Relations des voyages faits par les Arabes et les Persans dans l'Inde et à la Chine dans leIXe siècle de l'ère chrétienne



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1 Traité de Hamza, édition de M. Gottwaldt, page 58.

2 Les expressions de Thabari ne sont pas très claires. (Voyez l'édition publiée par M. Kosegarten, tome II, pages 8 et 10.)

3 Liv. VIII, distique 157.

4 Voyez mes Fragments sur l'Inde, Journal asiatique de février 1845, page 175 (page 201 du tirage à part).

5 Je discute ce dernier point dans un mémoire spécial que j'ai composé sur l'Inde.

1 Virgile nous apprend que des matelots arabes et même indiens avaient été enrôlés par Cléopâtre et Marc-Antoine, dans leur lutte contre Auguste, et que ces matelots figurèrent à la bataille d'Actium. Le VIIIe chant de l'Énéide renferme ces vers :

... Omnis eo terrore Ægyptus et Indi,



Omnis Arabs, omnes vertebant terga Sabæi.

2 J'ai rapporté un passage de Beladori à ce sujet. (Journal asiatique de février 1845, page 156, page 182 du tirage à part.)

3 Journal asiatique de février 1845, page 163 (189 du tirage à part). L'île en question est désignée par Beladori sous le nom d'île des Rubis, Djezyret-al-yakout, à cause, dit l'auteur arabe, de la beauté des femmes du pays, ou plutôt à cause des rubis qu'on a de tout temps exportés de l'île. Mais l'historien Ferichtah dit qu'il s'agit là de Ceylan.

4 Voyez ci-après, page CIX.

1 Page 14.

2 Voyez, pour les détails, l'extrait de Beladori que j'ai publié dans le Journal asiatique de février 1845 (page 182 et suiv. du tirage à part).

1 Comparez Massoudi, Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, fol. 40 verso et 73 verso, et le Traité d'Ibn-Haucal, voyageur arabe qui visita le pays peu de temps après Massoudi ; Gildemeister, Scriptorum arabum de rebus Indicis loci et opuscula, premier fascicule, page 30 du texte arabe.

2 Comparez Massoudi, Moroudj, tome Ier, fol. 75 et 94 verso, ainsi que Ibn-Haucal, ouvrage cité, page 28. Albyrouny cite quelques autres villes du Guzarate et du golfe de Cambaye, comme faisant un riche commerce. (Voy. le Journal asiatique de septembre 1844, pages 254 et 263.) Quant à Seymour, on peut lire un passage de Cazouyny, emprunté à un voyageur arabe nommé Misar. Voy. l'édition de M. Schloezer, page 20.

1 Foe-koue-ki, publié par MM. Abel-Rémusat, Klaproth et Landresse, pages 329 et 330.

2 Sur ces deux villes, voyez ma traduction de la Géographie d'Aboulféda, tome Ier, page 183 et 190.

3 Ibn-Haucal, recueil déjà cité, page 27 du texte. M. Gildemeister, dans sa traduction latine, page 165, n'a pas bien rendu une partie de ce passage. Au lieu de : « qui sont situées dans les déserts, comme le sont Lamtha et Audagast », M. Gildemeister a traduit : « in desertis quæ sunt Kalitha et Audgosht ». À la vérité, ces mots ne sont point marqués parfaitement dans le manuscrit, et il paraît qu'il en était de même dans le manuscrit dont se servit Édrisi ; car ce savant géographe a commis la même erreur. (Voyez le tome Ier de la traduction française, pages 170, 175 et 183.)

4 Voyez aussi la Géographie d'Aboulféda, texte arabe, édition de MM. Reinaud et de Slane, page 361.

1 Mémoires de la Société asiatique de Calcutta, traduction française, tome II, page 221. M.Théodore Pavie prépare une traduction de la relation complète, d'après une version hindoustanie.

