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Face 2
L’accueil à Lahr ; le problème de l’alcoolisme – Le métier de pilote de reconnaissance – Les
concours internationaux : anecdote – L’entraînement à la reconnaissance : progression pour
les pilotes – Les escadrilles parrainées en Algérie ; le T-6 – Le Putsch d’avril 1961 et
l’atmosphère à Tlemcen : déroulement des évènements, une anecdote – Attitude du général
Clausse – Prise de position unanime de l’escadrille – Son avion abattu : récit de l’accident –
Opérations de surveillance du barrage et opérations d’appui aérien – Récit d’une mission ; une
autre mission ratée effectuée par les Skyrider – Expérience d’un jeune pilote en temps de
guerre – Les pertes en Algérie – Retour en escadre ; l’appartenance de l’escadre au NATO –
Les évaluations ; les alertes NATO – Le rythme de travail ; le F-84, les restrictions de vol –
Transformation sur Mirage III : le système d’armes.
Bande 2 – Face 1 (Entretien du 26 septembre 1994)
Anachronisme du Mirage III – La vie en escadron à Strasbourg ; les concours Royal Flush –
Missions opérationnelles sur RT-33 et F-84 pendant la guerre d’Algérie – Observation et
photographie des camps le long de la frontière tunisienne – Ses victoires au concours Royal
Flush – Premier échec en 1968 – Affaire d’un trafic de whisky au I/32 : morale de cette
affaire – Deux accidents au groupe I/33 en 1964 – Les capitaines commandants des escadrons
à cette époque – Problème de sécurité des vols – Anecdote sur un meeting en Allemagne –
Anecdote : un coup d’éclat à Boufarik – Frustation des pilotes actuels – Grande rigueur du
commandement actuel : les raisons – Intégration de la dimension mythique dans la complexité
des missions – Les raids interalliés – Prise de conscience de l’importance des états-majors –
Son affectation à Paris – Le général Delachenal au CPSA – Nécessité d’harmoniser les
sanctions : l’instruction 8000.
Face 2
La commission d’examen des fautes professionnelles – L’accident de l’Atlantic à
Farnborough : la réglementation pour les meetings, l’instruction 1096 – Visites aux escadres
pour les entretiens de sécurité – Série d’accidents, fin septembre 1968 ; l’accident de
Solenzara – Enquête sur un accident – Le commandement du CPSA – Conditions de vie en
région parisienne : difficultés matérielles d’un jeune officier – Conscience de l’importance de
Paris comme centre de décision – Primauté donnée aux escadres pour la prévention des
accidents – Règlement des problèmes techniques avec les bureaux d’études – La clémence des
TPFA (tribunaux militaires) – Nécessité de déléguer des experts auprès des tribunaux civils –
Retour à Strasbourg : le caractère peu varié de ses affectations – Nommé second de l’escadre
puis commandant – La tâche difficile d’annoncer le décès d’un pilote à sa femme – Entretien
avec monsieur Chevènement sur cette question – Le « tissu de solidarité » dans les armées –
écrasement d’un avion sur un village – Préparation accélérée du concours d’entrée à l’ESGA.
Bande 3 – Face 1 (Entretien du 3 octobre 1994)
Refus de commander une escadre FAS – Le concours de l’École de guerre : les oraux – Les
différentes épreuves ; jugement porté sur ce concours – Le CPO ; les conférences et
l’ambiance à l’École de guerre – Voyage en Argentine – Importance de la culture générale –
Le CSI (cours supérieur interarmées) : problème de méthode – Jugement porté sur cet
enseignement – Problème posé par sa nouvelle affectation : le CPE, bureau des finances –
Affecté aux études techniques et prospective : les différentes études – Enseignements à tirer
de ce poste – Le rôle du CPE : son évolution – La DGE (direction des études générales ) –
Rôle de la DAS (direction des affaires stratégiques) – Pas d’organisme fixant les grandes
orientations de la recherche – Utilité du poste au CPE : les contacts – Les X et les énarques –
Contacts avec les indutriels – Les postes extérieurs à l’armée de l’Air.
