hermétiques, à l’intuition, à l’imagination, à l’amour et à la Connaissance. Ces deux colonnes ont beaucoup de points communs avec les stèles de Seth. (Ecrits Gnostiques. Pléiade page 1222). On peut dire que les préoccupations et interrogations des « cherchants » alexandrins interfèrent avec celles des Francs-Maçons : recherche de la vertu, du sens de la vie et de la finitude, présence de l’Esprit en l’homme, transmission de la Tradition, refus du dogmatisme dans la recherche de la vérité…  « le point de vue religieux est basé sur une révélation et transmet les vérités sous le voile de son langage dogmatique basé sur la participation passive de la croyance, alors que la Gnose ou la sagesse des Mystères procède de l’Intuition intellectuelle qui est une participation active à la Connaissance divine ». Par ailleurs F :.M :. et Alexandrins du II siècle sont adeptes de la tolérance : Ammonius Sakkas disait que « christianisme et paganisme, quand ils sont correctement compris ne diffèrent en aucun point essentiel mais ils ont une origine commune… » et Clément d’Alexandrie écrivait « Ô, mystères vraiment saints, ô, lumière sans mélange…je deviens saint par l’Initiation… » (Protreptique XII, 120)

Ainsi la Véritable Maçonnerie est « légitime dépositaire de la Tradition Initiatique Occidentale et elle se doit de sauvegarder la transmission des Mystères », elle accepte et utilise cette partie des mystères chrétiens (Hermétisme et Gnose) dans tout ce qu’ils ont de commun avec les Mystères de l’Antiquité, base de la Maçonnerie. (Vale Amesti. Le retour d’Hénoch)

La Franc-Maçonnerie est ainsi dépositaire d’une Gnose qui lui est propre. Elle est « autonome et autosuffisante dans le domaine qui est le sien, celui des Mystères Mineurs. Cette Gnose maçonnique, le maçon doit aller la découvrir au travers de la méditation sur ses légendes et ses symboles ; la Gnose est un moyen, le chemin ou la Voie pour atteindre la récupération constante de notre nature divine inhérente ». (Joël Podzarnik. Dans G comme Gnose. Henri Gallois.)

Travaillant à la Gloire du Grand Architecte De L’Univers avec l’Evangile de Jean, Volume de la Loi Sacrée, ouvert au Prologue, ne mettant pas de limites à la recherche de la Vérité, estimant être des provisoires détenteurs d’un Principe élevé, les Francs-Maçons de Rite Ecossais Ancien et Accepté sont, quelque part, et malgré la dilution due au temps et à l’histoire, les descendants de ces précurseurs alexandrins qui ont ouvert des voies originales, syncrétiques et pérennes.

CONCLUSION.

Pendant plusieurs siècles, malgré des moments de lutte et de turpitude, les Alexandrins ont cherché la Vérité, conscients de n’être possesseurs que d’une facette de celle-ci, et, trouvant, chez «  l’Autre » un éclairage différent. (Le Quatuor d’Alexandrie de Lawrence Durrell tend, sans doute, à signifier cela). Cette harmonie ne sera détruite que par le Christianisme triomphant et le dogme qu’il imposera, dès qu’il sera Religion d’Etat, contre les hérétiques et les païens. Ce sont les Musulmans qui remettront les philosophes Grecs à l’honneur.

Alexandrie est donc « ville capitale de la mémoire », ville palimpseste, lieu d’étayage du désir de retrouver ce qui est révolu, lieu d’évocation d’un temps où la Méditerranée était cet espace où se mêlaient et se confrontaient les hommes, les langues et les écrits, ville du rêve d’Alexandre de réconciliation de l’Orient et de l’Occident, ville…Phare.

IX. BIBLIOGRAPHIE.

Bréviaire Méditerranéen. Predrag MATVEJEVITCH. Payot.

Les Grands noms de l’Histoire : Alexandre le Grand Ed. du Rocher.

Mégapoles Méditerranéennes. Maisonneuve et Larose

Alexandrie la Grande. André BERNARD. Arthaud. Signe des Temps.

