Les catégories d'aliments



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faiblement alcoolisées sont le cidre (2 à 6°), la bière (4 à 8°), le vin (9 à 15°) et les vins 

“cuits“   (15   à   25°).   Les   alcools   “forts   ou   spiritueux“   (liqueurs,   eaux   de   vie,   cognac, 

boissons anisées) contiennent 35 à 60° d’alcool. Les apports en éléments nutritifs de la 

bière   ou   du   vin   (minéraux   et   vitamines   du   groupe   B)   sont   faibles.

L’alcool représente un apport énergétique de  7 kcal pour 1 g  soit 5,6 Kcal pour 1 ml 

d’alcool   pur.   Le   tableau   9   regroupe   quelques   exemples   de   boissons   alcoolisées 

couramment consommées.



Tableau 9 : Evaluations par équivalence de la consommation d’alcool : boissons 

apportant environ 10 g d’

 

   Nature et quantité



    correspondant à 1 dose

 

   Degré d’alcool



    (valeurs courantes)     

 

   Alcool  



    g/l 

   Glucides  



    g/l

 

   kcal pour 



une dose  

 

   Vin : 



    1 verre (100 ml)

              10-13 

    80-104    

       - 

              70 

   Bière de luxe : 

    1 demi (250 ml)

              5 

    40 

       35 



              120 

   Cidre : 

    sec : 

    2,5 verres (250 ml)

    doux : 

    5 verres (500 ml)

 

               5-6



 

               1,6-2,7 

 

     40-50



 

     13-24 

 

        2



 

        40-60 

 

               100



 

               200 

   Apéritif anisé : 

    1 dose (25 ml)

              <=45 

    <360 

       - 

              70 

   Whisky : 

    1 dose (25 ml)

              40-45 

    320-360 

       - 

              70 

   Rhum : 

    1 dose (25 ml)

              33-40 

    280-320    

       - 

              70 

   Eaux de vie blanches 

(mirabelle)

  

    1 dose (25 ml)



              40-60 

    320-480 

       - 

              70 

   Eaux de vie de vin (cognac) 

    1 dose (25 ml)

              40-60 

    320-480 

       - 

              70 

   Champagne : 

    1 coupe (100 ml) 

              10 

    80 


       - 

              70 



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VIII   POUR EN SAVOIR PLUS 

VIII.1  VIANDES - POISSONS - OEUFS 



Conservation et utilisation des viandes 

Les viandes sont le plus souvent conservées par le froid (réfrigération, surgélation) ou grâce 

à la chaleur (conserves de plats cuisinés par exemple). 

 

• La réfrigération permet une conservation de courte durée (15 à 20 jours pour les carcasses 



entre 0 °C et 2 °C). Elle est limitée à quelques jours pour la conservation domestique de la 

viande débitée en morceaux. Une viande hachée fraîche doit être consommée dans la 

journée. 

 

• La surgélation est effectuée de façon à obtenir très rapidement une température à cœur 



inférieure à – 18 °C. Les viandes surgelées doivent être maintenues à cette température ou à 

une température inférieure jusqu’au moment  de leur consommation. La conservation au 

froid n’empêche pas le rancissement des graisses ce qui limite la durée de conservation par 

ce procédé à quelques mois. 

 

• Les conserves de viandes ou les plats cuisinés en conserve subissent une stérilisation à 112 



°C-117 °C pendant un temps variable avec la nature du produit. Une conserve entamée doit 

être gardée au froid et utilisée dans les plus brefs délais. 

 



Conservation et utilisation des poissons 



Comme les viandes, les poissons sont conservés par le froid ou par la chaleur. Plus 

rarement, on consomme du poisson séché, salé, fumé ou mariné. 

 

• La réfrigération permet une conservation de 3 à 6 jours pour des poissons non éviscérés et 



de 10 à 12 jours pour des poissons éviscérés. 

 

• La surgélation du poisson est souvent réalisée à bord des bateaux de pêche. Le poisson 



surgelé, comme la viande, peut être conservé plusieurs mois à une température < – 18 °C. 

Un entreposage trop long provoque cependant une déshydratation, l’oxydation des 

matières grasses et une dénatura¬tion des protéines. Pour limiter ces phénomènes il est 

conseillé de conserver les poissons à des températures de – 25 °C à – 30 °C. La surgélation 

permet de détruire les parasites comme les anisakies, elle doit être conseillée lorsque les 

poissons sont destinés à être consommés crus. 

 

• Les conserves de poisson concernent principalement les sardines, les maquereaux et le 



thon. 

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• Les autres modes de conservation sont souvent associés entre eux et ces produits en 



dehors des poissons fumés sont relativement peu consommés en France. 

 



Conservation des œufs 

Après leur achat les œufs peuvent être conservés au froid pour une durée d’une semaine 

environ. La date de ponte est de plus en plus fréquemment apposée sur la coquille de l’œuf 

et une DLC (date limite de consommation) est mentionnée sur l’emballage.