2 Hist. de Cachemire, publiée par M. Troyer, liv. IV, vers 171. Voyez aussi tome Ier, page 421 et suiv. et recueil de M. Gildemeister, page 69. M. Lassen avait d'abord placé le pays de Pradyotisch dans le Tibet occidental. Mais, dans l'ouvrage qu'il publie en ce moment, sous le titre de Indische Alterthumskunde, tome Ier, page 286, il paraît avoir changé d'opinion.

3 Page 113 et suiv.

1 La mer de Herkend, dans le Ketab-al-adjayb, est nommée Al-kend, ou simplement Kend.

2 Page 4. Voyez aussi page 136.

3 Voyez à la page 7 du texte.

4 On voit que la différence est presque imperceptible.

5 Cosmas, recueil déjà cité, page 336. Le mot grec αργέλλιον, dont Cosmas se sert pour désigner le cocotier, est évidemment le narikela des Indiens, et le nardjyl des Arabes.

1 On trouvera le témoignage d'Albyrouny, accompagné du texte arabe, dans les fragments de cet auteur que j'ai publiés dans le Journal asiatique, septembre 1844, page 265 (page 123 du tirage à part).

2 Je parle de la relation originale qui se trouve à la Bibliothèque royale, et non pas de l'abrégé qui a été traduit en anglais par M. Lee.

3 Recueil intitulé : Documentes arabicos para a historia portuguesa, par le père de Sousa, Lisbonne, 1790, page 107 et suiv. On lit dans la version portugaise Adiba ; mais le texte arabe porte Aldybah.

4 N° 901, ancien fonds arabe, fol. 25 verso.

1 Voyez la page 93.

2 Recueil déjà cité, page 337. Au nombre des objets de commerce dont parle Cosmas est le χαλκός, ou airain du pays de Kalliana, et le pays de Kalliana est placé, par le major Rennell et d'autres géographes, auprès de la rivière Kallian, qui descend des Ghattes et qui vient se jeter dans la mer, non loin de Bombay, en face de l'île Salcette. L'airain de Kalliana me paraît être la même substance que le plomb alcaly, ou alcally, dont il est fait mention par Abou-Zeyd ; car l'absence des signes orthographiques permet l'une et l'autre prononciation. Or, la mine de plomb de Kalliana paraît être placée par Massoudi et Édrisi sur la côte de Coromandel. Voyez ci-après, page LXXXV.

3 Voyage de François Pyrard, de Laval. Paris, 1615, tome II, page 244 et suiv.

1 Ann. des Voyages, année 1832, tome I, page 19.

Si on en croyait un témoignage de Kazouyny, emprunté au voyageur Misar, déjà cité, le port de Kalah serait tombé au pouvoir des Chinois, qui y auraient introduit leurs croyances et leurs usages. Voy. l'édition de Schloezer, page 19. D'un autre côté, quelques auteurs européens ont cru reconnaître à la pointe de Galle les traces d'une colonie chinoise. (Voy. les notes de Renaudot sur la présente relation, page 135.) À la vérité, il y a eu aussi de tout temps des colonies chinoises dans la presqu'île de Malaka.



2 Lettre à M. le baron Alexandre de Humboldt sur l'invention de la boussole, par Klaproth, Paris, 1834 ; avec les observations que M. Édouard Biot a faites sur cette lettre, dans les comptes rendus de l'Académie des sciences, année 1844.

3 Page 128.

1 Ce passage correspond à la page 73 du tome I de la traduction française d'Édrisi.

2 Pages 7 et 93. Voy. aussi le témoignage d'Albyrouni. (Journal asiatique de septembre 1844, page 265 ; page 123 du tirage à part.)

3 Voy. les Mémoires relatifs à l'Asie, par Klaproth, tome II, page 411, et le Foe-koue-ki, à la fin du volume.

4 Page 93.

1 History of Sumatra, 3e édition, page 4.

2 Sur ce canal, on peut consulter l'ouvrage de Horsburgh, traduction française de M. Le Prédour, tome II, pages 186 et suiv. et 254.

3 Pages 8 et 16.

1 Relation de Marco-Polo, tome Ier du recueil de la Société de géographie de Paris, page 196 et 197. Voyez aussi page 447 et 448.