Face 2
Action de l’officier extérieur – Le BPE (bureau prospective) – Affecté au cabinet du général
Saint-Cricq : rédaction des rapports – Personnalité du général Saint-Cricq : anecdotes –
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Leçons à tirer de son passage au cabinet – La servilité des gens vis-à-vis du chef d’état-major
– Prend le commandement de la base d’Orange : intérêt de ce poste – Problèmes posés par la
FATAC et son emprise – Indépendance du commandant de la base et relations avec la région
– Problème des marchés régionaux – Le CAFDA (commandement aérien des forces de
défense aérienne) et les FAS – Considérations sur les relations humaines – Organisation d’un
« Montségur », exercice d’alerte nucléaire – Les convois nucléaires sur les bases – Les
accidents aériens sur les bases – Les accidents de la route des militaires ; anecdote –
L’infrastructure de la base.
Bande 4 – Face 1 (Entretien du 11 octobre 1994)
Durée de son commandement de base à Orange – Proposition d’affectation – Le système de
défense aérienne – Nommé sous-chef au CAFDA – Une évaluation sur la base de Nîmes – Le
colonel Chevrier et son action – Le CIDA – La responsabilité des hautes autorités de la
Défense aérienne – Un problème de sécurité aérienne : l’arrivée en France de Bani Sadr – Un
autre cas d’urgence – Transfert à la défense aérienne de la 2
e
escadre de chasse de la FATAC :
raisons de ce transfert – Les modalités de prises de décision – Le général Bernard Capillon,
chef d’état-major – Difficultés du commandement à deux en période transitoire – Le travail
du chef de cabinet – Intérêt des contacts à l’extérieur – L’« instantané » – Nécessité de la
loyauté et de la franchise pour un tel poste.
Face 2
Personnalité du général Capillon – Conversations avec le général ; le dogme des 450 avions –
Programme de constructions de hangarettes – L’influence du chef de cabinet – La gauche au
pouvoir et l’arrivée de Charles Hernu – Les « doctrinaires » du cabinet du ministre – Les
opérations au Tchad – Exigences de confort des hommes – Épisode de la mort du capitaine
Crossy – Voyages du chef d’état-major notamment en Inde – Importance et utilité de ces
voyages – Vertus du stage sur « La Jeanne d’Arc » pour les marins – Souvenir d’une soirée
avec des autorités pakistanaises – Évocations de plusieurs voyages – Leur préparation ;
participation des industriels – Comptes rendus et remerciements – La polyvalence des
industries françaises d’armement – La logique des États-Unis – Vers une indépendance
européenne – Nécessité de pôles d’excellence dans l’industrie.
Bande 5 – Face 1
Rôle crucial du 2000-5 ; nécessité du Rafale – La logique des marins – Manque de cohésion
dans l’AA – Les concurrents du général Capillon au moment de sa nomination – Une visite du
général Huguet à l’état-major – Le projet du chasseur européen – La revue du 14 juillet 1983
à Orange – Déception à propos de cette cérémonie – Le 50
e
anniversaire de l’armée de l’Air –
La stèle de Guynemer au boulevard Victor – 50
e
anniversaire de l’École de l’air en 1985 – Le
vol de démonstration de monsieur Fabius – L’échec de la vente de Mirage 2000 aux
Saoudiens – Le Mirage 2000, un rêve du roi Fadh d’Arabie – Déroulement de la visite de
monsieur Fabius – Exemple du vol de démonstration de monsieur Bourges – Le « syndrome »
de la FATAC – Comportement du général Forget – Fermetures des bases de Rocamadour,
Creil, Chambéry et Aulnat – Sa nomination au corps des officiers généraux.
Face 2
Affectation à la 4
e
région aérienne – Variété et intérêt des différentes bases – Relations avec
les autres armes – Différence de train de vie entre les différentes armées – Relations avec les
autorités civiles ; exemple de Gaston Deferre : ses obsèques – Le cinquantenaire de l’École de
l’air – Fermeture des bases de Chambéry et Aulnat – L’ambiance à la 4
e
région aérienne –
Ambiguités sur le rôle du commandant de région – La décentralisation des infrastructures –
Exemples de relations avec les élus locaux – Sa nomination aux fonctions de major général de
l’armée de l’Air – L’état-major du boulevard Victor – Entente nécessaire avec le chef d’état-
major – Le domaine de la gestion du personnel – Projet de suppression des commandants
d’escadres – Projet de réforme de l’entrée à l’École de l’air – Harmonisation des soldes à
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