VIII.2  PRODUITS LAITIERS



Formes classiques de commercialisation du lait 

• Le lait pasteurisé est soumis à un chauffage modéré en vue de détruire les microbes 

pathogènes éventuellement présents. La pasteurisation du lait s’effectue par un chauffage à 

une température de 72 °C à 85 °C pendant 15 à 20 secondes, suivi d’un refroidissement 

rapide. Ce lait conserve une flore microbienne inoffensive qui pourrait altérer ses qualités 

organoleptiques. C’est pourquoi il faut le conserver au froid (0 °C à 6 °C). Il doit être 

consommé dans un délai maximal de 7 jours, ou 2 jours dès que l’emballage est ouvert. 

 

 Le lait stérilisé subit un chauffage énergique destiné à détruire tous les micro-organismes 



présents. C’est le procédé UHT (Ultra Haute Température) qui est le plus uti¬lisé. Il 

consiste à appliquer un chauffage instantané à 140 °C-150 °C pendant 2 secondes. Le 

conditionnement est effectué dans les emballages stériles. Ce lait peut être conservé à 

température ambiante pendant plusieurs mois. 

 

• Le lait concentré subit une déshydratation partielle par évaporation de l’eau de 



constitution. Le lait subit d’abord une pasteurisation puis une évaporation sous vide partiel 

à basse température. Le lait concentré non sucré est ensuite conditionné puis stérilisé à 115 

°C-120 °C pendant 20 mn. Le lait concentré sucré est additionné de sucre puis conditionné 

en boîte ou en tube. Ces laits peuvent être conservés à température ambiante pendant plus 

d’1 an dans leur emballage fermé. 

 

• Le lait en poudre contient moins de 4 % d’eau ce qui empêche tout développement 



microbien. Le lait, préalablement concentré, est desséché par pulvérisation dans un courant 

d’air chauffé à 150 °C-160 °C. L’évaporation est immédiate. La poudre obtenue est 

conditionnée sous azote, lorsqu’il s’agit de lait entier ou demi-écrémé, pour éviter 

l’oxydation des matières grasses. La poudre de lait peut être conservée au sec et à 

température modérée pendant plusieurs mois. Cependant, ce produit étant très 

hygroscopique, un emballage ouvert doit être consommé rapidement. La poudre n’étant 

pas stérile, le lait ne doit pas être reconstitué à l’avance. 

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Ces laits sont commercialisés sous la forme de lait entier, demi-écrémé ou écrémé. La 



couleur dominante de l’emballage est respectivement rouge, bleue ou verte en fonction de 

la teneur en matières grasses. Les laits pasteurisés n’existent pas sous la forme écrémée. Les 

technologies mises en œuvre permettent de conserver au lait l’essentiel de ses qualités 

nutritionnelles de départ. Cependant, les laits stérilisés subissent une perte vitaminique 

modérée (environ 10 %) et la valeur biologique de leurs protéines peut être affectée en 

raison du blocage de certains acides aminés (réaction de Maillard). 



Conditions de conservation du lait 

Contrairement au lait cru, il n’est pas nécessaire de faire bouillir les laits conservés par l’une 

ou l’autre des méthodes décrites ci-dessus avant de les consommer. 

 



Laits à teneur garantie en vitamines – Laits enrichis 

Des laits à teneur garantie en vitamines ou enrichis en divers éléments nutritifs sont 

proposés aux consommateurs. En voici quelques exemples : 

• lait enrichi en fer, zinc, vitamine D et acides gras essentiels (« Croissance » de Candia), 

• lait enrichi en fer, zinc, magnésium, acide folique et vitamine D (« Future Maman » de 

Candia, « Pour Maman » de Gervais),• lait enrichi en fer, zinc et magnésium à teneur 

garantie en vitamines du groupe B et en vitamines A, C et E (« Grand Vivre » de Candia), 

• lait écrémé à teneur garantie en vitamines A, E, C et vitamines du groupe B (« Silhouette » 

de Candia), 

• lait enrichi en Calcium et en vitamine D (lait Calcium Plus de Candia), 

• lait enrichi en acides gras essentiels de type Oméga 3 (lait aux Oméga 3 de Candia) : il 

s’agit d’un lait 1/2 écrémé auquel on a ajouté de l’huile de poisson (0,29 %) source d’acides 

gras de type Oméga 3 (EPA, DHA). L’apport en Oméga 3 de ce type de lait est de 60 mg/ 

100 ml (les apports nutritionnels conseillés pour la popu¬lation française sont de 500 mg/j). 

• lait enrichi en Protéines et/ou en Calcium et à teneur garantie en vitamines A, E, et en 

vitamines du groupe B (« Viva Protéines » de Candia et « Nactalia » de Gervais). 