2 Page 92.

3 Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, fol. 31.

4 Sur ces traditions, ainsi que sur l'histoire, les mœurs et les usages des Malais et des Javanais, on peut consulter les ouvrages de MM. Marsden, Leyden, Stamford, Raffles et John Crawfurd. Du reste, je n'ai rien trouvé dans ces ouvrages de bien précis sur l'état de la Malaisie à l'époque dont il est parlé ici.

5 Journal asiatique de septembre 1844, page 265 (page 123 du tirage à part).

6 Sur la dernière dénomination, voy. l'Histoire des Mongols, par M. d'Ohsson, La Haye, 1834, tome II, pages 464 et suiv.

1 N° 901, ancien fonds des manuscrits arabes de la Bibliothèque royale, fol. 25 verso. Voyez aussi Édrisi, tome Ier de la traduction française, page 60.

2 Ce nom venait probablement d'une île ou plutôt d'une presqu'île du même nom, sur la quelle on peut consulter Édrisi, tome Ier, de la traduction française, page 82, et un passage de Kazouyny, recueil de M. Gildemeister, page 60 du texte.

3 Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, fol. 44 verso.

4 Page 13 et suiv.

1 Le Prédour, Instructions nautiques sur les mers de l'Inde, tome Ier, page 608. Ces rochers ont passé en proverbe, pour le danger que l'on court lorsqu'on en approche. (Voyez le Recueil de proverbes arabes, par M. Freytag, tome II, page 339 et 340.)

2 Géographie de Ptolémée, liv. VI, ch. VII. Quant à Sahar, voyez ma traduction de la Géographie d'Aboulféda, tome Ier, page 136.

3 Le Prédour, ouv. cité, tome Ier, page 533.

1 Extrait de Massoudi, tome II.

2 Liv. XII, près du commencement.

3 Marco-Polo, édition de la Société de géographie, page 220, et texte arabe de la Géographie d'Aboulféda, édition de MM. Reinaud et de Slane, page 360.

4 Cosmas, recueil déjà cité, page 178 et 337.

1 Voyez le tome Ier de la traduction française, pages 79 et 80. C'est en cet endroit qu'Édrisi place la mine de plomb alcaly, dont il a déjà été parlé. Au lieu du mot étain, qui est dans la traduction française, le texte d'Édrisi porte : . Massoudi semble mettre la mine de plomb au même endroit.

2 Journal asiatique, cahier de septembre 1844, page 246 et 263 (page 104 et 121 du tirage à part, de mes Fragments relatifs à l'Inde). Dans le récit d'Albyrouny, on ne distingue pas bien si l'auteur veut parler d'un personnage ancien ou d'un personnage contemporain. La première opinion me paraît la plus probable.

3 Comparez le Mémoire de M. Burnouf, sur quelques dénominations géographiques du Dravida ou pays des Tamouls, dans le Journal asiatique d'octobre 1828, pages 251 et suiv., et le Mémoire de M. Dowson sur les limites géographiques, l'histoire et la chronologie du royaume de Chera, dans le Journal of the Royal Asiatic Society, Londres, 1844, n° XV.

1 Anciennes relations, par Renaudot, page 146 et 147. Voyez aussi pages 231 et suiv. — Recueil de M. Gildemeister, déjà cité, page 60.

2 Géographie de Ptolémée, liv. VII, ch. I.

1 Description historique et géographique de l'Indostan, trad. française, tome Ier, page 37.

2 Voyez ci-devant, page 77.

3 Rennell, Description de l'Indostan, tome III, pages 5 et 6.

4 Tome Ier de la trad. française, page 98. Le texte porte . Sadj est une corruption du sanscrit sâka. (Voyez le recueil de M. Gildemeister, intitulé De rebus indicis, page 39.)

