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tel danger comment peut-on vivre? Tout le monde connait le potentiel de dan-
gerosité que des territoires illégaux peuvent engendrer. C’est un territoire fa-
vorable à tous les éléments criminels et puisque la communauté internationale 
se réunit dans la lutt e contre le terrorisme, je pense qu’il faut redoubler d’at-
tention par rapport à ces territoires illégaux. Parce que dans ces zones il risque 
de se créer de très grands appuis au terrorisme. L’Azerbaïdjan ne consentira 
jamais à la perte de ses territoires, nous allons reprendre ces territoires. Nous 
voulons le faire par la voie de la paix, mais malheureusement nous n’avons pas 
encore obtenu de succès sérieux par ces moyens pacifi ques.
Aujourd’hui, la conjoncture économique en Azerbaïdjan ne peut pas être 
comparée avec celle de l’Arménie. La force actuelle de notre économie est de 
trois à quatre fois plus grande que celle de l’Arménie. Dans quelques années 
se sera 10 fois. Bien sûr qu’au moyen de toutes ses possibilités, de toutes ces 
réserves nous arriverons à libérer nos territoires à la fi n. Nous n’aspirons pas 
à d’autres teritoires. Mais le Haut-Karabagh et les sept régions qui l’entourent 
sont des terres de l’Azerbaïdjan. C’est une partie inséparable de l’Azerbaïdjan 
et ils doivent les rendre à l’Azerbaïdjan.
Je suis certain que les organisations internationales chargées de résoudre 
cett e question vont redoubler d’eff orts. Nous voudrions que l’OCSE ne soit pas 
la seule, mais que l’Union Européenne,  le Conseil de l’Europe, et les autres or-
ganisations internationales jouent aussi un rôle décisif dans la solution de cett e 
aff aire. Bien sûr que le groupe de Minsk de l’OCSE a un mandat pour résoudre 
cett e question et que nous considérons avec respect ce mandat. Mais je pense 
qu’il est grand temps que la communauté internationale la plus large prenne 
une part active dans ce sens. 
Je suis sûr qu’un futur magnifi que att end l’Azerbaïdjan. Comme je viens de 
le souligner, la coopération régionale est à un bon niveau. Nous avons de très 
bonnes relations avec tous nos voisins. Pour la croissance économique nous 
avons un bon potentiel économique. Nous résolvons nos problèmes sociaux. 
Pas seulement pour nous, mais pour le monde entier, pour toute la région ce 
n’est que la paix qu’il faut. L’Azerbaïdjan a donné déjà toutes ses contribu-
tions pour le rétablissement de la paix dans le monde entier. Nous n’avions pas 
épargné nos eff orts pour apporter la paix à la région et notre politique restera 
inchangée. Je veux vous assurer que notre politique en cours, surtout notre po-
litique d’intégration aux structures européennes, aux organes euro-atlantiques 
sera poursuivie. Notre pays continuera à apporter sa contribution aux travaux 
de l’Europe entière. Merci.
Bruce Jackson: Merci, Monsieur le Président. Comme vous le voyez, devant 
vous il y a la théorie et un dirigeant qui met en oeuvre cett e théorie. La parole 
est à notre dernier orateur pour ses paroles fi nales.
Bruce Jackson: Après les interventions des orateurs nous avons à peu près 
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22-23 minutes pour des questions-réponses. En posant votre question, présen-
tez- vous. Je vous en prie. 
Question (Mike Makfol, Université de Stanford): Ma question sera pour le 
Président Aliyev. J’enseigne la démocratisation à l’Université de Stanford. J’es-
saie d’expliquer à mes étudiants que “le passage à la Démocratie” est une ex-
pression fausse. La Démocratie demande toujours du travail dans tous les pays. 
Moi-même, si je commence à parler des Etats-Unis, je mentionnerais les thèmes 
au moyen desquels le niveau de la démocratie aux Etats-Unis va croître. Peut 
être que vous , vous pourriez citer les thématiques concernant votre pays?
Ilham Aliyev: La démocratisation de chaque société est un processus. Un 
processus qui n’a pas de fi n. Chaque pays vit dans des conditions qui lui sont 
propres. Parfois ces conditions et ce climat ne dépendent pas des voeux et de 
la stratégie du pays en question. L’Azerbaïdjan, ainsi que les autres Républi-
ques ex-soviétiques, avaient vécu dans un tout autre système. Vous avez eu 
des informations sur ce système quand vous avez fait vos études à l’université. 
Mais vous ne l’avez pas éprouvé dans votre vie personnelle. Pour l’éprouver 
il faut vivre dans ce système. Nous, Michael et moi, nous avons vécu dans 
ce système. Heureusement, quand ce système s’est eff ondré nous étions assez 
jeunes. Nous avons plus bénéfi cé des libertés et de l’indépendance résultant de 
l’eff ondrement de ce système que de la génération qui nous a précédés. Malgré 
toutes les diffi
  cultés qui ont suivi l’indépendance, malgré l’invasion de notre 
territoire, malgré les diffi
  cultés internes, la guerre civile et les autres processus 
dangereux , aujourd’hui une des réussites de l’Azerbaïdjan est qu’il a pu main-
tenir une vraie indépendance du pays. Il n’y a pas de troupes étrangères sur 
notre territoire. Nous ne conduisons pas notre politique en suivant des instruc-
tions conformes aux intérêts d’autres institutions et structures, mais en pleine 
conformité avec nos intérêts nationaux. Bien sûr que le processus de démocra-
tisation est en cours dans notre région. Si vous comparez l’Azerbaïdjan avec 
sa situation il y a 10 ans vous observerez qu’à cett e époque-là le pays était très 
loin des standards et des normes d’une société démocratique. Aujourd’hui si 
vous me demandiez si l’Azerbaïdjan répond à tous les critères ou non, bien sûr 
que l’Azerbaïdjan ne répond pas aux standards que le monde libre a institué 
depuis plus d’un siècle. Il est trop tôt pour att endre des républiques de l’ex-
URSS un niveau de démocratie tel qui existe dans l’Union Européenne. Mais la 
politique dans ce sens est en cours. La stratégie, le choix stratégique est défi ni. 
Depuis 1993 notre pays s’intègre avec un grand succès dans la communauté 
internationale. Le processus de  démocratisation se poursuit avec succès.
Question: Je viens d’Estonie. Ma question sera pour Saakachvili. Quel était 
le rôle et les intérêts de la Russie dans la révolution en Géorgie?
Michael Saakachvili: Je pense que les relations entre la Russie et la Géorgie 
étaient très mauvaises, très tendues. Il était impossible d’imaginer les relations 
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