• lait à teneur garantie en vitamines A, B1, B2, B5, B6 et PP (entier ou 1/2 écrémé) (« Viva 

Vitamines » de Candia). 

 

Certains de ces laits sont destinés à des consommateurs spécifiques : enfants de 1 à 3 ans 



(Lait « Croissance »), femmes enceintes ou allaitantes (Lait « Future Maman » ou « Pour 

Maman »). Le tableau 10 compare les teneurs respectives des laits de consommation 

courante et des laits enrichis en quelques minéraux et en acide folique. La consommation de 

ce type de lait reste encore modeste. Le choix de ces exemples ne constitue en aucun cas un 

jugement de valeur sur l’intérêt de ces produits. De nom¬breux autres fabricants proposent 

des produits de ce type.



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Laits de consommation courante et laits enrichis

 

VIII.3  MATIÈRES GRASSES 



Technologie des corps gras 

Le raffinage est pratiqué dans le but d’éliminer les constituants gênants des matières 

grasses brutes : acides gras libres, phospholipides, mucilages, cires, produits d’oxydation, 

odeurs et saveurs trop prononcées, pigments, métaux lourds, pesticides et mycotoxines. Le 

raffinage ne modifie pas notablement la composition globale des corps gras. 

 

Après le raffinage, trois types de transformation sont appliquées aux matières grasses dans 



le but de modifier leurs caractéristiques physico-chimiques. Ces transforma¬tions 

permettent de créer des produits adaptés aux besoins culinaires et industriels ainsi que des 

produits « nouveaux » à teneur en lipides réduite. 

 

 Hydrogénation 



 

L’hydrogénation, selon qu’elle est sélective ou non sélective consiste à saturer en partie ou 

en totalité les doubles liaisons des acides gras insaturés par de l’hydrogène. 

L’hydrogénation conduit à la formation d’isomères trans (acide élaïdique : C18:1 trans) dont le 

métabolisme est proche de celui des acides gras saturés. Ces transformations permettent de 

modifier le point de fusion d’un corps gras et d’améliorer sa stabilité à la chaleur. Cette 

technique permet de fabriquer des margarines spéciales pour la pâtisserie, des margarines à 

partir d’huiles de tournesol ou de maïs et des pâtes à tartiner à teneur réduite en lipides. 



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 Inter-estérification 



C’est le réarrangement moléculaire des acides gras sur le glycérol qui permet d’améliorer 

les propriétés physiques et plastiques des corps gras. L’inter-estérification est en général 

associée à l’hydrogénation. 

 

 Fractionnement 



Le fractionnement consiste à séparer un corps gras en fractions de caractéristiques 

physiques différentes. Un corps gras (par exemple l’huile de palme) peut ainsi être séparé 

en une huile et une fraction solide dont le point de fusion est plus élevé que le corps gras de 

départ. Chacune des fractions obtenues est utilisée pour des usages différents. 

 



Utilisation des matières grasses 



Il est souhaitable d’utiliser plusieurs types de matières grasses. Leurs apports nutritionnels 

(acides gras, vitamines) diffèrent et ils se prêtent plus ou moins bien aux divers usages 

culinaires. 

 

Le beurre

 sera de préférence consommé cru ou fondu. On estime généralement qu’il 

commence à se décomposer à 120 °C. Les beurres et les margarines allégées, à 40 % ou 27 % 

de lipides, supportent mal la cuisson du fait de leur richesse en eau. 

 

Les margarines au tournesol ou au maïs

 peuvent être utilisées en remplacement du beurre. 

Pour la réalisation de cuissons à feu vif et de fritures, il est préférable d’utiliser les huiles 

d’arachide ou d’olive ou encore l’huile de palme ou de coprah (végétaline). Du fait de leur 

teneur élevée en acides gras saturés, ces deux dernières huiles supportent des températures 

de 200 °C. Une huile de friture ne doit jamais fumer. Il est souhaitable de la filtrer après 

chaque usage et de la remplacer après 7 ou 8 cuissons. 

 

Les huiles de soja, colza et noix

 sont préférentiellement utilisées pour les assaisonnements 

à froid. 

Les autres huiles

 (tournesol, maïs, pépin de raisin) peuvent indifféremment servir aux 

assaisonnements et aux cuissons.

VIII.4  LÉGUMES ET FRUITS



Effet de la cuisson sur les légumes 

La cuisson modifie la consistance, la couleur et le goût des légumes. Elle provoque une 

dissociation des fibres cellulosiques, qui améliore la digestibilité du légume. L’amidon se 

gélatinise et se transforme partiellement en dextrines. Les composés sulfurés des légumes à 

goût fort sont hydrolysés en composés volatils (choux). 