Alexandrie III siècle avant J.C. Autrement.

La Conquête Romaine. André Piganiol. P.U.F.

Hermès l’Egyptien. Garth FOWDEN. Les Belles Lettres.

Magie et Magiciens dans le monde gréco-romain. Michaël Martin. Ed. Errance.

La Révélation d’Hermès-Trismégiste.A-J Festugière. Tome III , Tome IV Les Belles Lettres

En Quête de la Gnose. Henri-Charles Puech. Gallimard.

Ecrits Gnostiques. Pléiade. Gallimard.

Les Livres Secrets des Gnostiques d’Egypte. Jean Doresse. Plon.

La Religion Gnostique. Hans Jonas. Flammarion.

Le concept de Dieu après Auschwitz. Hans Jonas. Rivages poche.

Les Gnostiques. Jacques Lacarrière. Idées Gallimard.

Les Gnostiques. Madeleine Scopello. CERF

G comme Gnose . Henri Gallois. Vega.

Hermès Trismégiste. Les Trois Révélations.Les Belles Lettres.

La Voie Hermétique. Françoise Bonardel. Dervy.

Le Dualisme chez Platon, les Gnostiques et les Manichéens. Simone Pétrement. Imago Mundi.

Le Dieu Séparé. Simone Pétrement. Patrimoines. C.E.R.F.

Eros et Agapè. Anders Nygren. C.E.R.F.

Les Mystères d’Egypte. Jamblique. Les Belles Lettres.

Philon d’Alexandrie. Maître spirituel. Mariette Canévet. C.E.R.F.

Le Néoplatonisme. Jean Brun. Que sais-je. PUF

Stromates :I,II,IV,VI. Protreptique. Clément d’Alexandrie. C.E.R.F.

Extraits de Théodote. Clément d’Alexandrie. C.E.R.F.

Contre les Païens. Athanase d’Alexandrie. C.E.R.F.

Initiation aux Pères de l’Eglise. Bertrand de Margerie. C.E.R.F.

Histoire de l’Eglise.Tome I. l’Antiquité Chrétienne. A.M.Jacquin. Desclée de Brouwer

Message Evangélique et Culture Hellénistique. Jean Daniélou. Desclée. C.E.R.F.

Le Génie du Christianisme. Origène. Jean Daniélou. La Table Ronde.

Mystiques, Philosophes, et Francs-Maçons en Islam. Thierry Zarcone. Jean Maisonneuve.

Plotin, Porphyre. Etudes Néoplatoniciennes. Pierre Hadot. Les Belles Lettres.

Plotin ou la simplicité du regard. Pierre Hadot. Folio Essais

Plotin. Ennéades. II. Les Belles Lettres.

L’Ethique du Sage chez Plotin. Alexandrine Schniewind. J.Vrin.

Mariage et Famille chez Clément d’Alexandrie. J.P.Broudéhoux. Théologie Historique.

Alexandrina. Mélanges offerts à Claude Mondésert. C.E.R.F.

Rituel Cathare. Sources chrétiennes. C.E.R.F.

Le vrai Visage du Catharisme. Anne Breton. La Louve.

Histoire de la Gnose. Cathares et Catharisme. Lacour.

Contre Celse. Tomes I,III. Origène. Sources chrétiennes. C.E.R.F.

Commentaire sur S.JEAN Origène . Sources chrétiennes. C.E.R.F.

Contre Marcion. Tertullien. Sources chrétiennes. C.E.R.F.

Moines et Sibylles dans l’Antiquité Judéo-Chrétienne. Ferdinand Delaunay. 1874

Actes du Colloque International d’Histoire des Religions. Ascension et Hypostases initiatiques de l’âme. Ed. Ara Alexandre Shishmanian.

L’herméneutique du sujet. Michel Foucault. Gallimard.
Yüklə 140,05 Kb.

Dostları ilə paylaş:
1   2   3   4




Verilənlər bazası müəlliflik hüququ ilə müdafiə olunur ©genderi.org 2024
rəhbərliyinə müraciət

    Ana səhifə