5 Voyez les observations du major Rennell, Description de l'Indostan, traduction française, tome II, page 403 et suiv.

1 Tome Ier, fol. 28 verso ; 31, 34 recto et verso.

2 Page 24.

3 Recueil de M. Gildemeister, page 27 du texte.

4 Page 133.

1 Massoudi dit que le roi de Canoge entretenait peu d'éléphants, et qu'il n'en menait que mille à la guerre, tandis que, suivant lui, le roi du Djorz en possédait un grand nombre. (Voyez le Moroudj, tome Ier, fol. 34 verso, 73 et 76.) Peut-être y a-t-il erreur de copiste.

2 Page 27.

3 Moroudj, tome Ier, fol. 40, et page 234 de la version anglaise.

4 Moroudj, tome Ier, fol. 75.

5 Ces deux passages manquent dans l'abrégé qui a été traduit par M. Lee.

1 Man. arabe de la Bibl. roy. suppl. n° 670, fol. 114 verso.

2 Ibidem, fol. 122.

1 Moroudj, tome Ier, fol. 75 et 76.

2 Page 30.

3 Page 97.

4 Voyez ci-devant, page 77.

5 Édrisi, traduction française, tome Ier, pages 80 et 81.

6 Tome Ier de la trad. française, page 97.

1 Voyez ci-devant, page 92.

2 La côte du Coromandel. (Voyez ci-devant, page 85.)

3 Le royaume de Canoge, comprenant le Bengale. (Voyez ci-devant, page 95.)

4 Le royaume d'Assam. (Voyez ci-devant, page 51.)

5 Le témoignage d'Ibn-Khordadbéh a été reproduit par Édrisi, tome Ier de la traduction française, page 173. Une partie de ce qui précède se retrouve dans un passage d'Ibn-Sayd, cité par Aboulféda, Historia anteislamica, édition de M. Fleischer, page 172 ; mais la plupart des noms sont altérés.

6 Page 18.

7 Comparez les notes de Marsden, sur la relation de Marco-Polo, pages 585 et suiv., et le recueil de M. Gildemeister, déjà cité, page 69.

1 Les Chinois prononcent Man-tsu.

2 Page 31.

3 Page 18.

4 Histoire des Huns, liv. VIII, page 39.

1 Abrégé de l'histoire chinoise de la grande dynastie Tang, par le père Gaubil, dans les Mémoires concernant l'histoire et les sciences des Chinois, tome XVI, page 84.

2 Mémoires relatifs à l'Asie, par Klaproth, tome II, pages 200 et suiv.

3 Géographie d'Aboulféda, texte arabe, page 364.

4 Édition de la Société de géographie, page 170 et 428.

5 N° 901, anc. fonds ar. fol. 25.

6 Page 63.

7 Les témoignages de ces écrivains ont été rapportés par M. Quatremère, Histoire des Mongols, par Raschid-eddin, pages LXXXVII et suiv.

8 Pour l'extrait qui suit, je mets à contribution les manuscrits de la Bibliothèque royale, fonds français, n° 8.392, fol. 67 et suiv. et n° 10.260, fol. 59 verso et suiv., lesquels me paraissent offrir sur ce point un texte plus correct que celui qui a été publié par la Société de géographie.

1 Dictionnaire des noms anciens et modernes des villes et arrondissements de l'empire chinois, par M. Édouard Biot, pages 172 et 198.

2 Cette inscription a donné lieu à une longue polémique. (Voyez le supplément à la Bibliothèque orientale de d'Herbelot, par le père Visdelou ; les Mélanges asiatiques, de M. Abel-Rémusat, tome Ier, pages 32 et suiv., ainsi que les Nouveaux mélanges asiatiques, tome II, pages 189 et suiv.)

1 Pages 79 et suiv.

2 Voyez ci-devant, page 45.

3 Chronique d'Aboulféda, tome II, pages 228 et suiv.

4 Ibidem, tome II, page 238.

5 Voyez le Moroudj-al-dzeheb de Massoudi, tome Ier, fol. 61.

1 Page 24..

2 Recueil des notices et extraits des manuscrits de la Bibliothèque royale, tome VIII, pages 140 et 147.

1 Hamza d'Ispahan, édition de Saint-Pétersbourg, pages 3 et 4. On trouve une division analogue dans un traité d'Albyrouny, man. ar. de la Bibliothèque royale, anc. fonds, n° 584, fol. 46 verso.