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En dehors de ces effets positifs, la cuisson est responsable si elle n’est pas bien menée d’une 



perte plus ou moins importante de vitamines et de minéraux (par dissolution et par 

inactivation due à la chaleur). Si on veut conserver aux légumes un maximum de leurs 

propriétés nutritionnelles, il est nécessaire de les cuire dans un minimum d’eau ou si 

possible à la vapeur, en gros morceaux ou sans les peler de façon à limiter les pertes par 

dissolution, en l’immergeant dans l’eau bouillante afin de détruire l’enzyme responsable de 

la destruction de la vitamine C (oxydase). 

 

Conservation des légumes et des fruits 



 

 Conserves appertisées 

Les légumes subissent un blanchiment qui conduit à la destruction des enzymes en 

particulier des oxydases, puis ils sont mis en boîte et généralement préchauffés afin 

d’évacuer un maximum d’oxygène. Les boîtes, serties, sont stérilisées pendant un temps et à 

une température variables avec la nature et l’acidité du produit. La valeur alimentaire des 

légumes ainsi conservés est comparable à celle d’un légume cuit à la maison. L’acidité de la 

plupart des fruits permet la stérilisation à des températures inférieures ou égales à 100 °C et 

de durée plus courte. Les conserves de légumes et de fruits gardent leurs propriétés 

organoleptiques et nutritives pendant plusieurs années (1 à 4 ans selon les cas). 

 

 Surgélation 



Les légumes sont préalablement blanchis afin d’inactiver les enzymes. Les fruits sont sucrés 

et additionnés d’antioxydants (acide citrique ou acide ascorbique) pour éviter le 

brunissement et l’oxydation de la vitamine C. Ces légumes et ces fruits peuvent être 

conservés 1 à 2 ans à des températures inférieures à – 18 °C. Leur valeur nutritionnelle est 

très proche de celle des produits frais. 

 

 Ionisation ou irradiation 



Cette méthode est utilisée en particulier pour inhiber la germination des pommes de terre, 

des oignons et des pro¬duits analogues, détruire les insectes des productions céréalières et 

retarder l’altération d’un aliment (fraises, champignons). 

 

 Produits de 4e gamme



2

La mise à disposition du consommateur de légumes et fruits frais et prêts à l’emploi 

(épluchés, découpés) s’est large¬ment développée au cours de ces dernières années (en 

particulier salades et divers légumes râpés et émincés). Ces produits sont conditionnés dans 

un emballage étanche, sous atmosphère modifiée et conservés à une température inférieure 

à 8 °C. Leur durée de conservation est limitée à une semaine. Les procédés mis en œuvre 

permettent de 

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prolonger la durée de vie du légume en lui conservant ses propriétés organoleptiques, 

hygiéniques et nutritionnelles.

2

Produits de 4e gamme : 

La 1re gamme représente les fruits et légumes frais vendus en état, la 

2e gammeles conserves, la 3e gamme les surgelés. Il existe une 5e gamme qui correspond 

aux denrées cuites conditionnées sous vide.



IX   ANNEXES

BIBLIOGRAPHIE

: Répertoire général des aliments, INRA, CIQUAL, 1. Table de composition des 



corps gras (1987), 2. Table de composition des produits laitiers (1987), 3. Table de 

Composition Générale, 2e éd., 1995. Éditions Lavoisier- Tec & Doc, Paris.

Basdevant A., M. Laville M., Lerebours E. : Traité de nutrition clinique de l’adulte. 



Flammarion Médecine- Sciences, Paris 2001.

Dupin H.J.L., Malewiak M.J., Leynaud-Rouaud C., Berthier A.M. : Alimentation et 



Nutrition Humaines, Éditions ESF, 1992.

Grundy S.M., Deke M.A. : Dietary influences on serum lipids and lipoproteins, J. 



Lipid, Res., 1990, 31, 1149.



Martin  A. : Coordonnateur,  Apports  nutritionnels  conseillés  pour  la population 



française, 3e éd., Tec & Doc, Lavoisier, Paris, 2001.

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Document Outline

  • I    Viandes - poissons - OEufs 
    • I.1   Les viandes
    • I.2   Les charcuteries
    • I.3   Les poissons
    • I.4   Les oeufs
  • II    Produits laitiers
  • III    Matières grasses 
    • III.1   Les matières grasses d’origine animale
    • III.2   Les huiles et margarines
  • IV    Légumes et fruits
    • IV.1   Légumes
    • IV.2   Fruits
  • V    Céréales et dérivés - légumineuses 
    • V.1   Céréales et dérivés 
    • V.2   Légumineuses
  • VI    Sucres et produits sucrés 
  • VII    Boissons
  • VIII    Pour en savoir plus 
    • VIII.1   Viandes - Poissons - OEufs 
    • VIII.2   Produits laitiers
    • VIII.3   Matières grasses 
    • VIII.4   Légumes et fruits
  • IX    Annexes

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