2 Livres sacrés de l'Orient, recueillis par M. Pauthier, pages 60 et suiv. Dans ce volume, la traduction du Chou-king appartient au père Gaubil.

3 Mémoire de M. Édouard Biot, dans le Journal asiatique d'août 1842.

1 Mémoire de M. Édouard Biot sur les mœurs des anciens Chinois, d'après le Chi-king. Journal asiatique de décembre 1843, page 438.

2 M. Pauthier, Livres sacrés de l'Orient, page 65, donne, dans une note, d'après les écrivains chinois, une représentation de cette division.

3 Description de la Chine, par Davis, traduction française, tome II, pages 201 et 215.

1 Histoire de la dynastie Thang, par le père Gaubil, tome XVI des Mémoires de la Chine, pages 140, 144 et 384.

2 Mémoire de M. Abel-Rémusat sur l'extension de l'empire chinois du côté de l'occident. (Recueil des mémoires de l'Académie des inscriptions, tome VIII, pages 80 et suiv.)

3 Comparez l'Astronomie chinoise, du père Gaubil, publiée par le père Souciet, tome II, pages 74 et suiv., et l'Histoire de la dynastie Thang, par le père Gaubil, tome XVI des Mémoires de la Chine, page 16, et page 148 du Traité de la chronologie chinoise.

1 Gaubil, Histoire de la dynastie Thang, tome XVI des Mémoires de la Chine, page 152.

2 Pages 62 et suiv.

1 Le père Gaubil n'a pas fait mention, dans son histoire des princes de la dynastie Thang, de la prise de Hang-tcheou-fou ; mais mon savant confrère, M. Stanislas Julien, a trouvé l'indication de ce fait dans les livres chinois de la Bibliothèque royale, Nouvelles annales des Thang, édit. impériale, liv. CCXXV, 3e partie, fol. 5 verso.

1 Pour ces divers événements, et pour ceux qui les suivirent, comparez l'Histoire de la dynastie Thang, par le père Gaubil, Mémoires de la Chine, tome XVI, pages 261 et suiv. et les Tableaux historiques de l'Asie, par Klaproth, pages 223 et suiv.

2 Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, fol. 56 verso et 59 verso.

3 Man. arab. de la Bibl. royale, anc. fonds, n° 901, fol. 51.

4 Évidemment ces dénominations n'en font qu'une.

5 Page 60.

1 Ce passage a été rapporté par M. Roorda, Abul Abbasi Ahmedis, Leyde, 1825, page 50.

1 Moroudj-al-dzeheb, tome Ier, fol. 56, 68 et suiv. La distinction que Massoudi fait de deux classes de la population du Tibet, est confirmée par un missionnaire catholique qui avait longtemps résidé dans ce pays ; c'est le père Orazio della Penna. La relation du père Orazio commence ainsi :

« Questo termine Thibet è una parola corrotta in lingua tartara ; ma in buon linguaggio si deve dire Thobot oppure Tangut katzar. Tangut significa abitatore delle case, e katzar vuol dire paese o regno, cioè regno degli abitatori delle case, mentre i Tartari dimorano nelle tende fatte di feltro, o di tele grosse tessute di peli di yak ossiano bovi pelosi, ed i Thibetani dimorano nelle case. »



Journal asiatique de septembre 1834, page 177.

2 J'ai donné un extrait de l'ouvrage persan dans le Journal asiatique d'août 1844, page 171 (page 41 du tirage à part).

3 Voyez l'extrait d'Albyrouny que j'ai publié dans le Journal asiatique de septembre 1844, pages 257, 259 et 289 (pages 115, 117 et 147 du tirage à part).

1 Fol. 56 et suiv. Voyez ci-dessous le témoignage d'Abou-Zeyd, page 119.

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